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Provencao
16/12/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Skender,
Plusieurs lectures pour mieux recevoir et percevoir vos mots et leurs sens. "De leurs prières émane un doux parfum, de leurs cris s’échappe un paradis de paroles. L’esprit ils ne l’ont plus hélas ! " Ce passage est à mon sens celui du poète: vous qui nous invitez à prendre de la graine. C’est le savoir juste et impétueux de la langue française celle des mots parfois abscons qui n'ont rien à voir avec la littérature proprement dite, où l'inconscient prend forme sonore et dont vous le poète en cueillait l'essence. En l'effleurant cette essence, d’aussi près que vous pouvez.... J'ai été sous le charme....incontestablement. Au plaisir de vous lire Cordialement |
jeanphi
16/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Il est peu aisé de se représenter la relation qui régit les différents groupes. Le couple soumis au tango de la tentation exotique, la fragilité de tels rapports, peut-être. Des images très marquantes malgré ce chao et cette emphase voulus. Explorez-vous le thème de la contradiction ? On se demande quelles sont les raisons d'être d'un tel écrit alors que ces raisons crèvent l'œil, extérioriser ou simplement faire hommage à l'expérience ou à la vision du narrateur. |
papipoete
16/12/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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bonjour Skender
Votre récit pourrait dissuader le lecteur, par la densité de sa prose, et force lignes que cette " cohorte des ombres " Sans crier " j'ai tout compris ", je retiendrais mon sentiment personnel - je sais que tu ne les aimais pas, et pourtant ils sont tous venus, pour t'accompagner, même LUI ! NB surement aucun rapport avec le thème ici développé, mais songer à ce moment qui viendra, où l'on se recueillera pour le dernier voyage, autour de qui s'en va. Se dire que certaines ombres sont peut-être de bonne foi ; ne pas envoyer paître tout le monde... à part les charognards |
Eskisse
16/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Skender,
Une prose très bien tournée et imagée mais ce qui m'a manqué dans cette poésie en prose, c'est une musicalité plus affirmée. Certains passages ont un rythme : " tu as éclaté/tu m'as fixé / comme on fixe / comme on fixe" mais celui-ci me semble dilué dans l'intégralité du poème. Sur le fond, je vais y aller de mon interprétation toute personnelle : je vois une situation cauchemardesque dans laquelle la cohorte représenterait toutes les raisons qui menacent le couple. La divergence des réactions du couple semble sonner son malheur et la phrase finale appelle l'image d'un Orphée enchaîné. :) Merci |
Eki
20/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Tout ce qui retient, tout ce qui nous abîme, tout ce qui entrave...
Est-ce bien cela la cohorte des ombres ? Tous ces aléas de la vie, ses grandes peines et doutes qui traversent un couple. Tout ce qui met en péril l'union pour ne pas s'éparpiller sur le chemin de la vie. C'est ce que j'ai compris de ce texte que j'ai aimé : l'histoire d'un couple "combattant" pour sa survie... |
Skender
22/12/2023
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Cyrill
24/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Skender,
les deux premières phrases de cette prose me donnent tout de suite de la matière à images. Je suis avec intérêt ce millier, million d’on ne sait trop quoi qui probablement représentent la cohorte. Le ton de dépit, de colère, de désenchantement, me convainc d’un couple en bout de course, et dont la moitié-narrateur liste les griefs partagés, ces ombres au tableau. J’aime bien ce que cet écrit soulève de poussière laissée sous le tapis. Le mélange du trivial et de la métaphore donne un étrange résultat. Je me dis que la poésie peut sauver les restes d’une passion chancelante. Je trouve toutefois que des passages comme « Mais j’avais très envie de refuser moi, d’ailleurs si je m’étais écouté » manquent un peu de classe. On dirait que vous l’avez laissé tel que c’est venu alors que dans l’ensemble, l’écriture est perchée largement plus haut. Merci pour le partage. |