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papipoete
27/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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libre
" Vous devriez voir Nehebka la Nubienne " ; on ne peut l'oublier, faisant penser à une toile de Soulages ! Elle est belle et cultivée aux lettres sur sa peau scarifiée ! Elle a un courage ; elle ne craint personne...jusqu'à ce jour où... l'on parla d'Elle à l'imparfait ! NB même si je ne saisis pas toutes les métaphores de l'auteur, je trouve ce récit très beau, comme peint en noir sur des fonds d'eau, à l'oued où se mire le cocotier . |
Corto
29/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voici un voyage fulgurant dans l'espace et dans le temps.
L'évocation du peuple nubien au temps des pharaons et même des pharaonnes noires nous faite perdre nos repères. Les rites de ce peuple venu de si loin comme JMG. Le Clezio l'évoque lui-même dans l'un de ses romans nous plonge en plein mystère. Un monde mystérieux certes mais une femme bien déterminée. Elle n'échappe pourtant pas à la douleur d'être stérile et de ne pouvoir avoir elle aussi la "ronde bosse". Ce texte est à la fois descriptif, évocateur et concis. Avec le final "Amour rayé" on prend en plein visage le fossé entre puissance et bonheur. Bravo à l'auteur. |
BlaseSaintLuc
26/5/2019
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alors là je reste sur le cul, d’incompréhension et c'est bien cela qui me chagrine, ni ne comprend, ni trouve le chemin du verbe poétique de ce texte mystérieux certes (et ça j'aime) mais tellement opaque que soulage ne le renierait pas (on le site d’ailleurs) quoique , il n'y à dans l'ivoire de noir que (l’Âme de celui qui le chasse) .
Je trouve que les temps ne sont pas si "magiques." Mais ce n'est pas moi qui suis né en Afrique, c'est mon père et je crois qu'il ne m'en a pas tout dis ... J'ai bien une petite idée sur l'auteur, mais en EL rien de certain, un style particulier, une patte qui sait ... Je lis, je relis, bien difficile d'apprécier sans comprendre. ps. bon pour l'auteur je me suis complétement planter et en relisant je vois bien la magie ,mais bon c'est compliqué d'avoir une appréciation (honnête ) du coup c'est un blanc* merci pour la lecture ... |
Robot
26/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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- s'agit-il de la descendante du serpent Nehebkaou ou de l'esclave de Aïda ou d'une femme simplement imaginée -
Ignorant des pages de l'histoire auquel se réfère le texte je me prononcerai seulement sur la composition empreinte de mystère que nous offre ce texte. Beaucoup de poésie dans l'expression, des vers évocateurs. Nul besoin de plus de références pour prendre au pied de la lettre ce que je lis comme un superbe hommage à une reine que l'incipit relie à l'Antinéa de L'Atlantide et à Aminata, la Reine des Touaregs venus d'un pays étrange et lointain… Voilà une écriture que j'apprécie. |
Luz
26/5/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour senglar,
Voilà ce que je sens être un VRAI poème, qui remue, qui dit autre chose que ce qui se ressasse par-ci par-là. La 1ère strophe est magnifique. Je n'ai pas compris l'oued sans retour sur miss, mais ce n'est absolument pas un problème. J'ai aimé, j'ai ressenti, j'ai rêvé... Merci. Luz |
hersen
26/5/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Ah ah ah, index et omicron en coulisse...
faut-il donc être balèze en poésie pour caser cette périphrase dans un poème que j'aime passionnément ! cela dit tout, ou en tout cas beaucoup, de ce que s'autorise l'auteur; et que dire d"outrenoir" ? c'est juste magnifique. Je ne vais pas tout détailler, je le ferais mal, mais c'est un poème haut en couleur et en humanité, c'est un poème d'amour, un poème sur l'amour et ses aléa, et tout cela, au fond, n'est-t-il pas sorcellerie, sinon, pourquoi y recourir, la surenchérir À pleurer aux nuits de ronde bosse au pied du cocotier stérile Et en plus c'est triste. Amour rayé. |
leni
26/5/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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bonsoir mon AMI Senglar
Tu te permets tout en poésie Ton poème est à faire pleurer tous les saules du monde Il respire l'humanité l'amour la sorcellerie Elle intimait à l'homme COPIN! Là ça respire la connivenceElle riait MAIS Mais elle aimait à se damner aux sorcières brûlées vives EN deux lignes on passe du gai au triste et on sent le vrai Le vrai de tous tes écrits Tu promènes ton lecteur à ta guise et il doit te suivre pour ma part je n'ai pas tout compris C'est une joie pour moi de comprendre le fil de l'idée avec lequel tu m'embobinesMERCI AMI LENI |
taha
26/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Senglar bonjour,
