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LeopoldPartisan
24/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime vraiment bien ce ton (au naturel ou à l'huile) ma fois fort décomplexé que l'auteur imprime à son sujet. Il y a ce petit côté, oserai-je jouissif d'un désespéré optimiste qui un certain regard détaché sur son petit monde qui bascule mais qui finalement en arrive à la constatation que ce n'est pas grave.
L'oubli a cela de bon que finalement : Le vent chante … dans les trous de ma mémoire. |
Anonyme
24/3/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Un poème sur le gruyére comme c'est original! Bon je passe sur la métaphore filée et fromagère, et je trouve ce texte complétement à revoir.
D'abord cette mise en page totalement éclatée ne me plait pas du tout, elle dessert plus que ne sert le texte. Ensuite je ne trouve pas de vraie valeur poétique à ce texte: hormis ces vers là: "Fusion liquide de mémoire, Actes manqués D’un toi vers moi" le reste manque singulièrement de beauté ou d'originalité. A retravailler je pense. |
ristretto
25/3/2010
a aimé ce texte
Pas
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à la suite de plusieurs lectures , mon mental est en berne.
je ne sais où l'auteur veut nous emmener. « ma tête d'emmenthal » m'a tout d'abord fait sourire, et je m'attendais à un poème teinté d'humour... mais sans doute que non, ou alors il m'échappe. la mise en page à 'trous' ne peut remplacer la force des mots qui portent l'émotion et le sens désolée, une autre fois sans doute bonne continuation |
Anonyme
29/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Mis à part la métaphore fromagère, j'aurais pu écrire un texte pareil... c'est donc très difficile pour moi d'évaluer ..
J'aime le désespoir, l'aveu de faiblesse et de force en même temps... Les correspondances induites par certains termes comme le vers d'ouverture : Et le mental ?/ élémental... =>Dans le vide du létal. J'aime moins, je trouve l'image juste un chouilla attendue emmenthal létal Se taire ?/ Se terre, j'aime décidément ces doubles sens doubles interprétations cachées de ci-de-là... "Fusion liquide de mémoire, Actes manqués D’un toi vers moi Qui sonnent, M’appellent Quand je creuse Ma tombe Et que je m’y glisse…" => j'adore, je trouve ça à la limite de la folie incantatoire, c'est assez leitmotiv, auto-persuasif, je trouve ça très réussi, dans le rythme... Dommage pour =>Je m’enferme sans trottoir Parce que sinon l'envolée continuait de manière parfaite... zut de rime de **** La fin est juste douce et triste, et tellement pleine de sincérité qu'elle arrive presqu'à me faire mal. Merci. Pour avoir dit mieux que moi les choses qui m'habitent. Une plume intéressante, un fort joli poème. Bonne continuation et au plaisir de te lire! |
irisdenuit
29/3/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Oui !
Minimaliste et puissant. Une écriture terriblement bien maîtrisée. J'admire la forme de ce poème, aucun mot superflu. Juste le nécessaire. C'est incisif ! Un thème tant de fois traité (ce sentiment d'usure dans l'amour) mais ici, c'est c'est c'est tellement ça. J'adore l'image du fromage, des trous, etc. Belles trouvailles. La chûte : Silence ! Le vent chante … dans les trous de ma mémoire. Amitiés, Iris |
bulle
29/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Alors là, j'aime beaucoup, vraiment beaucoup.
Images percutantes, un souffle, un rythme particulier, et des enchaînements qui se reprennent d'un soupir, qui se relèvent d'un certain "dépit".. De l'emmenthal (image assez fantaisiste, mais évocatrice) aux trous de mémoire, la boucle est bouclée pertinemment, à mon goût. Un bon moment pour moi. |
Anonyme
5/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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Bof pour ma part, plus que bof même.
