|
|
Lebarde
28/11/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
|
ébène + blanc= gris
rouge + Blanc= rose Si je devais retenir quelque chose ce serait la 4ème strophe: "Enracinée dans ce mensonge Où je m’efforce d’aller bien Un peu de tout, un peu de rien Un peu de ce rien qui me ronge Et de ce tout qui me retient." qui avec des formules bien trouvées me semble résumer un propos un peu sombre. "Ne plus avoir le gout de rien". Pour le reste je retiens le rythme des octosyllabes presque parfaits si on corrige une petite faute de frappe, et accepte acariâtre en diérèse ( comme Littré d'ailleurs), mais je déplore les rimes, les hiatus , les e non élidés et les répétitions, qui tempèrent mon enthousiasme. En EL Lebarde |
Eki
1/12/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
|
Probablement du travail pour l'auteur...mais ma lecture ne me renvoie qu'une suite de mots sans poésie.
Je trouve aussi que certaines rimes s'imposent sans apporter fluidité et légèreté... Désolée pour ce ressenti vide... |
jeanphi
10/12/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
|
Bonjour,
Pour ma part, j'aime la musicalité de ce poème. Il y a un côté surréaliste. Je pense aux œuvres d'enfance du poète Aragon qui sont parues illustrées il y a quelques années. |
Provencao
10/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Bonjour sigrid,
"Le rouge et le blanc se confondent Une trêve, au moins une pause Dans un rêve envahi de roses Entrevoyant, une seconde Une destinée grandiose" J'ai beaucoup aimé ce passage. Je suis "peintre au couteau" dans mes moments de calme et de bien-être...j'ai aimé cette simplicité du surréalisme créé par vos mots...qui nous laissent la fantaisie des images exprimant des ressentis et des sentiments. Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
10/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
bonjour sigrid
Enfermée dans ma camisole, je conjugue gris et rose au plus profond spleen ; plus rien ne m'intéresse et à la compagnie, je m'efforce de faire bonne figure. S'il me reste une parcelle de bleu ( qui va s'effacer comme neige qui ne tient pas ) je tâcherai de sourire comme ma dernière rose ce matin éclose. NB ça ne va pas fort sous cette peau, au creux de cette âme où le gris se pâme mais il faut faire " bonne figure ", lorsqu'à l'entour l'on rit l'on sourit l'on va bien... Cette peinture qui fut ma couleur dominante durant trop de temps, me fait revivre ces jours, ces mois, ces années où le Diable triomphe, où le sang coule en chlore, où les larmes ne demandent qu'à ruisseler. la 3e strophe a ma préférence techniquement, dommage que des hiatus se baladent ci et là, et rimes approximatives, vos octosyllabes bien découpés ( bien en diérèse : acariâtres/grandiose ) purent goûter au néo-classique ! |
Cornelius
10/12/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
|
Bonjour,
Je trouve la première strophe de cette poésie un peu saumâtre en plus des murs grisâtres et des mots acariâtres, heureusement ça s'améliore par la suite pour terminer par un bouquet de roses plus réjouissant. Ce n'est pas un poème qui vous met en joie le dimanche matin. |
Miguel
10/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Ces octosyllabes mélancoliques ne manquent pas de charme ; il y a des idées, des trouvailles, quelques belles images. Je ne trouve pas du tout que ce poème soit raté. Le dernier, vers, seul, est un peu prosaïque et ne cadre pas avec le reste.
|
Cyrill
11/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
|
Bonjour Sigrid,
J’ai tout d’abord été attiré par un titre assez insolite, en demi-teintes déjà. Puis on entre de plain pied dans le décor, j’aperçois le rouleau du peintre en bâtiment qui s’efface vite pour laisser à la locutrice toute latitude à se désoler de la grisaille qui de l’extérieur a gagné sa psyché. Si le poème est un peu nombriliste, on voit la locutrice aspirer à autre que soi, à l’altérité, donc : « Épuisée de n’être que moi ». À ce titre je trouve dommage que le poème se termine par le désir à nouveau égoïste d’ « une destinée grandiose ». Il est bien rythmé, et j’apprécie un champ lexical simple mais dont vous avez su tirer partie. Pour seul exemple : « Un peu de tout, un peu de rien Un peu de ce rien qui me ronge Et de ce tout qui me retient. » Mais d’autres passages m’ont convaincu par ce même système de reprise. Merci ! |
Vincent
16/12/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Je n'avais pas lu, désolé
J'adore votre texte son fond son écriture C'est tout à fait ça : l'horreur Je ne vais pas me perdre en conjonctures Bravo |