Quelle poésie et quelle danse...certes, pas de vocabulaire très recherché mais cette sensualité qui émane du texte véhicule l'émotion.
La musicalité est parfaite et le sujet bien mené comme une danse qui enivre. Merci pour cet instant de plaisir" exquis"...

Beau parce que simple.

Il y a les ingrédients du sonnet baudelairien: une recherche dans les images, une mise en forme classique, une simplicité.

C'est peut être le reproche que je ferai: c'est parfois trop simple, trop "visuel", la part de l'imagination devient un peu trop congrue.

Je n'ai pas aimé "Tu m'offris les trésors de ton jardin secret" que je trouve trop banal, presque cliché.

Mais le reste me plait.

On se met à rêver en lisant...
Simplicité? Je ne sais pas. Car l'atmosphère est là. Réelle pour ce beau souvenir, ce beau rêve. La première strophe contient à chaque vers sa petite richesse.
On ne peut que penser à ces "prunelles sombres", à ces "jardins secrets", "à ce regard brûlant".
La musicalité est d'une belle discrétion, laisse toute sa place au contenu. C'est rare.
Moi j'ai aimé, sans retenue.
Merci sentimentic1!

Un beau poème classique ; j'aime beaucoup le premier quatrain et le premier tercet !
la chute - toujours difficile les chutes dans un sonnet -manque de force, de surprise; un peu frustrante par sa simplicité, mais
c'est tout de même bien joli !
merci

pas besoin de reprendre des vers ici qui m'ont plu, si oui je reprendrais ici tout le poème. il me parle tellement et cette danse érotico-exquise provoque des frissons qui parcourent tout mon corps.

Rien à redire, juste Merci

Wancyrs

Bonsoir sentimentic... Un très joli poème, bien mené du départ à la chute. Simplicité, douceur et sensualité sont les qualificatifs qui me viennent à l'esprit pour définir ce poétique et ravissant tableau. Merci pour cette très agréable lecture... Alex

Ce poème bien construit fixe un joli moment par des mots simples et sensuels.
La lumière et la chaleur, même après le fin du jour, sont les vrais leitmotive de ce texte.
La médaille (la chute) de ce poème qui emprunte beaucoup au sonnet aurait méritée d'être plus inattendue.

Le poème se lit facilement, et avec plaisir.
De belles images.

Quelques hiatus un peu gênants, mais bon, nous sommes en néoclassique...

Bonjour,

Comment ne pas aimer ce jeu d'ombre et de lumière ? J'ai aimé cette danse exquise, très sensuelle...
Merci à vous

De la simplicité peut naître un beau poème.. C'est aussi cela la force de la poésie, de se laisser aller, sans ne chercher plus loin que ce que les sens imposent, d'eux-mêmes, sans les forcer..

Quand bien même il peut s'entendre des 'clichés', l'ensemble est à vivre d'un seul élan..

Le vers final, n'est, comme l'entendait Domi, peut-être pas assez puissant, mais c'est le vécu de l'auteur qui mesure cette puissance.. Je ne saurais trop l'en blâmer..

Une lecture que j'ai beaucoup appréciée..

Danse érotique d'une femme dont le corps exhale des parfums capiteux : l'auteur reprend à son compte un thème majeur de la poétique baudelairienne.
Une parodie que ce texte, donc ; mais après tout, il est normal qu'un poète débutant veuille recourir à ce genre d'imitation.

Qu'on me permette d'être étonné par l'enthousiasme lu plus haut, et qu'on m'autorise à ne pas le partager.
L'abondance de virgules (surtout dans le second quatrain) donne un rythme perturbé, qui ne correspond pas à l'idée qu'on pourrait se faire d'une danse sensuelle.
Le vers 7 me semble n'être qu'une répétition du précédent, formulée autrement.

On espère au fil de sa lecture quelque chose qui sorte un peu du terriblement ordinaire : on ne le trouve nulle part, hélas.
Une nouvelle fois, le dernier vers aurait pu très bien être placé ailleurs dans le texte, puisqu'il n'apporte aucune surprise, puisqu'il ne contient aucune idée un peu originale, puisqu'aucune image forte ne le porte.
Toutefois, les tercets sont plus appréciables que les quatrains, et l'ensemble plus soigné que ce que j'ai pu lire de l'auteur (d'où ma notation).

Bonjour Sentimentic,

Je trouve qu'il y a un écho entre le début et la fin du sonnet, de ce "soleil" jusqu'à ce regard "brûlant". Le poème n'est pas "classique" pour l'absence de pluriel d'une des rimes des quatrains, où se retrouve également les hiatus :

"j'ai allumé un feu."
"s'envolait, peu à peu."

Ces deux hémistiches seraient la clé pour donner un peu plus au poème, enfin, le rapprocher des règles du genre. La démarche n'est pas "néo-classique", mais "classique" avec des licences, qui pourraient être surmonter, à mon avis. En soi, c'est une "ode à la muse" assez finement provocante, pas si facile à mettre en place.

Je n'aime pas trop le thème, cent fois rabâché depuis que la poésie existe.
Ceci dit, il est ici fort plaisamment traité, avec maîtrise, aisance et musicalité.