"L'entame" (de la meule) est vraiment des plus moyens mais ce n'est que mon avis bien sûr. Des "jeux de mots" assez lourdingues. Des répétitions fort malvenues ("j'ai des trous", "vent", "doute", "mémoire"...) Pas de rythme. Le corps du poème n'a pour moi que fort peu d'échos poétiques. Un thème mal exploité et une expression maladroite à mon sens. Bonne continuation. |
Arielle
3/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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Je ne retiendrais que les deux derniers vers de ce texte que je trouve dépourvu de poésie et dont l'humour, qui aurait pu le sauver, à mes yeux, ne réside que dans une suite de jeux de mots douteux qui ne parviennent pas à m'émouvoir ou à me faire sourire :
"Et si l’aimant... Se taire ?" Non, vraiment, je suis désolée pour cette fois ... |
Lechat
3/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup aimé ce parallèle entre un objet de la vie courante (l'emmenthal) qui, a priori, n'a rien de poétique et cette relation amoureuse avortée.
Un grand écart réussi, les expressions font mouche, et le va et vient de l'un à l'autre fonctionne très bien. Le seul passage qui m'a géné est le suivant : "J’ai des doutes Dans le vide du létal." qui tombe un peu à plat après le très bon et surprenant départ sur les trous du gruyère. Merci pour cette lecture |
PostBlue
4/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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J'avais commencé ma lecture en croyant à un jeu de mots sur "élémental", le trouvant quelque peu vaseux. Dès les premières lignes, je suis "remis sur les rails" et comprends le lien vers le fromage.
À ce propos, je trouve que la frontière jeu de mots / métaphore réellement mal maîtrisée ; voir en toutes lettres le mot emmenthal me semble ne pas s'inscrire dans la logique du reste du texte. Du moins est-ce dans celle que j'ai cru trouver. Pour le rythme : il n'y en a pas, la lecture ne 'coule' pas. C'est déplaisant, ça choque un peu, presque. La structure complètement décousue me laisse dubitatif, aussi ; je n'en vois pas l'utilité, ou une quelconque recherche. Les jeux de mots sont relativement "lourdingues" comme a pu le noter notrac ; par exemple, un texte totalement assumé dans ce sens, jouant massivement sur l'humour aurait peut-être été plus avenant. Là, c'est simplement pas assez, je crois. Pour dire cela, je pense à "Parmesan autour de toi", une chanson du groupe Sttellla. Pour le fond, finalement, oui, ça parle un peu, même si à cause du reste me semble léger - dommage, je crois, cela aurait pu donner quelque chose de "bien", je crois. "Fusion liquide de mémoire, Actes manqués D’un toi vers moi Qui sonnent, M’appellent Quand je creuse Ma tombe Et que je m’y glisse…" C'est ce que j'ai noté de "mieux". Je reste sceptique, fortement. Le texte est à un interface sérieux / humour raté, que je ne trouve pas géré. Dommage, mais je vous souhaite une bonne continuation. |
pieralun
4/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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Non!!! Je ne crois pas que ce texte puisse faire l'objet d'une poésie.
Il est incontestablement surprenant, on peut y trouver une forme d'humour décalée,..mais tout de même....!!! Il ne faudrait pas penser que la simple association des mots souvent lus ces temps ci: vide, létal, fusion liquide, creuse, glisse, enfouis, enfonce + une petite pincée de vers éparpillés sous forme de mots, puis lettres...e.t.c, suffisent à pondre un poème. Seuls 4 vers de la chute laissent à mon oreille un écho émouvant: Ce fromage à pâte dure, Ce vieux trou, Ces bulles d’air Ni ce vent de néant clair (ce dernier est magnifique)..............ce qui prouve que l'auteur possède d'indéniables qualités. Mais attention, la poésie libre, plus que tout autre, peut entraîner vers de désertes dérives. |
Damy
5/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est l'une des rares fois que je rie en lisant un poème grave. J'ai ri à la première strophe et à la dernière. Au milieu et en relisant, je m'en suis voulu d'avoir ri!
