|
|
silvieta
22/1/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
L'incipit donne le ton. "nous atterrâmes" (du verbe atterrir?)
Déjà dans l'incipit on ne comprend pas grand chose. C'est un bon incipit puisque le reste est de la même veine. L'incipit m'aurait largement suffi. On ne comprend que dalle à ces phrases tranchées en plein vol et balancées en vrac, si ce n'est que s'en dégagent parfois des bribes qui ne sont pas sans rappeler Clément Marot ou d'autres poèmes médiévaux, mais on a surtout l'impression que l'auteur s'est saisi d'un vieux recueil de poésies de cette époque, en a copié les expressions, les a mises dans un chapeau et les a ensuite recopiées dans un ordre aléatoire. Cela pourrait avoir son charme si ce n'était pas si horriblement long. Eh les auteurs, ayez pitié des pauvres lecteurs, et surtout des pauvres autres auteurs qu'on n'a pas le temps de lire quand on passe son heure à essayer de digérer pareil salmigondis. Je souscris complètement à la notation en PS. "Las, y' en a ras le bol, du rien". (A part l'apostrophe surnuméraire, entièrement d'accord et las!) |
papipoete
4/2/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
bonjour Seuilement,
J'ai pris mon courage à deux mains, après avoir tenté de déchiffrer l'incipit de ce " poème " ; mais buttant sur le sens de chaque ligne, j'ai stoppé les machines devant cet iceberg avant de couler corps et bien ! Où êtes-vous allé chercher tout cela ? J'aurais bien voulu, au détour d'une phrase ordinaire, comprendre quel était votre itinéraire, son cap à tenir, mais la tâche ligne par ligne était infaisable ! Je serais curieux de voir un commentaire ci-dessous, où un lecteur fut transporté jusqu'à la fin de votre " gigantesque " texte, alors je pourrais lui dire << chapeau bas >> NB si votre " poème " est ici publié, c'est qu'il séduisit un certain auditoire dont je ne pourrais me prétendre à la hauteur ! |
Anonyme
10/7/2017
|
Commentaire supprimé par l'auteur
|
Anonyme
4/2/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Il doit certainement me manquer les bases adaptées pour élucider ce genre de ... " poème ", que je trouve à la limite de l'incohérence. Et pourtant j'ai essayé ! Mais quel échec ! Je veux parler du mien, bien sûr.
|
Michel64
4/2/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
|
Je n'en rajoute pas. tout a été dit, je veux parler des commentaires.
Pour le texte rien n'a été dit.. de cohérent. Mais je m'avance peut-être car en réalité, je n'ai pas tout lu. Loin s'en faut. Désolé. |
Anonyme
4/2/2017
|
Bonjour Seuilement... Je profite de la parution de votre "Poème" pour vous souhaiter la bienvenue sur Oniris. Pour ce qui est de l'oeuvre précitée, que j'ai parcourue avec circonspection, je suis dans la totale incapacité de vous donner un avis. J'ai lu dans un commentaire précédent que (je cite) ça sortait du mièvre et du convenu... Sans doute, sans doute, je suis obligé d'en convenir.
N'ayant pas les clés pour pénétrer ce monde poétique qui n'est pas le mien, j'attendrai une prochaine parution de votre cru pour me faire une idée plus juste de la teneur de vos vers... Au plaisir ! |
Marite
4/2/2017
|
Impossible de déchiffrer ce texte en dépit de plusieurs essais, en divers endroits. Comme parfois j'ai l'esprit un brin tortueux, je me suis même demandée si ce n'était pas une sorte de "test" soumis aux lecteurs du site. Dans quel but ? Mystère ... mais peut-être l'auteur daignera nous éclairer ou pas ...
|
Anonyme
4/2/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
|
Après une première tentative infructueuse, je me suis hasardé avec courage à une deuxième. Waouh que c'est long, long, très long infiniment long à lire tout ce "charabia", rien de cohérent, de rationnel, et surtout de compréhensible, enfin pour moi. Mon cerveau s'est mis en mode de renoncement, cependant j'ai été jusqu'au bout de ce "supplice", qu'est-ce que ne ferait pas faire la curiosité, et aussi la ténacité.
