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Corto
19/1/2019
a aimé ce texte
Pas
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Que faut-il comprendre, que faut-il ressentir ?
Les mots qui reviennent en refrain sont "Bois" et "ivresse". Les démons et les diablesses font une timide apparition. Difficile d'accéder à un texte aussi sibyllin. |
Robot
30/1/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème que le narrateur adresse à une personne qu'il connaît - si l'on tient compte du tutoiement - nous emmène doucement dans ce bassin de l'ivresse jusqu'à ce final appuyé qui demande de briser le flacon du plaisir avant que de l'avoir épuisé, avant qu'il n'épuise l'interlocuteur(trice).
Sage conseil ? |
INGOA
30/1/2019
a aimé ce texte
Pas
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S'agit-il d'un philtre d'amour, d'une potion empoisonnée, d'un vin d'opium ? Du laudanum peut-être ? Quel que soit le flacon, je ne trouve pas la porte de l'ivresse (malgré le bassin de l'ivresse puis les plaisirs de l'ivresse) de ce texte beaucoup trop hermétique pour moi.
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Anje
30/1/2019
a aimé ce texte
Bien
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Si l'auteur voulait que le lecteur se pose des questions, c'est réussi. Donc bien écrit. Si l'auteur voulait faire passer un message, c'est moins réussi. Donc à éclaircir.
Pour ma part, je reste un peu perdu dans la nébuleuse, coulé noyé. Somnifère et ivresse se télescopent. Je ne trouve pas la clé de l'émoi. Pourtant j'ai lu sans modération parce qu'il y a un quelque chose quelque par qui me plait bien. |
Bidis
30/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Justement, j'avais envie ce soir de me taper une bonne biture. Eh bien, ces quelques vers m'ont servi de carburant. Je l'ai lu et je le relis. Merci. Comme cela je ne reprendrai pas tous les kilos que j'ai eu si mal à perdre ces derniers temps...
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papipoete
30/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Sitorn
" bois ceci et plus rien ne t'arrivera ! " Si c'est un ami qui me prodigue ce conseil, je boirai le flacon jusqu'à la lie, sûr de connaître l'apaisement . Si c'est une ombre qui me parle dans la nuit, avec des yeux transparents, je ne suis pas certain de laisser Morphée et m'étirer de tous mes membres..." coule, coule, coule " ne me semblent pas de nature à pouvoir raconter mon " voyage " . Non, bien que peu méfiant de nature, j'aurais tendance à faire comme Hitler " goûte, goûte avant moi, bitte schön ? " |
Anonyme
30/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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" Bois ceci et plus rien ne t’arrivera "
" coule... coule... coule.. " " File, droit comme une flèche À travers la nuit et sa joue sèche " " Bois ceci Et brise le flacon." Ces passages m'incitent à penser au suicide par une boisson létale (?) ; mais vraiment sans grande conviction. J'ai fermé ma réflexion après la troisième lecture... |
STEPHANIE90
30/1/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir Sitorn,
J'ai lu et relu plusieurs fois votre poème, mais je ne le comprend pas vraiment. Au début, j'ai plus l'impression que vous parler de tentative de suicide puis au fil de la lecture arriver au 3ème Bois ceci j'y vois plutôt l'alcool. Ce "brise le flacon" me laisse perplexe ? surtout placé juste derrière "bois ceci... Sur l'ensemble du poème, il me manque un lien. Je vais aller me servir un p'tit verre pour y voir plus clair... LOL Stéphanie |
senglar
30/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Sitorn,
Votre poème me plaît. La répétition "Bois ceci" rythme opportunément l'entrée dans l'ivresse... sa progression... J'aime bien que les diablesses surpassent les démons. La fleur de lotus m'interroge, indique subrepticement, soudainement et contradictoirement que la plongée dans l'inconscience n'est pas de l'ordre du chaos, mais un K.O. paisible. Ce qui est violent c'est le flacon vide, mais il a accompli son travail. On peut le briser, le renvoyer du côté de chez Apollinaire. Hypnotique ! Senglar |
Queribus
31/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
La forme de votre poème me semble intéressante car dépouillée, courte et facile à lire, en un mot de la modernité bien comprise. En ce qui concerne le fonds, je suis beaucoup plus dubitatif et n'arrive pas à cerner l'idée maitresse de votre écrit mais peut-être est-ce voulu; peut-être avez-vous voulu laisser au lecteur le choix de sa libre interprétation, ce qui ne serait pas forcément une mauvaise idée. Bien à vous. |