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Anonyme
31/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour ! Sympa ce petit texte sur l'alouette qui grisole dans un ciel printanier... J'aime particulièrement les trois dernières strophes ; la définition de l'alouette et pour finir le conseil donné au genre humain...
Rien à dire sur la forme, ça coule tout seul... Une bonne lecture ! |
Anonyme
14/2/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Sans parler réellement de prosodie, on sent la volonté d’une construction classique avec ces huitains de six pieds, avec des rimes sonores.
Pourtant les vers 23 et 42 font sept pieds, et le vers 46 n’est pas sonore. Dans les six huitains, quatre comportent la rime, dite facile, « é, ait, et …. ». Il y aurait pu en avoir moins. La ponctuation est très aléatoire. Par le choix de vers courts, le rythme est soutenu. Ce peut être voulu pour visualiser le vol de l’alouette et dans ce cas c’est un bon choix. Question de sens, le premier huitain fait une bonne ouverture. Hélas, dès le deuxième, qui attaque par le très inopportun « avais-je trop fumé » qui brise la magie des vers précédents, le sens laisse penser que l’auteur voit quelque chose au centre du soleil ! Je fais partie de la catégorie de lecteurs qui disent « Bon. Admettons. » D’autant que par la suite la vue s’aiguise et les détails apparaissent. Le quatrième huitain est de bonne facture, le cinquième moins, à mon avis, pour la métaphore de « couplet » qui signifie ici « airs ». Je pense que « refrain » aurait mieux convenu pour le sens. On retient mieux le refrain que le couplet. Question de bon sens. Pour avoir étudié le sujet, un bon travail de documentation aurait amené dans le texte, le vol Saint-Esprit. Mot très évocateur qui aurait renvoyé vers la sagesse requise par la suite. Un angle aurait pu être pris aussi sur l’expression « miroir aux alouettes ». Le travail reste une façon de s’offrir des choix. J’ai bien aimé « cent pieds dessus ma tête » que j’ai trouvé drôle. Dans le sens général, je pense que sous le titre « histoire vraie » on trouve une fable, sur la base animal/ morale. Cette dernière me semble bien légère et peu démonstrative, avec un mot « cloître » doublement mauvais. Au niveau de la rime d’abord ; mais aussi comme n’évoquant pas suffisamment bien, à mon sens, le vol stationnaire. En vers ultime, « Que les bonheurs convoitent » est gratuit. Le sens complet de la morale est d’ailleurs très incertain. Je trouve enfin dommage que l’auteur ait choisi d’être le héros narrateur de sa fable.. Sa position de moraliste s’en trouve affaiblie. Au total, un peu trop de facilité. |
Arielle
9/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Une chanson fraîche et impertinente dédiée, en forme de clin d'oeil, aux "essoufflés de vivre" tout à fait en accord avec le vol de l'alouette. J'aime beaucoup.
"sifflant n'ayant que faire que ce fut sans projet," ici les deux "que" qui se suivent sont un peu lourds et c'est dommage. "sifflant, la belle affaire, que ce fut sans projet" ...ou quelque chose de similaire peut-être ? |
Pascal31
14/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Très rythmé, chantant et aérien (comme un vol d'alouette !), voici un joli poème.
À l'instar de Pich24, le vers #9 ("Avais-je trop fumé") ne m'a pas plu, il casse la légèreté du texte. De plus, le dernier couplet est entaché d'un disgracieux "Qui de gauche, qui de droite" et de l'assonance "livre / vive", peu agréable à l'oreille. |
Marite
14/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Les trois premières strophes sont un régal ! Elles sont très "vivantes", on s'y croirait sous ce soleil matinal ...
Sonorités, images, rythme s'allient parfaitement pour nous emporter vers ce chant de l'alouette. La répétition du mot "papillon" m'a un peu gênée. Merci à l'auteur pour ce moment de légèreté printanière. |
Coline-Dé
15/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Jusqu'à " Et c'était moi la bête", j'ai trouvé drôlerie, légèreté, rythme, ( les trois premiers vers en particulier, sont délicieux !)... à l'exception de "pour qu'au centre je VIS"... c'est "je visse", et ça fiche la rime par terre, dura lex... !!!
J'ai un peu moins aimé la suite, que je trouve moins enlevée, bien que " elle envoyait en l'air sa joie et son toupet" renoue avec la fraîcheur précédente et que les " essoufflés de vivre" soient une excellente formule, qui fait mouche. L'ensemble demeure plaisant, mais je regrette que la dernière strophe soit un peu lourde. |
wancyrs
15/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Le rythme est mal rendu par la ponctuation des deux premières strophes, mais à partir de la troisième il devient assez fluide et l'on peut apprécier cette fable vraie.
La dernière strophe a quelque chose de suggestive qui me plaît bien |
ristretto
16/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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une très jolie fable
j'ai bien aimé le ryhtme j'apprécie l'humour d'auto dérision : l'emploi du "je" ici est tout indiqué et plein d'humilité bon moment de lecture , merci |
Anonyme
17/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aurais bien écouté fredonner une petite mélodie, légère et insolente, à la lecture de ce poème, je trouve qu'il s'y prête tout à fait. Tant pis, je vais me débrouiller.
Il y a une forme d'insolence dans le propos, une effronterie que l'alouette assume, ainsi que l'auteur. on s'imagine bercé par une petite histoire sans prétention, et on ramasse, sans prendre garde aux signes annonciateurs, la dernière strophe en pleine figure. Pourtant, mon Dieu je ne pense pas être une de ces "essoufflés de vivre", ni de ces "...ivres de directions étroites" ! C'est vraiment bien vu, et plein d'élégance. Clap clap ! joceline |
David
19/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Scribe,
Je rêve où c'est un poème sur l'hélicoptère SA319 Alouette III ? Un oiseau ne peut pratiquer le vol stationnaire généralement, il y ait fait mention en préambule et ce passage me semble le suggérer à nouveau : "mais la fine effrontée ne dévoyait sa peine, qu'à l'immobilité, riant des courses vaines." C'est assez drôle, le poème garde un registre champêtre sans rien de mécanique si ce n'est ce vol stationnaire, à mon avis bien sûr, ça pourrait être un effet d'optique, si l'oiseau se dirigeait droit vers son observateur par exemple, mais je garde mon avis d'une scène impliquant l'engin et non la bête. Le poème pourrait narrer la course d'un fugitif échappé de prison, pour tabagie par exemple, ça pourrait venir bientôt, mais on pourra toujours boire pour oublier... enfin pour en revenir au poème, dans l'hypothèse du fugitif poursuivi par un hélicoptère de la gendarmerie, comment comprendre la dernière strophe ? "Aux essoufflés de vivre qui de gauche, qui de droite, aux petits hommes ivres de directions étroites, je propose le livre et le chemin du cloître, de l'alouette vive, que les bonheurs convoitent." C'est le "chemin du cloître" qui m'a fait pensé à la prison, l'évasion que l'alouette viendrait interrompre, au lieu d'annoncer le printemps, et les bonheurs convoités seraient la tranquillité des honnêtes gens, non mais ! Bref, un poème de gendarme, ou de voleur :) EDIT : L'auteur m'a infirmé, il s'agit bien de l'oiseau et ce "vol stationnaire" n'a rien d'héliporté. |