Ces vers viennent raffermir le mythe du « suprême » de la beauté de la peau sombre, lancé dans le siècle de Balkis. Les lieux de charme sont plusieurs, bien nichés entre les mots, entre les vers. Je dois dire cependant (faut bien) que je n’arrive pas à concilier la promesse de la première strophe, une invitation à un voyage mythique dans un pays « palpitant sur la magie du temps » et cette « l’enjôleuse, la criailleuse » qui fait irruption à la 4ème strophe. Mais ça c’est du Senglar, me dira-t-on, à prendre ou à laisser. « Bois brûlé outrenoir / noir d’ivoire » rend un hommage magistral au grain de la peau de Nehebka la Nubienne. Merci Senglar |
STEPHANIE90
26/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Senglar,
la magie noire a opérée. Mais quelle est cette potion que l'on déguste, ne butant même plus sur quelques langages pittoresques sur ces terres nubiennes ressorti des oubliettes d'Aïda en version néo, si je puis me permettre. Quelques indélicatesses bourrues, mais une si belle histoire d'amour pour la Nubie que je confesse apprécier cette poésie, "Baluchon pour l'infidèle !", comme vous y aller... StéphaNIe |
Anonyme
26/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un éloge de la beauté noire ou bazanée - " outre noir " comme les toiles de Soulages -
La reine des touaregs, la reine de saba, la reine guerrière, autant de femmes de caractère. Cette " Nehebka " est-elle inspirée de la comédie musicale Aïda (Elton John et Tim Rice) ou née de l'imagination de l'auteur ? " l'œil palissandre en intaille de wengé " j'ai bien aimé cette image. Par contre, dans le contexte, "criailleuse " ne m'a pas séduit. Un texte intéressant et original. |
Donaldo75
27/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour senglar,
J'aime beaucoup la forme libre et je sais combien c'est difficile d'en composer. Tu as réussi à me surprendre et je n'arrive pas à savoir pourquoi. Toujours est-il que la première fois que j'ai lu ton poème, je me suis dit "pourquoi pas ?". Pourtant, le découpage de la première strophe ne m'encourageait pas dans ce sens car je le trouvais raté, chaotique presque. Puis je me suis habitué à cette découpe qui va bien avec le thème, finalement. Et le reste a coulé de source. Bravo pour m'avoir fait changer d'avis ! Don |
Vincente
27/5/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Senglar,
Quel souvenir extatique reprend vie dans ces vers ! Souvenir, je le prends comme tel car je ne sais pas si tu es aussi le narrateur, mais de toute façon, s'il y avait fiction, ce serait égal grâce à la force de l'imagination. Ceci pour dire l'impression enfiévrée qui émane de ce texte. Une femme d'ébène aimant l'amour, libre, passionnée, excessive mais entière, quel personnage, une Carmen africaine ? J'ai bien aimé ce "elle intimait à l'homme :" qui doit s'entendre dans ses deux sens, celle de l'invitation appuyée et celle de l'intimité désirée. Le "miss" m'a un peu gêné, il est vraiment trop en marge du champ lexical de l'ensemble. J'ai beaucoup aimé ce : "scarifiée d'un alphabet de sang empreint" Et puis ce rythme qui nous attire dans sa transe endiablée, cette "diablesse" qui se dessine et nous emporte... puis cette fin "Amour rayé" qui de l'excès qui précédait sans l'annoncer nous déroute et nous place face à la très chargée image finale. Ce qui restera de la passion de NehebKa la Nubienne, de celui qui l'a aimé et de nous pauvres visiteurs qui ne l'auront rencontré qu'au travers de ta plume. |
Anonyme
27/5/2019
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Bonjour Senglar,
Je suis bien incapable de me porter caution d’un texte que je ne comprends pas, et je déteste dire oui à quelque chose qui un jour pourrait me compromettre :) Je ne suis en effet pas sûr des activités de cette Nehebka la Nubienne ni de ce maki loup étranglé qui m’a tout l’air d’un souteneur. J’ai bien ri à l’Index et à l’Omicron, que je rapprocherais de la blague de la salière et du poivrier au restaurant. Enfin, si j’ai bien compris l’invitation de Nehebka dans sa case :) L’exotisme chaud ambiant ne suffit pas à me faire voyager. Et puis j’avoue que l’évocation de Soulages fait un peu snobisme apprêté au milieu de tant d’animalité. Outrenoir était évocateur, mais tel un Soulages dégonfle l’image avec l’outrecuidance d’un guide de musée :) C’est marrant, à vous lire, j’ai l’impression de disposer de pièces qui ne me servent à rien (Soulages) et de ne pas en trouver quelques-unes qui me seraient plus utiles. J’ai tout bêtement un souci de lecture. Sans doute me manque-t-il trop de références pour élever mon esprit au niveau des reines nubiennes. « Oued sans retour Sur miss » J’ose à peine essayer de déchiffrer le possible calembour. Et puis, qui est ce narrateur, qui nous raconte Nehebka ? Un client ? Décidément, cher Senglar, j’ai encore un long chemin à parcourir pour vous croiser au même carrefour. Je ne peux même pas dire que votre style soit si personnel que ça, puisque j’aurais été bien incapable en EL de vous identifier avec certitude. Cela dit je suis toujours curieux de vos productions, même si je n’aimerais pas y rester enfermé la nuit. Mon pote Dédale ne fabrique plus d’ailes. Cordialement FrenchKiss Soulagé |
