|
|
ristretto
10/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
------ voilà,une lecture qui laisse le lecteur ...en suspension ..
loin là haut avec ses propres rêves ..et ceux qu'il a perdu ou oublié ou caché .. particulièrement sensible à : « Je chercherai dans les tumultes les chants oubliés au bord des peurs… » « Les rêves enfouis apparaissent… indélébiles empreintes. » ha ! l'amour ! sans lui ce dernier rêve ne serait pas ce qu'il est merci pour ce beau moment de lecture |
Anonyme
11/2/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Zut pour toutes les répétitions dans le premier paragraphe, ça me gache un chouilla le truc, comme si tu n'avais pu trouver d'autres mots pour les exprimer. En fait, ça passerait si c'était décomposé en vers libres sur cette partie... Là ça fait un peu redondance.
Le premier paragraphe est en fait assez naif, ne le prends pas péjorativement, une vision un petit peu mimi la pralinette des choses... enfantine presque... Et en fait tout le poème est dans cette veine un peu simpliste, un peu innocente de l'amour salvateur... les amours puisque tu les veux au pluriel, je t'accorde que c'est un bon choix. En parlant de choix, je me demande si le retour du titre en vers d'ouverture est un bon choix...? Inutile selon moi, il perturbe la fluidité du poème. Qui a une certaine musicalité, même si les mots et les images sont assez convenues... Une prose qui n'a rien de vraiment original donc, mais qui n'est pas non plus mauvaise. Un peu de relecture, quelques modifications de termes seraient une bonne idée. Voilà, merci et bonne continuation. |
ANIMAL
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une jolie rêverie au fil de laquelle je me suis laissée porter. C'est léger et plein de sensibilité, même si les images ne sont pas nouvelles.
Le rythme est équilibré, engendrant une espèce de douce léthargie que rien ne vient troubler. Pas un mot ne heurte le déroulé de ces rêves enfuis. Une lecture pour les moments paisibles. |
Garance
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une telle "guidance" ne peut qu'être bénéfique, et les rêves dépourvus de visions de cauchemars.
Mais les rêves ne conduisent que vers une plus grande compréhension de la vie, ils abolisent même la barrière de la mort - Un beau texte pour moi. |
domi
15/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
très joli..
un très beau titre, poétique à lui seul.. les jeux de mots sont délicats, légers comme un rêve de mots... j'ai beaucoup aimé |
Anonyme
23/2/2010
a aimé ce texte
Bien
|
"J'irai me confondre aux couleurs des peuplades silencieuses", "les chants oubliés au bord des peurs", "un monde muet se meut et se meurt", seront les passages que je retiendrai.
Pitêtre un peu inégal, mais un joli poème, un joli titre. |
Chene
23/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour,
Une impression d'ensemble plutôt positive pour ce premier poème, avec pour commencer ce beau titre "Prose des rêves enfouis" Quelques belles expressions : "aux couleurs des peuplades silencieuses", "Devant, un monde muet se meut... et se meurt" Une remarque cependant qui me semble amoindrir la qualité poétique de cette prose : l'omniprésence d'un phrasé commençant par "Je", peut-être une recherche sur d'autres formulations moins stéréotypées auraient apporté un plus. Non ? Enfin, dernière remarque : après les trois points "...", ne faut-il pas mettre une majuscule ? D'ailleurs, cette ponctuation me semble trop présente, à mon avis et ne s'imposait pas obligatoirement (personnellement, je ne l'aurais utilisée que pour "se meut... et se meurt". Bonne continuation Chene |
irisdenuit
23/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour ami,
Bienvenue sur Oniris :-) Je suis heureuse de t'y retrouver.... Cette prose te ressemble tant nostalgique avec de si belles images. Juste un bémol, la première phrase porte un peu à confusion. Le reste est magnifique. Gros bisous, Iris |
Anonyme
23/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
"Je chercherai dans les tumultes les chants oubliés au bord des peurs…" un délice.
Un très beau poème, doux et savoureux pour les yeux. Merci, pour cette promenade entre rêve et réalité. La fin m'attire plus que le début. Pourquoi ? Cela me semble moins léger, plus pesant à cause des verbes au futur peut-être. |
pieralun
26/2/2010
a aimé ce texte
Bien
|
Texte surprenant qui monte en puissance.
Je n'aime pas les 3 premiers vers que je trouve lourds. A partir de " je sais déjà" le poème s'améliore de vers en vers et j'en relèverai le 5, le 7 et le 8 très très beaux. la chute à la hauteur de cette bonne partie. J'aime moins: " Devant, un monde muet se meut… et se meurt." moins fluide Bien dans l'ensemble |
Marite
28/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'avais laissé passé ce poème et pourtant c'est en le lisant ce soir que je comprends ce qu'est la poésie en prose. Merci Serge. La phrase que je préfère est: "Je sais déjà le survol du long cortège du temps, du monde et des saisons." Très beau.
|
David
3/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour Serge,
Peut-être pour le thème aussi, mais le début de la quatrième ligne m'a fait pensé à cette strophe du "Bateau ivre" d'Arthur Rimbaud : "Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir !" Peut-être trop court, ou trop de retenue. Bon, c'est juste une impression de lecture, plutôt bonne dans l'ensemble, mais il y a plus à lire au début qu'à la fin, ces "amours" concluent à toutes vitesse. |
Lunastrelle
13/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un doux chant qui invite le lecteur à aller avec sa raison et son coeur, au bord d'un petit sentier qui aime se faire rivière... C'est la première impression que j'ai lu, en lisant ce texte...
Il y a de multiples sens j'ai l'impression, pour moi je l'ai compris comme une manière de vaincre sa peur de la mort, (ou de l'amour? Les deux mots j'ai tendance à les rapprocher, ainsi que leurs sens) et de se préparer à l'accueillir quand le moment sera venu... Surtout avec le vocabulaire employé: "assassinées", "dernier rêve", "j'irai me confondre..." Je ne vais pas faire une analyse théologique, mais il y a un peu cette notion de ne pas mourir vraiment, mais de se fondre dans l'univers... Notion qu'ont en commun toutes les religions asiatiques, enfin là je m'égare quelque peu... (Mais j'ajouterai qu'il y a aussi un chuya de quelque pensée égyptienne, la vie après la mort). J'ai par contre paradoxalement pensé aussi à une renaissance, revenir aux origines pour se purifier et repartir de zéro... Chercher quelque chose, une réponse à une question que l'on ne formule pas, que l'on ne connaît pas... La quête de toute une vie... L'amour? Bref, une lecture vraiment intéressante, que j'avais trouvé un peu courte aux premiers abords, mais en relisant plusieurs fois et en me plongeant dans les vers, je trouve que l'essentiel est là, et qui est poétique. Et un peu philosophique si l'on regarde bien... |