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Anonyme
28/6/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Pas vraiment d’extravagances particulières dans ce texte, justes des mots simples de tous les jours, pour nous parler de Tunis.
Cela en donne un avant goût, cependant pas tout à fait complet, je dirai ici une ébauche. Votre description me laisse un peu dans l'attente, d'une émotion qui n'explose pas, il y a un petit quelque chose d'indéfinissable. Cela ne semble pas être arrivé à maturation, et pourtant, je trouve votre écrit attachant. |
papipoete
16/7/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Skandrani,
je me rappelle de Tunis où nous pouvions voir ... et il y eut lui ... NB une carte postale sortie d'une valise ou bien des images gravées dans la mémoire et ces 3 derniers vers qui clôturent un lourd chapitre . |
hersen
16/7/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai vraiment apprécié ce texte, pour plusieurs raisons, la première étant son écriture. Il y a une simplicité à dire qui demande du talent;
Ensuite, ce Tunis pèle-mêle, qu'il faut que l'auteur connaisse bien pour nous le servir ainsi, sur un plateau poétique. Et puis d'un coup, ce texte m'a ramené à une anecdote qu'en fait je n'ai jamais oubliée, il y a des choses, comme ça, qui vous arrivent et qui vous donne de l'espoir pour longtemps. Malgré tout. Un grand merci. Edit : et cette référence à Paul Klee ! Qui lui a vu tout ce que tu nous raconte au travers de ses couleurs. |
Anonyme
16/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Skandrani,
Vos mots en pointillisme brassent l’air de Tunis la belle, les odeurs, les couleurs, les bruits, la tendresse, les sentiments, les souvenirs. C’est exotique et efficace. Il y a de la beauté à parcourir entre vos lignes. Beaucoup d’émotion se dégage. Ah, "les siestes grenadines" ! Je les visualise très bien... Merci pour la visite guidée du cœur. Cat |
Anonyme
16/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte que je trouve vivant et qui, malgré cette pléthore d'images, sait éviter le coté descriptif ; qui dispense les mots comme Klee les couleurs.
" la dernière toilette du matin du soleil " " Et les terrasses enceintes de porter hier " " Les prières sous les réverbères, éteints Car les enfants de Tunis aiment jouer au lance-pierre " Ces trois que j'ai le plus apprécié. |
Raoul
16/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime bien l'ensemble, mais…
Les listes - très Prévert - et leurs rapprochements, leurs frictions, le(s) sens qui étincelle(nt), vifs et vivants. Le bémol, en ce qui me concerne, est plus sur la structure grammaticale de ces listes. Pour moi, ça manque de fluidité, de liberté de langage… Je comprends bien l'idée d'enchaînement(s) et d'inéluctable induit, mais du coup la structure - surtout dans la première strophe - parait téléphonée, trop hésitante. Je veux dire par là que, exemple, -si je puis me permettre -, un : " J’ai connu Tunis, [S]es valises chargées de figues séchées [Aux] midis de soufre – la dernière toilette du matin du soleil Les siestes grenadines Les citronnades en surcharge de sucre Les châtiments des mères Les tendresses grand-mères Les prières sous les réverbères, éteints Car les enfants de Tunis aiment [à]jouer[du] lance-pierre …" aurait gagné en précision, reportage de "choses vues" construites, alors que dans le texte on a "juste" des juxtaposions… Ceci dit, c'est bien pour chipoter, car j'aime la liberté de ton de l'ensemble, le sens induit de ce poème qui embrasse, parle d'une mélancolie nostalgique et un rien en colère.; celle qui fait qu'elle n'est pas passéiste. Beau texte, beau fond. Merci pour cette lecture. |
Pouet
18/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
Pour ma part je ne peux pas dire que j'ai bien connu Tunis, j'y suis allé une fois il y a longtemps, j'étais hébergé par un ami à Nabeul. J'ai aimé ce poème. Tout en retenue et en émotion. De jolis et doux passages, "les siestes grenadines", "les tendresses grand-mères" par exemple. D'autres encore fort poétiques à l'instar de "Et les terrasses enceintes de porter hier"... Des passages plus durs avec "la Méditerranée pleure... L'Europe appelle à la mer" et les trois derniers vers. Bref un savant mélange, des souvenirs bien inscrits dans la mémoire de l'auteur qui sait nous les distiller avec talent. |