"Et si l'aimant... se taire?", c'est élémentaire! Silence! Je trouve ce moment de doute profond très très beau. Mes respects. |
Wencreeft
9/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour shanne,
Je n'apprécie pas vraiment la mise en page, ces constantes remises à la ligne me fatiguent et gênent ma lecture. Des vers qui me paraissent grossiers et me déplaisent, comme "Dans ma tête d’emmenthal" et l'avant dernière "strophe". Le thème général me parait flou et m'intéresse guère. Le passage le plus réussi est selon moi "Fusion liquide de mémoire, Actes manqués D’un toi vers moi Qui sonnent, M’appellent Quand je creuse Ma tombe Et que je m’y glisse…" |
wancyrs
19/4/2010
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Je perçois quelque chose d'assez fort dans ces mots, mais je note aussi un manque de synchronisation avec l'introduction... retour d'anesthésie.
Je suis passé deux fois sous les scalpels, donc anesthésie général deux fois, mais je n'ai pas eu cet effet en sortant de mon sommeil. Peut-être est-ce d'autre chose que l'auteur veut faire allusion, alors je m'abstiendrai de noter. |
Anonyme
11/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Exactement le genre de texte que ma plume pourrait lâcher... L'idée générale y est, on pourrait avoir quelque chose de superbe.
Les premiers jeux de mots m'ont plu, mais je constate rapidement un problème que je trouve majeur... Tu as laissé ta plume courir, ça se sent, du coup... Quelque sonorités manquent. Des strophes comme 'Ce fromage à pâte dure, Ce vieux trou, Ces bulles d’air Ni ce vent de néant clair.' Moi je n'avale pas... Le fond est là, la forme manque d'un petit plus au niveau sonore. Sur ce, Que ta plume se voie inspirée! Äzaar |
krull
25/8/2010
a aimé ce texte
Bien
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A lire et surtout à relire après lecture des commentaires.
Comme les autres je trouve effectivement des lourdeurs et des faiblesses, mais il y a d'autres grandes qualités. La relecture m'a permis de trouver un rythme musical que j'avais perçu rapidement en 1erelecture mais évident dans la seconde. Il faut ralentir et accélérer dans chaque vers et strophe. La mise en page nous invite à cela de façon très maitrisée. la ponctuation pourrait être améliorer pour aider. merci |
framato
25/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un vrai travail sur le rythme, bien servi par la mise en place des mots...
Lenteur et accélérations sont assez accentuées, il suffit de suivre le guide (en ce sens la mise en page remplace vraiment la ponctuation, fait office de...). Une certaine légèreté de ton, sous-tendant un thème qui aurait pu être lourd... J'ai vraiment aimé ce petit texte ludique, un peu comme une fable sans morale. J'aime assez l'introduction qui nous fait entrevoir l'amour fusionnel comme étant une sorte d'anesthésie... une autre façon de non-voir. Merci Shane pour ce sourire grave aussi. |
Flupke
5/11/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour shanne,
Texte plaisant. Bien aimé l'humour et le jeux de mots sur les sonorités mais surtout des comparaisons intéressantes. Et puis pour une fois que quelqu'un semble savoir que les trous c'est pas dans le gruyère mais dans l'Emmenthal ... bien aimé aussi: ce vent de néant clair Le vent chante … dans les trous de ma mémoire. Amicalement, Flupke |
Anonyme
13/7/2011
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Commentaire modéré
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Anonyme
13/7/2011
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Commentaire modéré
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Fortesque
29/9/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Coagulation du laid sur des bleus au coeur. Oui, on sent dans cette poésie un moi, si sûr de lui, qui forcit tout au long du texte mais finit heureusement par s'écrémer. On sent une baby, belle, aimante à l'eau, des bris de mots qui la révèlent, ses manques, son désir bouche-trou, çà rancit, douloureux. Il y a comme un goût d'amertume dans tous ces trous à combler, à satisfaire, à rassasier mais la fille nage dans le mental désormais, plus dans le bonheur, plus dans le moelleux du coeur qui rit, l'amour est en berne. Sa mémoire scelle un tombeau dans lequel un homme l'a abandonné, elle, l'amoureuse éperdue qui fit la grue, hier, à perdre son âme pour avoir trop tiré les rideaux sur sa conscience. Ce trou du cru n'était pas le bon, et puis tant pis ! Il lui reste maintenant à gratter l'étiquette sur la boite vide.
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