emilia
27/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie originale, exotique, mystérieuse, qui ne se dévoile pas dès la première lecture, mais propose au lecteur de partir s’aventurer dans l’espace et le temps, comme un funambule sur son fil, en quête du sens à découvrir, sachant qu’il appartient à chacun d’interpréter en fonction de son propre cheminement, de façon proche me semble-t-il de la définition donnée par un onirien sur ce qui doit être pour lui, la vraie poésie dans sa forme libérée, celle qui résiste, tend des pièges, interroge selon les degrés de lecture à adopter, surprend, résonne, égare parfois, pour imposer au final l’intérêt et la force d’un échange réussi, malgré ou à cause de ses zones d’ombre, l’ensemble permettant de rendre un hommage appuyé à la beauté de la femme noire, à son tempérament combatif, grâce à l’évocation de cette héroïne Nehebka dont la statuaire « en ronde bosse », au regard si troublant, est associée à l’exigence picturale de Soulages, dans une atmosphère dramatique entre Plaintes, Stridences, Vengeance et Larmes dont les majuscules pourraient s’accorder en fond sonore à « la marche des trompettes » dans l’œuvre d’Aïda… ; merci à vous pour ce partage instructif !
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Myndie
28/5/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Senglar,
Votre poème est un bijou. Un cri, une émotion à fleur de peau, une plaie vive. Son jeu graphique est un électrochoc, vers éclatés, structure chaotique, à l’image de cette femme impétueuse – et un peu sorcière - et de cette histoire d’amour bouillonnante. Votre style, c’est l’immédiateté qui donne à ressentir, par ses soubresauts et ses exclamations, le feu, la violence, la transe, les déchirements. Vos vers semblent rejeter toute logique en avançant par bonds successifs. Mais ce n’est pas le cas. En réalité c’est cette combinaison de rythme heurté, d’images et de sons qui conditionne ce que l’on ressent, toute cette ferveur comme un envoûtement. Comme une plongée dans l’âme de l’Afrique, dans ce que l’on imagine de plus fabuleux, de coloré, de chaud et de sensuel. J’y retrouve un peu du style de Césaire, esthétique et complexe, anarchique et parfois explosif mais si suggestif ! J’ai beaucoup aimé les 14 derniers vers et surtout ce « pleurer aux nuits de ronde bosse ». merci pour cette lecture |
Davide
29/5/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour senglar,
Si j'admire cette écriture foisonnante, je ne l'apprécie pas beaucoup pour autant. Il y a un décor, une atmosphère, nous sommes en Afrique, en Nubie. Nehebka, c'est joli et ça force le respect ! En revanche, je n'ai pas compris ce que Soulages et son outrenoir venaient faire par ici... Est-ce une périphrase d'un rapport intime : "l'Index et l'Omicron en coulisse" ? Je crois que oui, eu égard à ce "honoré" au 2e vers. Cela me permettrait de comprendre le "sans retour / sur miss", comme un départ sans retour, un ostracisme... Ce qui me plaît dans ce poème, je dirai justement le cadre exotique bien dépeint, avec un vocabulaire subtil et bien choisi. De même, j'y vois personnellement un hommage à la femme, à toutes les femmes, ici dans une position de pouvoir, de décision, ce qui, on le sait, n'est pas un truisme à notre époque, ni même par le passé, quel que soit le pays d'ailleurs. Enfin - je ne suis pas certain de ce que j'avance, je n'ai pas vérifié ! - mais je crois que l'épigraphe mentionne le nom de plusieurs femmes occupant / ayant occupé une place de choix dans la société de leur pays. Malgré tout, je ne comprends pas clairement où l'auteur veut en venir. Quelle est son intention ? Est-ce un vraiment un hommage ? Je me sens, hélas, dépassé par la volubilité de ce poème... Un texte riche, que j'ai plutôt bien aimé, assurément, mais trop secret, trop crypté pour ma petite cervelle... Merci du partage, Davide |
alvinabec
30/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Senglar de Brabantie,
Ce texte, je l'ai trouvé bavard, ce qui en fait le charme comme une palabre tardive sous le manguier. L'alphabet scarifié, très visuel, je le retiendrai comme résonance intime à l'amour rayé. A vous lire... |
Mokhtar
3/6/2019
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Bonjour Senglar,
