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Lunar-K
2/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une bien belle description de cet oiseau majestueux. Des images fortes et originales, soutenues par un langage fluide et maîtrisé. J'ai particulièrement aimé :
"Tes ailes se déploient recouvrant la campagne / sans que même les chats, puissantes sentinelles, / ne se soient aperçus qu'en l'azur éternel / les anges t'ont choisi pour ultime compagne." Je n'ai rien à redire sur la prosodie. Lire ce poème est un vrai plaisir. Un léger reproche néanmoins : je ne suis pas du tout convaincu de la nécessite du dernier quatrain. Il me semble que le poème n'aurait rien perdu, au contraire, à s'achever après : "car de l'oiseau du soir nous sommes bien les frères". Un très bon poème, très agréable. Bonne continuation ! |
LeopoldPartisan
5/3/2011
a aimé ce texte
Pas
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j'adore moi aussi observer les rapaces, mais ici je dois bien avouer que je me suis ennuyé. C'est d'abord un rien présomptueux dans le pompeux et puis assez rapidement, c'est une certaine platitude qui suit. Je crois que ce qui en plus me manque c'est la beauté réelle du décor naturel dans lequel évolue l'oiseau qui est totalement absent du texte. désolé mais cela ne m'a absolument pas parlé.
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Lunastrelle
5/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Rien à voir, mais ça m'a rappelé la chanson "l'aigle noir", de Barbara... J'ai eu une émotion similaire, alors que, cela ne traite pas du tout du même sujet! Je serais bien incapable de l'expliquer.
D'autant plus que j'ai eu du mal à me plonger dans le poème au début, les vers ne m'accrochaient pas. C'est à partir de la troisième strophe où là, j'ai commencé à sérieusement me plonger dans l'atmosphère. Le lecteur se retrouve observateur, mais aussi un peu à l'intérieur de cet oiseau du soir... Par contre, la toute dernière strophe me semble de trop, personnellement. |
Anonyme
16/3/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Scribe ! J'avais aimé L'alouette, je suis plus réservé en ce qui concerne L'oiseau du soir... Il y a de bons passages mais aussi de moins bons. Le premier quatrain est un peu bizarre et je ne comprends pas "j'ai assez d'une main".
J'aime bien ce qui suit : "Sous le dôme de bronze aux liserés d'ébène rien ne saurait alors soustraire à ton regard et tu choisis celui qui dans le bleu du soir laissera dans la nuit ses espoirs et ses peines..." pour l'idée mais la forme laisse à désirer. Ne serait-ce pas plutôt "se soustraire" qu'il eût fallu employer ? Le dernier quatrain est, à mon avis, de trop et j'aurais bien vu ce texte s'achever sur le quatrain précédent. Bref, il y a de l'idée mais pas mal de maladresses facilement corrigibles... Attendons l'oiseau suivant, celui qui nous fera planer ! Amicalement. Alex |
Anonyme
16/3/2011
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Sur le fond, le sujet ne m'intéresse guère, et le poème (surtout au début) m'a paru trop vague pour me toucher. Car les trois premiers quatrains, finalement, pourraient s'appliquer à bien des êtres, me semble-t-il.
Sur la forme, je ne déteste pas ce rythme d'alexandrins parlés mais ai une réserve sur "Sous la voûte douce de la noble guerrière" ; pour avoir le rythme de douze syllabes, on est obligé de prononcer "Sous la voûteuh douceuh de la noble guerrière", et cela fait artificiel, selon moi, cela empêche le vers de bien couler. Par ailleurs, c'est qui la noble guerrière, la nuit au dôme de bronze ? Pourquoi la célébrer ainsi ? Et s'il s'agit de la buse, il me paraît difficile à nous, humains, de caser nos corps sous la voûte du sien, vu la différence de taille. À moins que le narrateur ne change soudain de point de vue narratif et que ce "nous" ne corresponde aux proies de la buse, mais ce n'est pas clair ; en outre cette piste tourne immédiatement court puisqu'on revient très vite au "je" du narrateur humain. Je pense donc que ce poème souffre d'un manque de cohésion dans le propos, et de formules qui me paraissent mises là pour faire joli, sans nécessité interne à ce qui est dit : le "cœur à l'air", "le seigneur de tes grâces", etc. Mais le rythme est agréable, je trouve, mis à part le vers que j'ai signalé. |
Charivari
16/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai trouvé ça très très bien écrit et... très pompeux, maniéré à la fois. Je m'attendais, au détour d'une strophe voir surgir "dame nature qui darde ses rayons"...
Bon d'accord c'est un bel animal, mais à part ça, je n'arrive pas à ressentir la moindre émotion, ni à voir la finalité du poème |
wancyrs
16/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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On se demande à quoi peut bien équivaloir cet oiseau du soir. Est-ce bien d'un animal ailé qu'il s'agit ? ou bien d'une quelconque métaphore de quelque sujet autre ?
J'ai trouvé assez bizarre la rupture de rythme qu'initient les deux dernières strophes, et aussi des strophes qui n'apportent pas grand chose à l'ensemble : Tu as bien des pouvoirs que je ne comprends pas quand je regarde autour je ne vois que du vide mais pour toi le seigneur de tes grâces, avide, solidifie le vent pour soutenir tes pas. |
Anonyme
18/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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Je crois qu'une contrainte prosodique serait bénéfique au texte.
Cela le purgerait de longueurs inutiles, et cela affinerait certains passages parfois confus de cette belle allégorie. |
Anonyme
24/3/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Il y a un certain mélange entre les strophes qui me laisse très perplexe...Un oiseau qui a le pouvoir de venir chercher les regrets et les repentirs... Voilà ce que je retiens ...
Je trouve le texte très hermétique: Qui est cet oiseau? Est-il irréel? J'ai assez d'une main...pourquoi faire? qu'en d'autres tanières se fait sentir le drame. Quel drame? Bon en fait, je me suis cassé les méninges. J'aurais aimé un texte plus fluide et mieux structuré... Bon j'en resterai sur ma faim et mon incompréhension... |
David
28/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Scribe,
Cette buse vue comme une douce camarde a plus qu'une beauté morbide, voir la mort comme une chasse où il serait honorable d'être proie est assez étrange, à contre courant de l'image de la chasse. Même si l'oiseau serait plus une augure (un "souffle", une "chaleur") que l'auteur d'une mise à mort sanglante, comme au théâtre, le signe ferait loi. Je trouve ça assez originale et plaisant. Il y a un passage au début qui m'a évoqué les ombres chinoises : "mais rares sont les fois, j'ai assez d'une main, où sous ta permission tes ombres se dessinent." Encore qu'esquisser un oiseau à l'aide d'une seule main me semble difficile, pour faire l'ombre d'un oiseau sous une lumière, j'emploierais les deux, et je ne me risquerais pas à préciser qu'il s'agit d'une buse ou d'un faucon, mais c'est comme cela que j'ai compris ce passage. Dans cette strophe par contre, il manque quelque chose : "Sous le dôme de bronze aux liserés d'ébène rien ne saurait alors (se) soustraire à ton regard et tu choisis celui qui dans le bleu du soir laissera dans la nuit ses espoirs et ses peines." J'ai mis entre parenthèse le mot qui me venait, sinon il me semble qu'il manque la ou les choses ou personnes qui ne pourraient se soustraire au regard. |