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Queribus
21/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
De la poésie libre bien assimilée avec des images flamboyantes et surréalistes à chaque ligne, un texte pas trop long qui évite l'ennui; un seule petite remarque: toutes les lignes ayant à peu près la même longueur, on pourrait y voir un poème d'allure"classique" qui n'en serait pas un; un peu plus de fantaisie et de distorsion dans l'écriture d'une ligne à l'autre aurait été peut-être la bienvenue. Quoi qu'il en soit, le poème me semble très réussi et je crois que vous pouvez continuer dans cette voie. Bien à vous. |
Marite
1/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Nostalgie et mélancolie ... Quelques détails m'ont empêchée d'apprécier pleinement ce poème mais cela n'est dû, je pense, qu'à mon inculture.
D'abord une incompréhension avec : " les hideurs du Cerebrum" Cerebrum j'ai compris mais pourquoi "hideurs" ? Pourquoi ne pas écrire tout simplement "figuier" en lieu et place de "ficus carica" ? Egalement j'ai dû chercher ce qu'étaient " les lampyres" ... un vocable peu poétique à mon goût. A part cela j'ai aimé la succession de ces instantanés de l'enfance avec une tendresse particulière pour la dernière strophe. |
Alcirion
30/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai eu un problème avec l'apparence : la ponctuation (pas indispensable) et les lignes sautées.
Pour le reste, c'est très agréable, il y a quelque chose qui surprend presque à chaque vers. Les images sont souvent insaisissables, surréalistes mais évocatrices, c'est donc réussi. Un peu trop de mots rares, sans doute, ça peut agacer certains lecteurs (moi je suis bon public :) Un texte original et bien réalisé. |
papipoete
30/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Sodapop
Quand des témoins matériels ou humains surgissent du passé, l'enfance ré-apparait, comme cette allée où les platanes montaient la garde et sont toujours au " garde-à vous " aujourd'hui . NB les images défilent, les odeurs remontent, et la " balançoire rouillée hurle à la mort " . J'avoue que tous ces " mots savants " me semblent surajoutés et n'apportent rien au poème ; il put tout autant resplendir sans ces " brillures " ! Le passage de la " balançoire " est particulièrement vrai, car celle de Ninon va et vient au gré du vent, mais seule, sans passager . |
Anonyme
30/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Les platanes, L'odeur prenante du ficus carica, la balançoire fantôme que la rouille dévora ".
Autant sinon plus que la mémoire visuelle, la mémoire olfactive éveille une multitude de souvenirs ; et ceux de l'Enfance génèrent toujours de la " mélancolie ", comme dans ce texte. Je trouve certaines images un peu sophistiquées dans le langage. |
Pouet
3/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bjr,
Les emplois un peu "recherchés" qui parsèment le texte ne m'ont pas particulièrement transcendé, j'avoue être plutôt partisan des mots "de tous les jours" en poésie. Je me serais aussi certainement passé du "ô" que je trouve toujours inutilement grandiloquent. Enfin, trois fois "platanes" en plus du titre. Mais parce qu'il y a un mais, j'ai apprécié pas mal d'autres choses dans ce poème. J'entre pleinement dans le texte à partir de "Latence d'un monde arrêté, sur pause." (vers dans lequel je trouve la virgule très pertinente) pour finalement ne plus en sortir, malgré ce "ô" honni :), jusqu'à ce très joli vers final. Une belle écriture et un certain pouvoir d'évocation. Au plaisir. |
MissNeko
5/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Surréalisme, impressions fortes, mémoire : voilà les premiers mots qui me viennent apres la lecture de ce texte.
Les textes de l auteurs peuvent paraître déroutants lors de la première lecture : mais une fois qu on a pu en saisir les clefs, un monde étrange empli de sensation s'ouvre alors. Beaucoup d impressions s offrent à nous : couleurs, odeurs, sensations. J aime ce voyage à travers un quartier et les divers ressenti surréalistes qui en émanent. Coup de cœur pour : "À la croisée des vents, des lucioles en folie, Les lampyres de feu exultaient des platanes. De leur chevelure fauve jaillissant de la nuit, Dans le chaos spectral des atomes de sang. Ô balançoire fantôme que la rouille dévora, Tu hurles toujours à la mort dans mon crâne engourdi. Danses, balances de tout ton vague à l'âme." J ai lu vampyre au départ ! Mais Avec "atome de sang "ensuite je n avais peut être pas tort 🙃 Quant au tercet que je cite pour moi c est une merveille et c est cecsur je préfère sans ce texte : passage baudelerien pour moi. Bravo Sodapop |