Vous ne trouverez pas ici de commentaire de ma part sur votre poème " Elle….", mais sachez que je m’y suis intéressé. Je ne vous conterai pas les jours et les nuits passés en recherches diverses. J’ai potassé la vie de toutes les reines de hausse et basse Égypte, disséqué les textes des pièces et opéras sur Aïda. J’ai dévoré les revues spécialisées sur les techniques de l’intaille, consulté toutes les encyclopédies sur l’art statuaire. Mes moteurs de recherche ont surchauffé sur ma recherche de sorcières immolées les soirs de tempête. Mon PC a failli crier grâce, ne m’affichant qu’un écran noir si j’investiguais sur Soulages. J’ai contacté une association de sourds muets pour leur proposer les gestes que vous suggérez (je ne sais pas pourquoi je me suis fait jeter). J’ai traqué l’ambre jaune dans les yeux des loups, poissons ou canidés. Je suis devenu expert dans la préparation des sushis illuminés et des makis masqués. Je me suis usé les yeux sur les études portant sur la stérilité des palmiers sans noix (cause ou conséquence ?). Et quand je m’apprêtais à vous communiquer mes sentiments sur l’affaire, je me suis aperçu que FrenchKiss avait pompé tous mes arguments. Senglar, je vous hais. |
Pouet
3/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
ce n'est pas nécessairement dans mes habitudes mais j'ai survolé quelques commentaires qui semblent évoquer l'incompréhension. Alors je n'ai certainement rien compris, mais j'ai simplement pris cela pour un amour, un hommage à Nehebka, souvenir d'une romance, belle histoire ensevelie sous le sable du Temps. La forme est originale, l'évocation de Soulages, le jeu de mot "retour sur mise", de jolies métaphore comme: "'œil palissandre en intaille de wengé"... Au final, un bien joli portrait, une description vivante, certainement l'auteur est-il un drôle de zèbre pour cet amour rayé. |
krish
15/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n’entrerai pas dans les détails de construction, c’est comme pour le vin: On y trouve ci ou ça, mais l’essentiel est surtout de l’aimer ou pas.
C’est beau mais je me suis un peu perdu dans les références qui tantôt m’évoquaient la Corne de l’Afrique tantôt l’Afrique de l’Ouest, j’ai donc relu en imaginant un territoire, mélange de ces deux parties du continent. Une modernité chez ce personnage féminin, insolent et libéré dans un cadre qui, lui, est resté traditionnel. Un joli portrait, je pense volontairement énigmatique de par les références culturelles qu’il utilise, avec la possibilité de créer ainsi chez le lecteur ce sentiment de dépaysement ressenti par l’auteur en terres africaines? Si pour être « exotique » un texte doit perdre le lecteur dans des références culturelles qui ne lui sont pas directement accessibles. Je trouve donc que ce poème l’est. Si le texte fait référence à un lieu existant qui accueille les voyageurs, ça donne envie d’aller y poser son sac ne serait-ce que pour connaître la propriétaire. |
Anonyme
17/6/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Senglar,
''Elle Nehebka'' déjà le titre est sublime et ouvre la porte... ''l'oeil palissandre en intaille de wengé'' et j'ai aussitôt sous les yeux le regard de braise fendu typique des reines africaines. ''Aux nuits de rondes bosses'' fait vibrer mon imaginaire... Une reine en mal d'enfant ? Je ne connais rien, ne comprends rien au noir de l'Afrique. A défaut, dans celui de Soulages je peux y lire du blanc. Mais dans ce poème se mêle une poésie étrange et j'aime le goût sauvage qu'elle distille et dont je me délecte dans une ambiance à nulle autre pareille. Merci pour le dépaysement et la beauté engendrée par vos mots. Parfois il n'est nul besoin de tout comprendre pour se laisser emporter... Cat |
Anonyme
7/10/2022
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Bonjour senglar,
Je connaissais (l'excellent) commentateur mais pas encore l'auteur. C'est chose réparée et je ne suis pas déçue. Ne le vois pas comme un retour d'ascenseur mais l'expression de ma curiosité insatiable.^^ J’ai opté pour cette poésie à cause (plutôt grâce) au titre qui m’a attirée. J’ai de suite googueulisé pour trouver une Nehebka, lieutenante d’une reine des Amazones. Pas certaine que ça soit celle que tu évoques dans ton poème… Entre Afrique Noire, sorcellerie et sensualité animale, ce texte intrigue, subjugue, et me laisse face à des références inconnues (index et omicron ?) de métaphores tout aussi étonnantes qu’inventives (les nuits de ronde bosse, le cocotier stérile) mais c’est l’ambiance générale de la poésie qui m’a littéralement enchantée. En résumé, une poésie difficile a commenter pour moi mais dont les relents voluptueux et sauvages restent sous la langue comme un piment jamaïcain. Anna, exploratrice de la brousse |