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nico84
3/5/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je n'ai pas saisi le cadre de ta poésie. J"aime malgré tout le troisiéme quatrain.
C'est un peu flou pour moi et parfois un poil cliché. Le dernier quatrain est davantage imagé et me plait. Mais je ne perçois pas le fond de ton message. Dommage. Merci pour ta création, je te lis avec plaisir mais je crois que tu as les même soucis que moi, tu n'explique pas assez et le kecteur se perd. |
David
3/5/2008
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Bonjour Sanderka,
J'ai vu un truc bizarre c'est: "Esclaves consentants qui n'auront de cesse", la fin de la seconde strophe et: "De vous accuser jusqu'à ce que leur conscience", le début du premier tercet, mais aussi le prolongement de la phrase commencée au milieu du quatrtain précédent. Pourquoi le découpage vient-il interrompre la lecture ? La forme est un peu celle d'un sonnet(quatrain, quatrain, tercet, tercet) et peut être qu'un découpage plus libre aurait donné plus de relief au poême: regrouper les phrases, isoler certains vers... |
Anonyme
4/5/2008
a aimé ce texte
Bien
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Ben quoi un sonnet pas trop mal. Et moi je crois que c'est clair enfin pour madame et son amant dépité ?
Tentative de rejet ? "Levant, sans aucun empire. Vous ne saurez Vous soutenir à rien, pas même au sommeil " |
Pattie
8/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah c'est chouette ! De l'image, de l'implicite, du qui résiste un peu... Ca fait plaisir, de lire un poème comme ça sur Oniris. Ah bon, Argos, tu voyais l'amant dépité ? Moi je vois l'amant conquérant et la dame dépitée. Enfin, plutôt dessaoulée et vulnérable. Le voussoiement est intéressant, il augmente l'impression de cruelle réalité implacable.
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Anonyme
6/9/2009
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Un poème mené avec un savoir-écrire évident. Le mot obédience employé ici, sciemment je n'en doute pas, semble perdu au milieu du poème, il me saute aux yeux, l'obédience ce n'est pas rien, cela s'emploie pour désigner le rite d'une formation... Bref, ce n'est pas n'importe quel mot, ici il sort de la fraternité pour servir l'amour colère. Pourquoi pas ? La licence poétique permet tout, surtout quand c'est aussi bien mené.
Un tercet ultime à faire frémir les guerriers et guerrières de l'amour les plus combattifs. Un beau classique. |
Lapsus
6/9/2009
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Je découvre une volonté évidente de créer une ambiance, mais en poésie classique, puisque le texte a été déposé dans cette catégorie, plusieurs points me troublent.
- Un alexandrin est un vers à césure et sa structure classique est en 6/6. "Le masque d'allégresse s'est évaporé" L'élision du e d'allégresse, possible à la césure, ne peut l'être ici car le mot n'est pas suivi d'une voyelle. De fait le e d'allégresse est sonore, ce qui s'avère désagréable à l'oreille et donne une césure en 7/5. Notez de plus que s'il était muet le vers ne serait que de onze syllabes. La césure se balade allègrement tout au long du poème. "Au petit matin en compagnie du soleil", l'oreille l'attend sur "en" (6/6), la construction grammaticale l'en empêche. Elle ne fait sens que sur "matin" (5/7). "Vous soutenir à rien, pas même au sommeil" ne fait que onze syllabes. - l'accord des rimes est incorrect "murs" donne une rime masculine et apparait au pluriel, "armure" qui doit lui correspondre donne une rime féminine et apparait au singulier. L'oreille ne l'entend pas, mais l'œil le voit. J'ai lu quelque part que le bon commentaire devait ne pas être complaisant, j'espère que l'auteur ne s'en offusquera pas. |