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Vincent
6/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour saintsorlin
""Dans mes os brûle un corps qui n'est pas le mien"" ""Ne reste que la brûlure Séparation du réel Qui m'emporte"" Cela "pour moi" relève d'un traumatisme enfoui ou révélé De la manière d'un enfant de remplacement Est-ce fiction ou réalité , le rendu poétique est sublime Merci pour ce texte |
Provencao
6/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour saintsorlin,
"Par les chemins remplis d'absents Nos mains de pierre inventent Les murailles infranchissables d'obscurité" Mon passage préféré avec cette flagrance émotionnelle sur laquelle veille ces chemins remplis d'absents comme si ces nuits sans sommeil s'adressaient à ce qui ne passe pas, comme si, rien de temporel ne saurait les satisfaire… Au plaisir de vous lire Cordialement |
Ascar
6/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Dans ce poème, je vois un être qu'un nouvel amour transporte au delà des affres d'un passé de doileurs qui le hantent (vers 1 "nouvelle existence")
Il n'ose y croire mais va tout de même prendre cette barque qui porte une "odeur d'amour noir" en référence à ces brûlres d'échecs précédents. C'est un être qui est déjà tombé sur le champs d'amour. Mais il est prêt à prendre une autre balle pour risquer de vivre des moments d'absolus bonheurs. Ca me touche de lire ces lignes.... |
Damy
6/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Une marée haute qui submerge les trous "remplis d'absents", "sur des vapeurs d'abîme", au "soleil broyé", comme une "plaie", une "brûlure". Une nuit noire d'amour.
J'y vois plus un sommeil paradoxal cauchemardesque que l'absence proprement dite du sommeil. Vous avez su toucher le cœur d'un connaisseur. Merci, saintsorlin. |
Eki
7/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Poème chemin émotionnel...
Les mots baignés de poésie, derrière la noirceur, la brûlure, affleurent la lumière et la douceur... Il y a de la grâce dans vos nuits sans sommeil. Joli univers ! |
Juliendu09
21/4/2024
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moralité : l'amarré désire la marée !
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