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dom1
30/8/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Sur la forme, je ne trouve rien à dire car elle vous appartient et elle propose une lecture rapide.
Sur le fond, j'ai du mal à faire le lien entre le mensonge et l'émotion qui est censé en ressortir. Je pense qu'il faudrait préciser tout cela pour permettre au lecteur d'en ressortir une certaine émotion... domi... |
Anonyme
14/9/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ici, un mensonge qui entraîne un remords indélébile " On a beau se frotter dans la plus pure des eaux, il reste sur la peau cette souillure qui ne se défait pas. "
Le fond est vrai, mais je n'ai pas été séduit par les métaphores ''architecte ", " construction " ... |
papipoete
14/9/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Saint-Emoi,
Sans que la furie des cieux s'en mêle, il arrive que tout s'écroule autour de nous, à cause d'un mensonge ... NB l'auteur dit que l'on " ne se lave jamais du mensonge subi " , avis que je ne partage pas ; la nature prend son temps, et un jour ou l'autre, " tourne la roue " qui efface l'ardoise de la rancœur, des peines accumulées . J'aime bien cependant les lignes commençant à " je monterai sur la plus haute des montagnes ... " |
FABIO
14/9/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Que vous choisissiez l idée de la destruction dû au mensonge pourquoi pas, même si cela ouvre bien votre texte vous le laissez trop vite de coté.J'aurais souhaitais que vous développiez jusqu au bout.Ily'a des images bien inspirées.mais il manque un tout pti peu d'originalité. Merci Fabio |
Marite
15/9/2017
a aimé ce texte
Bien
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Il est de ces mensonges, hélas, qui s'apparentent à celui décrit dans ce texte et dont les dégâts s'avèrent parfois dramatiques et irréversibles. La première phrase, par ses références aux "architectes du vivant" et à " un mode de construction aux jointures molles , aux angles douteux" nous introduit, concrètement, dans cette création de l'esprit si difficile à saisir. L'image est très adaptée je trouve et aide le lecteur à mieux comprendre la suite.
L'avant dernier paragraphe expose les conséquences désastreuses pour la victime. Il ne s'agit pas ici de ce genre de petits mensonges qui émaillent la vie quotidienne et dont la tendance générale est à la banalisation que ce soit dans les actes, les propos et, le plus grave, à soi-même. Parfois même on arrive à l'admirer et à le glorifier comme étant une marque d'habileté et d'esprit. Les dégâts sont moindres que ceux décrits ici mais il n'en demeure pas moins qu'ils existent et par des fissures insidieuses, créent des désordres dans les personnalités ... Est-ce un texte poétique ? Je ne sais pas mais c'est un texte qui, par les images utilisées, décrit clairement la situation et surtout amène à la réflexion. |
Soruf
15/9/2017
a aimé ce texte
Un peu
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J'aime bien l'idée du mensonge tu, caché, qui se révèle en un fracas. L'image de la maison, hôte du mensonge ou mensonge elle-même, va de pair avec cette idée.
J'ai plus de mal avec la seconde partie du poème. Cette idée d'un mensonge qui colle à la peau à jamais, je ne parviens pas à l'imaginer. Dans la forme également, les termes me semblent aller trop loin, c'est presque trash, dommage. Je retiens "la colère légitime d'une planète qui chauffe", très bien vu. Merci |
Anonyme
17/9/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je vous ai lu, relu et re relu, car le "Mensonge", a
quelque chose de terrifiant, et vous le dites d'ailleurs très bien en ces mots "On ne se lave jamais du mensonge subi" ou encore "Je pourrai vomir durant encore mille vies ce mensonge avalé qu’il en resterait encore en moi, comme un remords momifié." On aura beau faire, on aura beau dire, toute tentative est vaine, il vous prend au piège, là, encore vos mots sont justes, terriblement justes : " Le drame est venu du mensonge, un mensonge aiguisé par le temps, un mensonge équilibré, construit, monstrueux d’efficacité, pétri par le quotidien, amusé sans doute par cette crédulité qui habille les gens de bien. " J'aime la manière de vous poser vos arguments, avec subtilité et intelligence. Il n'y pas pire destructeur que le "Mensonge", ancré à tout jamais en vous, c'est une félonie perfide, insidieuse, qui vous ronge et vous rongera jusqu'au bout. Lecture dès plus intéressante, où il y aurait encore beaucoup à dire. C'est bien mené, et votre phrasé est très explicite. |
Queribus
2/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Vous avez choisi votre propre style d’écriture dans ce poème et il n'y a rien à dire là dessus; de plus, le texte étant assez court, il se lit et relit facilement. Sur le fonds, votre analyse du mensonge est intéressante et nous fait part d'une expérience personnelle. Je dirais que l'écriture ne manque pas d’intérêt mais que, malheureusement, la poésie n'est pas très présente dans votre écrit. Cordialement. |
Asrya
23/10/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le sujet est intéressant et un texte si court se doit d'apporter une réelle profondeur ou une poésie forte pour qu'on saisisse votre message.
Pour ma part, je n'ai eu ni l'un ni l'autre. Certes il y a une réflexion autour du mensonge et de belles images au début, la maison ; que certains s'affairent à construire, ainsi va le sens de leur vie. Est-ce le cas de votre "je" ou votre "je" est-il victime de la maison d'un autre ? J'ai eu beau relire, je n'ai pas saisi tout à fait. Quel est-il ce mensonge au final, qui perturbe aussi brutalement la vie de votre "je" ? On est laissé un peu de côté avec tout cela, on ne comprend pas bien ce "mensonge", ou ces "mensonges". Un seul mensonge ? Ou plusieurs ? Mensonge "subi", quel mensonge "subi" peut amener à une telle "tempête" ? Trahison de l'être aimé ? Peut-être est-ce l'intention de laisser le lecteur s'identifier à ce mensonge, pour ma part... je n'ai pas réussi à me sentir concerné. Une autre fois j'espère, Au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |