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Provencao
17/9/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Si" m'a littéralement accompagnée tout le long de votre poésie en cette ecriture forte, colportant toutes les angoisses, creusant des instants de vacuites que disseminent les rêves de la vie. Les manques deviennent l’accouplement des mots.
Vous avez su faire se mouvoir les signes de l’apparence pour nous permettre de déceler en votre complicité , votre propre douleur: "Si des mains fraternelles Me sauvaient du naufrage, Si l’on m’apprenait Ton langage, Si ma vie toute entière Réfugiée en ton sein…" Les "Si" supposent une présence d'honneur , suggérant, à mon sens, cette écriture dont les réflexions thématisent l’expression du vide au creux d’un vers qui se cristallise en cris de " soi", sous l’impulsion des mondes légendaires. .. Au plaisir de vous lire. Cordialement. |
papipoete
21/9/2017
a aimé ce texte
Bien
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libre
J'aurais voulu, j'aurais rêvé de, mais chaque désir commence par si ... NB à force d'espérer, je désespère et demande à ma plume de l'aide, dessinant des grandes voiles et brodant des vers qui me réchaufferaient le corps et le cœur . Une jolie carte illustrée, en couleur, pour dessiner cette terre promise, cette terre d'asile . papipoète |
Anonyme
4/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dans l'ensemble, j'ai bien aimé cette poésie.
Pour moi, cette strophe est la plus intéressante : " De ma prison de suie Et d’ombres, Que de fois j’ai tenté L’évasion ! Je dessinais des Si Comme des grandes voiles Pour m’en faire un esquif Et voguer jusqu’à toi… " Mais, la répétition des " si " me gêne un peu ; cela ne me paraît pas indispensable pour appuyer les nombreux souhaits. |
Anonyme
4/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Bien que peu porté sur ce style de poésie, je trouve que celle-ci porte un souffle lyrique que bien des textes contemporains ou classiques lui envieraient. La poésie est une terre à part, un pays imaginaire, un refuge, une île déserte et ce poème en parle bien, notamment avec son grand passage sur les SI. Un seul alexandrin ici mais il me plait et l'ensemble aussi. |
Michel64
5/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Silver,
Je me suis laissé prendre à cette poésie même si souvent le "libre" a du mal à m'accrocher. Ces 4 derniers vers : "La mer emporte tout Les palmes Les hommes Les mondes légendaires…" La poésie est bien là, dans ces mondes légendaires que nous créons par nos pensées. Au plaisir de vous relire Michel |
Pouet
5/10/2017
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Bjr,
Si j'en reconnais la qualité d'écriture, je n'ai pas, dans l'ensemble, été transporté par votre poème. La première raison en est (pour moi) le manque d'originalité dans l'expression. Bon si j'ai bien noté les multiples références à différentes œuvres -poèmes, films ou chansons - ("Liberté chérie" -Eluard ou Calogero au choix :), "Si tous les gars du monde" -Christian Jaque ou Paul Fort, "Je lance encore des cris dans des vaisseaux de verre", là c'est Balavoine aucun doute :) c'est pas "le vent l'emportera" mais "la mer les emportera", "Si la Rose", c'est Ronsard ou Le Luron - bon je plaisante là- etc...), je n'ai pas été particulièrement emballé. Un sentiment de "patchwork poétique" qui ne m'a pas vraiment parlé. Ce n'est bien évidemment que mon goût et ce commentaire n'a pas valeur de vérité. Après pour terminer quand même sur du positif, j'ai bien aimé "Étendue sur l'azur", ainsi que "Si l'on m'apprenait ton langage" que je trouve d'une profonde simplicité. Cordialement. |
FABIO
5/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime beaucoup ce style ou la fatalité d'une situation est adouci par de jolis mots, bien trouvés. Et la rythmique est reposante même si les images ne sont pas d'une créativité passionnante, il ya ce qu'il faut pour apprécier. Merci |
Anonyme
5/10/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je lis, je relis, et l'émotion n'est pas là.
Vos mots à peine lus s'envolent sans laisser de traces. Je vais dire encore un texte sur la poésie, à chaque fois la même déception, cela reste dans la lignée du déjà lu, de plus avec l'utilisation de phrases archi-connues, "Liberté, Liberté chérie !". Pour rajouter à cela, des "Si" en veux-tu en voilà. Ne m'en veuillez pas, mais je trouve cela consternant. Allez, parlez-moi de la "Poésie, terre d'asile", d'une autre manière, avec bien plus d'originalité et de conviction. J'aurais aimé bien plus de vos mots à vous. |
Noran
5/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Silver,
Alors, les 4 premières strophes m'ont laissé froid car j'y vois des images qui manquent d'originalités, d'une vrai vision, d'un vrai message loin des terrains connus. Pour résumé, je n'ai pas aimé. Mais j'ai poursuivis quand même. Pour finalement arrivé sur la dernière strophe. Et là. C'est bien, vraiment bien. Et pour être tout à fait honnête, cette strophe suffit. Sincèrement. Avant, tout n'est qu'un bavardage, une excuse, un long discours. Pour arriver, à ce qui est plus précieux, plus primordial, et poétique, vraiment poétique. Aussi, je vous invite, le plus modestement possible, à ne garder que cette strophe, et uniquement celle-çi. Car elle suffit, à dire, ce qui doit l'être. Cordialement. Noran |
Damy
6/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Le thème m'intéresse car pour ma part ma muse est morte et je le trouve bien traité dans la 2°strophe.
Je trouve par contre un peu lassante et peu poétique cette redondance de "si" dans la 3° et 4° et je n'aime pas le poncif: "Si tous les gars du monde" (ni "Liberté, liberté chérie" dans la 1°). L'intensité dramatique s'y noie. Charmé par contre par la dernière dans "les vaisseaux de verre". Au total je trouve ce poème inégal, j'aurais pour ma part supprimé les 3° et 4° qui pêchent par leur banalité et nuisent à l'ensemble. Mais ce n'est que l'avis d'un "poéticaillon" qui prie chaque jour le ciel pour que sa muse ressuscite. |
Anonyme
9/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Trois mots pour vous dire que j'ai positivement apprécie la lecture de ce poème (hormis la troisième strophe à mon avis très superflue) que j'ai trouvé d'une simplicité charmante. A. |
Marite
16/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bien que séduite par le thème il me semble que ce poème gagnerait en intensité à être retravaillé en condensant le propos.
Par exemple pour la première strophe, les quatre premiers vers suffisent. La troisième et quatrième strophes n'apportent rien de plus à l'expression et pourraient être enlevées sans dommage pour l'ensemble. Je ne sais pourquoi, mais, à l'oreille j'aurais préféré cette formulation - Que de fois ai-je rêvé ... Que de fois ai-je tenté ... |