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pieralun
7/4/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un style de poésie qui semble désuet. Qui a créé le seizain, en quelle année?
Le texte est agréable, fluide avec un rythme peut_être trop monotone. J'ai bien compris l'exercice qu'impose ce type de poème au niveau de la rime, mais justement, ici, certaine semblent tirées par les cheveux, et tout le vers paraît avoir été fabriqué pour son respect. A mon avis, cela affadit beaucoup le propos: - "au risque aléatoire," "affirmaient transitoire" "doueur soustraits." (douleur non?). |
bulle
7/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une structure qui ne m'est pas inconnue pour l'avoir découverte il y a quelques années.
Sa construction d'évidence en monostiche-sizain-monostiche-huitain, évoque bien sûr le nombre d'Or. Pour ce qui est du fond, je ressens une petite nostalgie, qui s'accorde à mon sens avec la forme (ou inversement), en jouant sur les deux rimes en contrainte. Langage ou plutôt 'communication' d'un autre temps... J'ai bien aimé la musique-musicalité, mais justement cette contrainte paraît forcer certaines rimes. Ce n'est pas très grave en soi, j'ai apprécié l'ensemble dans sa composition. |
ANIMAL
16/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un joli poème qui commence très bien, donne tout de suite une ambiance, embaume la nostalgie.
J'aime moins les trois derniers vers et surtout, je trouve qu'il manque une strophe qui ramènerait à aujourd'hui, en opposition à ce naguère qui sous-entend que, justement, les chansons ne racontent plus d'histoires. Donc à mon sens le poème est incomplet au niveau du fonds. Sur la forme, j'aime particulièrement la répétition de ce vers isolé qui ramène au thème central. |
Anonyme
19/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Décidément les maths inspirent les créateurs de formes nouvelles Après le sonnet irrationnel bâti sur le nombre Pi, voici le seizain nombre d'or. On y trouve, comme dans son prédécesseur, la mise en valeur d'un vers unique sous forme de refrain. Mais si le sonnet irrationnel est bâti sur quatre rimes, le votre n'en utilise que deux. Ce qui engendre une certaine monotonie. Dans le texte que vous nous présentez, il se trouve que cette monotonie sied au sujet. Très instructif (le sujet) Les rimes sont riches. Surtout la féminine. Ce qui avec des termes comme "aléatoire" et "transitoire" accentue l'impression d'académisme qui se dégage de ce texte. Sérieux. C'est ainsi qu'on pourrait qualifier votre seizain nombre d'or. |
belaid63
21/4/2010
a aimé ce texte
Un peu
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douleur ou douceur, dans le dernier vers?
enfin, je crois que les chansons racontent toujours une histoire. sans plus! j'ai pas saisi où se trouve le nombre d'or dans ce poème? |
Damy
22/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Erreur de frappe au dernier vers: "douLeur" (?)
Je me sens petit pour juger de la qualité de la forme du seizain. Il me semble parfaitement respecter la règle annoncée. Ode à la chanson narrative de groupes qui m'évoque avec nostalgie la récolte du foin ou le feu de la Saint-Jean ou encore les tuailles du cochon, bref tous les évènements regroupant la communauté rurale du quartier... C'est joli. |
Leo
24/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une construction originale, assise sur un principe clairement énoncé et parfaitement respecté. La prosodie est sans défaut, le poème dégage une musicalité certaine. Je connais la structure, vue ailleurs. Ce n'est pas une "forme classique" srticto sensu, mais le poème en lui-même est parfaitement classique, ne dérogeant à aucune des règles du genre.
Et le fond, personnellement, me touche beaucoup. J'entends – et je me surprends même à fredonner – de vieilles chansons de marche, de feu de camp, je revois de vieux carnets de chants ronéotypés et agrafés, je "sens" littéralement l'odeur de l'encre des stencils qui nous servaient, bien avant les photocopieurs, à dupliquer en mettant plus d'encre sur nos doigts et nos pantalons que sur les feuilles de papier, un peu buvard, souvenez-vous... Je ne boude pas mon plaisir, bien au contraire. La nostalgie fait partie des ressorts poétiques, et la force évocatrice est un élément essentiel de la poésie. Quand l'une et l'autre s'appuient sur une langue impeccable et un rythme excellent, je ne vois que des raisons d'en féliciter l'auteur. |
Anonyme
7/5/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Pas totalement séduit par ce genre d'exercice mais pourquoi pas après tout... Je salue la performance même si elle est toute relative.
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Anonyme
7/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un phrasé terroir, à mon sens. Et c'est là tout le charme. La provençale qui a lu Mistral et Giono a aimé. Après, moi, les histoires de technique poétique...
