|
|
papipoete
21/6/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
|
bonjour solinga
depuis ce matin, aucune ligne ne vient sous les vôtres, pour en dire du bien ou l'inverse, alors... Déjà vous dire que je suis épaté de voir, de vous aussi une Nouvelle en lecture ! NB t'es pas en sucre ! tu vas pas fondre comme un iceberg, en thé alors qu'un daguet effarouché, t'a plantée , à monsieur je pense, car je crois le héros est ici héroïne... bien des images, bien des regrets pour évoquer, ce que l'infortune amoureuse dans un coeur peut provoquer ! je fais le main sous ma plume, mais je suis exactement comme " ce sucre personnalisé " qui fait promesse de ne plus se faire saupoudrer, et tel un morceau en roc range définitivement, arc et flèches au placard, et fait copain/copain avec son édredon. la strophe " les feuilles ont roussi... " a ma préférence, dans ce long kleenex où l'auteure essuie ses larmes. mais à le relire encore et encore, je tomberais en amoure devant cette pauvre " stoïcienne ", biche au coeur fendillé |
Corto
21/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
Vous dirai-je que lisant votre poème j'en suis ressorti estomaqué ?
Il en exhale une belle dose d'audace et une aura de poésie très imaginaire, toute à la fois visuelle et de solide consistance. Si l'on veut en saisir toute la richesse il faut oser se diffuser dans une melting-pot de sucre, de biche, de désirs, d'amoureuse, de forme recomposée, et bien sûr de "nature parcourue de grands frissons". En lisant "Je me trame un bain de blancheur en guise d'oubli" j'ai entendu au loin le son du brame qui bien sûr m'a emporté dans un fantasme inentamé... Merci et bravo pour ce moment d'échappée sans limite. |
Roxanne
24/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
|
Bonjour Solinga
Je n’ai tout d’abord rien compris à ces histoires de sucre et puis ce matin je me suis glissée dans vos pas de biche et tout m’est apparu. J’ai adoré cette métaphore et la structure du texte en saupoudrage qui m’a laissé le temps d’assimiler ces sucres-aminés. C’est à partir de « Laudry hour » que je me suis perdue. Le retour à cette autre « réalité », à ce quotidien prosaïque vient appauvrir la première partie. On ressent une rupture dans la nature du texte. J’aurais préféré rester en suspens dans « ce bain de blancheur ». Roxanne |