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| Gemini
12/12/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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La métaphore est profonde.
Si j'ai bien compris, en trempant (présentement) sa plume dans l'encrier (réservoir potentiel de mots) on peut coucher des souvenirs (passés). J'avoue avoir eu du mal à m'imprégner de l'idée. Mais cela fait, je n'ai pas vu de rapport avec le texte, sinon comme une explication de sa composition. L'introspection (beaucoup de "je" et de "moi, me, mon, mes") fait la part belle à l'Observateur (dans ses déconvenues). La solitude, elle, en courtisane universelle, semble être happée sans manières. Autrement, je n'ai pas trouvé le sens de "vidée" v6 (à part comme régionalisme suisse sur le CNRTL), et buté sur l’expression "cuver mon ébène" que je n’ai pas déchiffrée. La forme (trois quatrains, un distique) est celle d’un sonnet shakespearien. Le tout se laisse lire sans difficulté, avec un joli jeu de mots final, et des rimes exclusivement féminines, mais je suis resté sur ma faim quant à l’assemblage exergue, titre, texte. Mais tout ceci ne reste que ma lecture et ne prétend donc en rien représenter la vérité. |
| Anonyme
13/12/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Un poème qui me laisse indécise. Déjà, mais c'est un détail, ce texte n'est pas un poème libre, mais une poésie contemporaine, par ses quatrains réguliers, ses rimes embrassées. J'ai aimé le titre et l'exergue (beau programme et belle vision). Le poème en lui même ne réserve pas de surprises, les deux premiers quatrains sont construits sur le même moule, le nombre de conjonction "et" finit pas être visible, le "je" très voyant aussi. Certains hiatus, accepté en contemporain, ne sont pas très heureux à l'oreille ("toi, oh", "j'ai essuyé", "tenu entre" -qui passe mieux) Le mot "vidée" substantif féminin, me semble incongru dans le contexte. "cuvant mon ébène", de même. J'ai apprécié : " Et de ce fameux jour qui me dirait je t’aime.." "Tes larmes égouttées au bord de l’indécence," Merci du partage et bonne continuation, Éclaircie |
| Queribus
22/12/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Votre poème entretient un certain flou qui sera perçu comme une qualité pour son mystère ou un défaut par son imprécision. Ce sonnet (de forme shakespearienne) comporte de belles images poétiques "je rêvais de bohème et de trésors cachés au pays du mystère", "Je rêvais de baisers, je rêvais de chimères""Et je t'ai rencontrée, toi, oh ma solitude", "tes mots dans mon silence", "Ton cœur égaré dans mes incertitudes" toutefois j'ai buté sur le mot "vidée". En ce qui concerne la forme, toutes les rimes au féminin me laissent perplexe; j'ai aussi noté de très nombreuses rimes à l'hémistiche: Je rêvais d'un amour Et de fameux jour Et de trésors cachés Je rêvais de baisers Et je t'ai rencontré Tes yeux dans ma vidée Tes larmes égouttées Et ton cœur égaré J'ai croisé mes déboires Et vécu mon histoire Tenu entre mes mains J'ai caressé les seins Je voulais et j'ai vu Cherchait une ingénue Ce ne sont pas vraiment des faute mais c'est quand même à éviter dans la versification moderne (à moins que ce ne soit voulu pour obtenir un effet particulier). En conclusion, j'émettrai un avis plutôt mitigé sur votre écrit. Bien à vous. |
| papipoete
22/12/2020
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Shovnigorath
Tout un poème votre pseudo... Je t'ai trouvé, toi que je rêvais toi que je cherchais, au fond de mes pensées... Je pourrais te peindre au fusain, tant je te vois, te touche et tu me réponds...jusqu'au moment où je sors de mes songes. NB et un jour une femme... en vrai paraîtra quand je serai parvenu au bout du bout de mon désespoir, quand je m'apprêterai à tout laisser tomber ! Vos lignes ne me semblent pas inventées, car ayant vécu cette noirceur, je pourrais finir vos phrases si la plume vous tombât des mains ! au 11e vers, j'aurais écrit " caressé/TES/seins " au 6e vers, que voulez-vous dire par " vidée " le distique final est mon passage préféré le 9e vers mesure 13 pieds |
| Shovnigorath
23/12/2020
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Modéré : Commentaire de l'auteur sous son texte (Ouvrir un sujet dans Discussions sur les récits) .
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| Myo
26/12/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Shovnigorath,
Ce poème est classé en contemporain ce qui permet pas mal de liberté. Je ne parlerai donc pas de la forme mais juste de l'ambiance et de mon ressenti à la lecture. L'auteur exprime son espoir en cet amour auquel nous aspirons tous mais la vie ne prend pas toujours le chemin souhaité et la solitude fait souvent partie du parcours. J'aime beaucoup le 2e quatrain avec ces larmes égouttées au bord de l'indécence. Certaines images sont très touchantes notamment " en cuvant mon ébène" Un beau moment de lecture. Merci du partage |