Il me faudrait peut-être "tenter" une troisième lecture, mais je crains que cela reste du domaine de l'impossible, vu l'effort que j'ai dû fournir pour arriver au bout de ma deuxième lecture, car c'est laborieux à lire, et de plus à la longue, j'ai sombré dans l'ennui. Je ne voyais plus que des formes de mots assemblés les uns à la suite des autres. Ce texte n'a vraiment rien pour lui, à aucun moment il n'a su attirer mon attention, et ne m'a procurer de ressenti plaisant. Ce n''est pas original, et surtout pas divertissant. Pour aller plus avant, il me faudrait sans doute aborder cet écrit en m'appliquant en un bien compliqué travail de "décodage", mais je ne reste pas convaincu d'aboutir à un résultat quelconque ... |
Proseuse
4/2/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Seuilement !
Bon, j' avoue, je n' ai pas même essayé de lire la totalité de votre texte ... et je pense que j' ai bien fait, j' ai picoré de ci de là comme un soir de "ripailles" où la vue de "trop" tout à coup vous amenuise l' appétit ! Ceci dit , en picorant on se rassasie tout en gardant le sourire ! Je dois dire que oui, parfois , tout ces mots m' ont amusés, peut-être votre texte est-il une sorte d' exercice de style? je ne sais pas ? pourtant, je suis bien certaine qu' il vous a demandé bien du travail ! Peut-être auriez-vous du ne nous proposer qu' un extrait , pour que nous puissions de prime abord, nous familiariser à votre écriture car, c' est vrai que la longueur du poème ici, peut être rébarbative voire même à la fin, risque pour vous d' être préjudiciable, par le simple fait du découragement de certains lecteurs ! Alors, moi non plus, je n' ai pas compris, mais pour le travail et puis, pour l' audace d' aller dans des chemins d' expression dangereux ( !! ) et les p'tits sourires de ci-de-là, je vais évaluer avec un -bien- ( mais la prochaine fois, si vous voulez bien, essayez de nous apprivoiser en nous proposant un peu moins long !) Merci Seuilement et avec la curiosité de vous relire ! |
Brume
4/2/2017
|
Bonjour seuilement
Je n'ai aimé que la dernière strophe. Et le "luit un bleu- oh la baffe!" de je ne sais quelle strophe m'a fait sourire. Attention à la ponctuation (écrits en italique) que je trouve assez aléatoire, j'ai été perturbée par le rythme, et leur dimension émotionnelle. Pour le reste, pas une seule strophe ne m'a parlé. En dehors de la dernière bien sûr. Même en laissant ma raison de côté je n'ai pas été sensible. Comme je n'ai pas tout lu et rien capté je note pas. |
Anonyme
4/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je ne commenterai que ce qu'il y a d'écrit en italique.
Et comment rester indifférent. C'est à couper le souffle. Il émane de votre écriture une force incroyable. ''Une ancre follement assoifée... etc, etc. Des mots puissants qui m'interpelle profondément. Après, le reste, peut-être nous éclairerez-vous. En tous cas, le début m'a enchanté, et j'espère un registre entier dans cette veine là. |
David
4/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Seuilement,
Wahou ! C'est assez ébouriffant, très vite je me sentais comme dans une litanie ludique, mais un sens se dégage tout de même de loin en loin : le ton déjà donne quelque chose, c'est énergique, véhément peut-être pas, pas dans le sens de la complainte amoureuse en tout cas, mais ce genre de prise de parole un peu qui s'engage et plonge dans son sujet ; il y a aussi une idée qui apparait dès la première partie, du tout qui devient l'unité, les "Que nous (... ) plongeâmes ainsi qu'une ancre", "Que nous (... ) accostâmes l'aile zébrée", chaque fois le pluriel devient singulier, puis vient le texte, le "poème", débutant en trinité d'un "Soi, moi et lui". Aussitôt, je m'attendais à des "majuscules bibliques", comme dans une sorte de prêche, il y aurait un peu de ça mais pas vraiment comme je pouvais m'y attendre. Elles sont presque normales les majuscules, "zeus" n'en n'a pas, un "je suis prem's" non plus en début de phrase, "Nil" en aura une, un "de tout le Tien quart" aussi... pas sûr que ce soit la manifestation d'une cosmogonie particulière, et puis je n'étudiais pas le texte aussi scrupuleusement que ça peut-être, j'ai adoré la "note en bas de page" au milieu de la page, le "comme un comme" et pleins d'autres passages nés de cette déferlantes monosyllabiques, bravo ! |
Anonyme
4/2/2017
a aimé ce texte
Pas
|
Je le dis de suite je ne suis pas allé jusqu'au bout. J'ai picoré de-ci de-là.
