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Anonyme
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je dirai c'est simple et efficace, nul besoin d'un étalage de mots pour éprouver l'intensité d'un instant qui devient unique, la beauté et la grandeur de la nature, par son immense mystère communique à l'homme, des moments bouleversants.
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Ioledane
3/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime assez l'effet créé par cette forme reprise de quatrain en quatrain : des vers de plus en plus courts (ou presque) s'achevant par un adjectif en "ile", point d'ancrage fixe, comme une suspension hors du temps (alors que le reste ne rime pas).
Les deux premiers quatrains sont d'une simplicité reposante, les trois suivants plus recherchés. J'ai apprécié notamment la toile d'encre avec sa colonie d'étoiles immobiles, les phares qui esquissent une guirlande fébrile. Et le vertige de cet équilibre fragile, passage qui dit beaucoup en peu de mots. |
Anonyme
6/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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La ballade est pour moi un peu courte.
La fin de chaque strophe est un espace 'blanc' (dans cette nuit servant de fond ) offert au lecteur pour laisser libre cours à ses propres émotions. J'aime beaucoup les 'blancs' en poésie. Cependant là, je n'arrive pas à les remplir avec mes sentiments, à les prolonger. Je ressens bien une chose 'grave' que vous voulez dépeindre (la solitude, la petitesse de l'être face aux éléments, son occurrence face au monde) mais elle ne s'impose pas véritablement. En somme j'ai aimé, mais j'aurai pu aimé davantage. En espérant vous lire à nouveau. |
Mauron
8/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beau texte, léger et profond. Nous, les lecteurs, sommes à la fois dehors et dedans, dehors puisqu'il s'agit d'un "il", mais dedans puisque nous voyons ce "il" de l'intérieur et qu'il devient donc, peu ou prou, un "je". Cette ballade, qui est aussi une balade, je veux dire une promenade est donc aussi un voyage dans ou vers une psyché, c'est peut-être ce "mouvement vers" qui rend la dernière strophe si forte et qui nous fait éprouver le vertige.
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Francis
23/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime cette petite silhouette entre l'infiniment grand parsemé de galaxies, de mystères et cette chenille de phares qui serpentent dans la vallée. Les images sont fortes, dépouillées d'artifices. Cette scène interpelle le lecteur et lui rappelle sa fragilité. Cette rêverie du promeneur solitaire est propice à une prise de conscience. Merci pour le partage.
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Anonyme
23/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Voici de la poésie libre comme je l'aime et la comprends. Nul besoin de se prendre la tête ici, tout est simple (pas dans un sens péjoratif), accueillant et reposant. Un tableau d'une vie de promeneur au clair de lune qui se finit par une interrogation : est-ce que cela peut finir un jour ? J'aime bien les adjectifs qui terminent ces petites strophes, on les sent choisis avec recherche. |
Lulu
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Solal,
il me semble qu'on vous lit peu ici... et c'est bien dommage. J'aime bien ce poème simple qui dit quelque chose d'un personnage. On le suit, pas à pas, et on se prend à s'identifier à lui dans sa promenade. Ce que j'aime, c'est justement cette simplicité avec laquelle vous rendez compte de la promenade. Il y a la colline, le ciel, le vertige... Pas grand chose, en somme. Mais cela suffit. Mes encouragements. |
Pouet
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Ce poème lapidaire a un certain pouvoir d'évocation. Dans l'ensemble je l'ai toutefois trouvé un peu trop "simple", trop descriptif. Je n'ai guère goûté aux "étoiles immobiles" car elles le sont toujours non? Ou bien elles sont filantes... La "toile d'encre", "l'équilibre fragile" sonnent trop "commun" à mon goût. Le texte en général souffre de cet écueil. Un poème qui n'est pas désagréable mais qui manque cruellement de "folie" pour que j'y adhère pleinement. |
Anonyme
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une écriture sobre, de belles images comme : " serpentent en silence
Des phares esquissant Une guirlande fébrile ". L'on suit cet homme dans sa balade et cette " ballade " est empreinte de sérénité. |
Vincendix
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une écriture qui colle parfaitement au sujet, un sentiment de paix et de de bonheur dans une nuit étoilée, au milieu des champs.
Un homme, son chien et la nature, des réflexions sur l’avenir, une envie de crier « ô temps suspend ton vol ! ». « Les mains dans les poches », ce n’est pas le meilleur vers, il y avait peut-être une autre image à nous proposer pour illustrer ce moment privilégié ? |
Anonyme
23/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Toute la simplicité d'une ballade d'un homme avec son chien arpentant une colline, dans l'épaisseur d'une nuit tranquille. Le tout découpé en cinq strophes de quatre vers se terminant par une rime unique en "ile" (docile/tranquille/immobiles/fébrile/fragile). Les vers sont disposés en ordre décroissant, c'est-à-dire du plus long au plus court.
Une technique intelligente et subtile servie par des mots fluides propices à la méditation... Wall-E |
leni
24/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Excusez mon retard c'est un texte court très bien écrit j'aime ces quatre derniers vers quand le rêve fracassé d’une illusion perdue cogne en vain à la porte du silence BRAVO SALUT CORDIAL LlENI |
StayinOliv
24/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
N'étant pas fan ordinairement de la poésie libre, je trouve la votre particulièrement réussies et poétique. Des images toutes simples mais parlantes, des vers qui s'imbriquent parfaitement les uns aux autres, des strophes qui se suivent joliment, avec à chaque fois cette rime en 'il' que l'on attend et qui ne nous déçoit pas. Libre oui, mais en rime, cela fait à mon sens une bonne différence. Olivier |
Anonyme
29/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un poème d'une facture simple, mais dont les évocations vous parlent clairement, et dont le mérite véritable consiste à traduire dans sa structure l'inquiétude du fond. Chose que je peine trop souvent à trouver dans la poésie dite "libre" - libérée, en fait. Rien que pour ça, j'aime bien. A. |