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Anonyme
23/11/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Poésie grandilonquente qui développe une certaine ambition quelque peu démesurée: la nuit abyssale, l'espace prodigieux, mon cerveau immense, l'éternelle absence...Eh bien, vous ne lésinez pas!
Je n'aime pas beaucoup cette grandiloquence: nous ne sommes que de pauvres mortels éphémères et nous devons garder une certaine modestie! Pour le rythme des vers, certes ils comptent tous 12 syllabes; mais parfois ils paraissent bancals "et perdu sous leurs ombres - cruels pantomimes" Il aurait fallu des vers mieux équilibrés, il me semble. |
Marchombre
23/11/2008
a aimé ce texte
Pas ↑
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Pareil : une poésie grandiloquente - je ne dirait pas prétentieuse, mais grandiloquente.
Ça peut réussir, mais là, honnêtement… C'est lourd, c'est maladroit ("Les feuilles qui frémissent en frôlant les heures " semble être là uniquement pour la rime, etc)… à certain endroits trop nombreux. Bref, il y a du bien, mais… |
Anonyme
23/11/2008
a aimé ce texte
Pas ↓
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A trop vouloir en faire on tombe dans l'excès.
Cette poésie en est un très bon exemple! Excès de superlatif, excès de lyrisme, excès de tout. Qui plus est je ne vois pas en quoi cette poésie est classique. Certes, elle est écrite en alexandrins, mais elle ne respecte pas les formes de l'épopée, du sonnet ou de quoi que ce soit d'autre. Bref, un texte a alléger sérieusement! |
sanaa
23/11/2008
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Oulà... c'est l'acharnement ici...
Et tant mieux. Il s'agit d'un poème écrit il y a bien bien longtemps, et sa publication est un peu une sorte de test. Le connaissant par coeur, je n'avais plus le recul nécessaire que pour distinguer les maladies dont il aurait pu souffrir. Je vois que vous charger allègrement de cette besogne; et ce genre de lourdeurs me sautent péniblement aux yeux. Ben... Merci quand même... |
David
25/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Sanaa,
"Ici gît" comme un pendant à "la vraie vie est ailleurs" de Rimbaud, "éternelle absence" et "foi nouvelle" reformulerais un peu la célèbre citation. En tout cas cela donne une drôle de lecture des deux vers isolés : "Car je ne veux sombrer dans cette foi nouvelle Trop timoré encor pour dormir avec elle" Une quête de liberté aux images plutôt immobiles, végétales ; intérieure du coup par rapport au premier vers. |