J'ai trouvé l'ensemble pompeux et sûr de soi. (Comme vous y allez pour un premier poème sur Oniris) Mais pourquoi pas ? Il suffit de lire l'introduction en italique pour se rendre compte que vous savez très bien écrire et que vous êtes à l'aise avec les mots. Rien que le titre - Poème - entre guillemets sonne comme une légère provocation. (J'aime l'idée par ailleurs, même si je n'aime pas ce "poème") Mais au moins intrigué, je suis prêt à vous relire une prochaine fois. |
Melusine
4/2/2017
|
Bonjour Seuilement,
J'ai tenté de vous suivre dans cette déambulation aux foulées déjantées, sans y parvenir. Comme dans une file d'attente, je patiente devant le seuil de discrétion. Mais je suis curieuse de tout et j'espère vous lire à nouveau bientôt. |
Pouet
8/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bjr,
Bienvenue à vous, pour un premier poème publié ici, c'est un sacré premier poème... Et pour ce qui est de la "compréhension", je pense qu'on tient quelque chose... :) Evidemment c'est un texte qui a demandé pas mal de travail, et je suis admiratif de la chose. J'ai senti, peut-être à tort, un "fond social", une critique des "puissants", je ne vais pas citer tous les passages qui m'on fait ressentir cela, mais ce fut mon impression. Donc, bien sûr, je n'ai pas tout compris, peut-être rien d'ailleurs, mais j'ai aimé, beaucoup, je peux même dire que je suis impressionné. Je suis revenu plusieurs fois sur votre texte. Un travail sur la langue et les sonorités qui me laisse pantois (dit le putois de Pontoise) Vous parvenez presque à me réconcilier avec les mots de "vieux françois". Un texte assez magistral, tout simplement. Franchement, bravo. |
Anonyme
8/2/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
"Pô aime"
Il s'agit sans doute d'holorimes... enfin, ça y ressemble, sans en être vraiment. Pourtant, lorsque l'on prend chaque vers, celui-ci veut bien dire quelque chose, donc c'est en bon français. La seule chose est que l'oreille n'est pas habituée à entendre ça, et ce qui peut nous paraître du charabia est en fait aussi clair que de l'eau de roche. Enfin, je veut dire que ça a un sens. D'autres vers sont plus complexes, sans doute écrits sous forme de charade, ou un truc de ce genre. Bon, il y a matière à réflexion, c'est sûr... Où Ali (Wall-E) |
Anonyme
8/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un petit côté surréaliste peut-être dans ce poème, qui m’a rappelé mes lectures de Jean-Pierre Duprey dans ‘Derrière son double’, etc., comme pour lui je n’ai pas saisi grand-chose de ce texte, mais pour le vôtre, compte-tenu de sa longueur relative il m’a manqué un fil conducteur pour ne pas le trouver un peu longuet…ces réserves – de sens et de fil – mises à part, j’ai quand même pris plaisir à parcourir vos ‘inventions’, donc je vais bien évaluer…ce qu’avec un peu plus de liant (à mon niveau n’est-ce pas) j’aurais évalué beaucoup plus.
Je suis impatient de vous relire, car vous avez un style pas ordinaire pour le moins. Cordialement |