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David
28/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Sanaa,
ça pourrait être la ville dont je suis la fourmi fréquente, comme elle est entre deux chaines de montagnes, elle postule deux fois, pour l'absence de la mer comme celle d'une ligne d'horizon - c'est comme ça que j'ai compris "l'infini" de la fin - Un air de blues assez génial et juste assez d'imprécisions et d'anecdotes, un bon moment de poésie. |
ristretto
28/10/2008
a aimé ce texte
Bien
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une déambulation désabusée,
des cadrages bien particuliers à suivre ps mais je ne trouve pas le titre très adéquat |
marogne
30/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Pour quelqu'un qui ne connait que la méditerranée comme mer, mais qui en a habité loin - heureusement - perdu dans sa provence profonde, j'ai eu du mal à me passioner pour ce manque existenciel.
Mais j'ai trouvé le poème assez juste quant à la description possible d'une petite ville dans laquelle on débarque presque par hasard au détour d'un voyage en train. Il m'a rappellé quelques expériences du même genre, et en ce sens atteint, un peu, à l'universel. Une lecture plaisante. Quelques détails que j'ai moins aimés: * aux têtes de lottes (bien que j'ai un peu utilisé la même image dans "lettres à HP"...) * La peau astiquée de cirage Et puis la province ça peut être beau, et pour un parisien - banlieusard quand même - une ville portuaire, c'est vraiment aussi la province profonde.... |
Anonyme
1/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est un vrai bonheur de lire les poèmes de Sanaa
C'est toujours coloré, musical, intelligent. Je partage la sensibilité de l'auteur. Comment peut-on vivre loin de la mer, dans une "ville sans port et sans salut" ? |
Anonyme
1/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Que dire ? Je n'ose avouer à quel point je suis sous le charme. Cela me rappelle Cendrars. Je retrouve la liberté de Lavilliers. C'est énorme de beauté, de précision, de maîtrise.
Encore. Voilà, c'est ça que je voulais dire : encore... |
Lylah
17/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime cette déambulation désabusée dans cette ville - vie ?- "si loin" de la mer...
Paris ou province ? Peu importe... Pour moi, ce texte parle d'un exil plus existentiel que géographique. De belles images - jai adoré les quatre premiers vers qui campent magistralement le décor et son ambiance blues dès le départ... Un très beau texte. |
Anonyme
27/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, très belle écriture. J'aime vraiment bien.
Une description très imagée, très "poétique" entre songe et réalité. Je découvre cet auteur avec grand plaisir. (merci david) |
colibam
27/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Brève escale désenchantée au pays de Sanaa (j'ai adoré visiter cette capitale yéménite à l'architecture si particulière, lors d'une escale à Hodeidah).
Une belle plume à suivre de près. J'ai particulièrement apprécié certains vers : la gare ancrée comme une souche ; le temps sans appêtit ; ma route inventait un écart, et les deux derniers vers |
TITEFEE
27/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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QUI A habité une ville dont l'horizon était le bleu profond et immense de la mer, toute ville de Province, que l'on atteint sans l'avoir voulu, peut sembler morne, tant manque l'odeur, la vue, le chant des vagues .... mais.. quel beau poème qui nous fait toucher du doigt combien nous sommes attachés pour la plupart d'entre nous à nos racines/
Ainsi ceux de Province peuvent trouver trop chaud, trop peuplé nos villes du Sud et préférer leur petite église et leur place dont ils connaissent la moindre pierre, la moindre ornière et comme j'aime je l'ai enregistrée http://sd3.archive-host.com/membres/playlist/1086141494/laProvince.mp3 |