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Lechat
7/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Samedy,
Je n'ai jamais vraiment achéré à cette forme de poème dit du nombre d'or, car à mon sens, les règles de proportion qui devraient découlées de l'utilisation du nombre d'or ne sont pas prises en compte. Pour prendre un exemple trivial, ce qui ferait l'équilibre d'un rectangle construit sur le nombre d'or serait qu'il ait un côté de 1m et un autre de 1.618m. A cette condition, la règle de proportion serait respectée. Mais la règle de proportion du nombre d'or n'est pas contenue dans l'enchaînement des chiffres 1 6 1 8. Pour se rapprocher de la proportion du nombre d'or en poésie, il faudrait à un moment introduire son rapport, c'est à dire un rapport proche de 16/10 ou encore 8/5. Peut-être que l'enchaînement de vers de métrique 5 et 8 donnerait quelque chose d'interessant (il faudra que j'essaie un jour) ! D'autre part la contrainte sur les rimes est (très) lourde et conduit quasi inévitablement à des formules alambiquées ce qui me parait encore être le cas ici, notamment dans la seconde partie du texte où on sent trop les "contorsions" de l'auteur pour "passer" par les rimes qu'il s'est imposées. D'où un texte qui s'affaiblit au fur et à mesure de sa progression ! Un peu déçu donc. |
Chene
7/5/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir Samedy
Je ne suis pas très convaincu qu'une forme 1 6 1 8, puisqu'il s'agit de cela, ait un quelconque rapport avec la notion d'harmonie que sous-tend le concept de nombre d'or, d'autant plus que la contrainte des deux rimes peut avoir l'effet inverse escompté. Pour en revenir au poème, si le thème abordé a indéniablement un côté intéressant, nostalgique et sympathique, son traitement m'apparaît guère évocateur d'expression poétique. Si la maîtrise prosodique classique est bien présente, je la trouve omniprésente, alors que si l'on veut approcher une certaine harmonie, il me semble indispensable qu'elle se fasse discrète. En effet le phrasé m'apparaît empreint d'une certaine lourdeur, peu poétique et très impersonnel : - "trouvaient un auditoire" - "les refrains dont ils étaient extraits" (très douteux au niveau syntaxe : "d'où ils étaient extraits" me semble plus satisfaisant, sauf que côté prosodie classique, ça crée un superbe hiatus... D'où ce choix peu heureux du "dont"...) - "Ceux disant nos adieux", lourdeur d'autant plus accentuée par le participe présent du vers précédent ("exprimant") Cette pesanteur est encore accentuée par les "on", tout sauf poétiques et vraiment impersonnels, d'autant que le dernier vers évoque le "nous"... Il y a là un manque de cohérence... Un ou plusieurs "nous" eussent été bien plus agréables à l'oreille. Et je ne m'étendrais pas sur la monotonie progressive engendrée par les rimes (elles-mêmes pesantes). Bref, après plusieurs lectures, si je salue la bonne maîtrise prosodique et l'idée du thème, je n'ai pas été emporté, loin de là, par l'expression choisie ni par la musicalité du texte (la grande absente de ce poème, ce qui est un comble quand on évoque le chant). Chene |
Anonyme
8/5/2010
a aimé ce texte
Bien
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Le nombre d'or était connu des anciens Grecs; Euclide a résolu le problème de la section dorée d'un segment de droite. Même aujourd'hui, le nombre d'or reste un sujet d'intérêt pour plusieurs. Mais qu'est-ce que le nombre d'or ?Le " nombre d’or ", ou " section dorée ", ou " proportion dorée ", est un nombre égal à , soit environ 1,618033988749....
Source : http://tpe-musique.chez-alice.fr /nombredor.htm#explication LE NOMBRE D’OR : Cette forme fixe, création récente (1992) de Jean-Jacques BLOCH est basée sur 1,618 nombre considéré comme proportion idéale, utilisé par les bâtisseurs. La disposition est donc : 1 vers 6 vers 1 vers 8 vers sur deux rimes, suivant la disposition : A - B.A.A.B.A.B. . - A - B.A.A.B.B.A.A.B. Il compte donc seize vers au total, et on peut dire qu'il s'agit du Seizain Nombre d'Or. Le vers isolé, sorte de "refrain", évoque l'idée générale qui a inspiré le poème, il est répété à la 1° et 8° place. La principale difficulté réside dans le fait qu'il faut trouver assez de rimes (8 A - 7 B). Le mètre peut varier, de 12 syllabes (Alexandrin) à 8 syllabes (octosyllabe) . Cette forme, soumise aux règles du classique, se prête à tous les sujets, humoristiques, dramatiques, philosophiques ou descriptifs. Source : http://www.bonnesnouvelles.net/associationregards2008.htm Voilà pour la forme : elle semble donc respectée. Un bel exercice mais un poème qui ne m'a pas ému. De toute façon je ne crois pas que c'était le but recherché. |
Anonyme
13/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un poème dont j'apprécie la forme, et que je trouve bien construit. Les rimes ne m'ont pas paru forcées, le phrasé me semble assez naturel et fluide.
Cet écrit retrace avec nostalgie et musicalité, une époque où la chanson, bien avant la TV et la radio, avait une valeur humaine importante, elle racontait, rassemblait ... Je n'ai pas trop aimé "on avait nos livrets" : le "on" qui dans le paragraphe précédent a valeur d'indéfini, devient ici le "nous" familier, et cette dissonance me heurte un peu. Par ailleurs, le "risque aléatoire" me paraît pléonastique. Pour le reste, une lecture très agréable. |
Anonyme
14/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Toujours intéressant de découvrir une forme poétique; celle-ci m'était complètement inconnue, donc je ne peux juger la forme.
Pour le fond, il est vrai qu'il est bien le temps du "Carnet de chants", je l'ai un peu connu, mais l'arrivée de la télévision a changé beaucoup de choses dans les foyers. Vous retracez ce vécu d'autrefois, avec vos mots qui nous font ressentir, une belle nostalgie. Un poème qui donne presque l'envie de le retenir, comme les récitations apprises jadis. |