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Cyrill
3/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un beau poème, que je lis comme une allégorie fine des frontières et des guerres qu'elles engendrent. L’écrit se déroule étroitement sur la page, exprimant ainsi les limites de la poésie pour dire en quelques vers la complexité du monde.
La « (Quadrature des continents) » exprimée en quatre quatrains multipliés par 8 syllabes, puis les strophe comme des « drapeaux en étiquettes » : une adéquation parfaite fond/forme, à mon sens. Une certaine distance dans le ton confère au poème d’autant plus de force qu’il est court. |
Provencao
5/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour solinga,
J'ai beaucoup aimé ces "limite, ligne et frontière" fortes et qui invite à la réflexion suivante: peut-on être juste de parler d'une conjugaison de l'imbroglio, d'un paradigme fort dont l'aveu signifie pour la compréhension humaine la forte nécessité de conscientiser ces limites pour s'en délivrer, s'en libérer.? "Notre durée compte ses miettes" : par ce vers final je dirais que l'avoué devient l'élaboré, l'élaboré peut éclairer les faits et actes . Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
5/10/2024
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bonjour solinga
Comme les termes de votre poème ne me sautent pas aux yeux, voulant pourtant en dire deux mots, j'invente un scénario. La Lune, notre lampe qui guide notre chemin, vers d'autres cieux que nous espérons plus cléments, vacille par moments ; alors toi mon enfant qui marche à pas lents dans les miens, tiens fermement ma main ! NB je vois des lignes savantes, que leur vocabulaire habille d'excellence, mais je n'ai pas l'heur de le décrypter ! D'autres passeront sous vos lignes, et en goûteront c'est sûr, tout le sel ! néo-classique sans faute ! |
BlaseSaintLuc
9/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Jolie poésie, mais pas toujours accessible.
Je suis assez partagé dans mon approche avec le texte. Comme une "limite que je n'arrive pas à franchir. C'est musical, intelligent, Il y à Une combinaison qui crée une tension intéressante entre le cosmos et le quotidien, l'infini et le matériel. La lune est personnifiée avec un « menton » et un « front », rendant l'astre plus accessible et intime. Les métaphores comme « ligne ondoyante du départ » et « main qui me ceinture » enrichissent le texte de leur complexité et de leur subtilité. La limite est abordée sous différents angles , Cela invite à réfléchir sur les contraintes et les frontières que l'on rencontre dans divers aspects de l’existence. L'usage de termes comme « andante » et la structure rythmique du poème donnent une musicalité à l'ensemble. Cette musicalité est renforcée par les allitérations et les assonances. Les frontières sont à la fois des barrières et des zones de transition. Elles sont parfois « folles » et « à franchir à pas lents », « La nuit s'est caillée » et « Notre durée compte ses miettes » évoquent la fugacité du temps et la manière dont nous le percevons. Cela ajoute une couche de mélancolie et de réflexion sur notre propre mortalité et l’éphémère de notre existence. Le texte est riche en images et en significations, offrant plusieurs niveaux de lecture et d’interprétation. Peut être trop... |
MarieL
10/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Je suis admirative face à cette poésie originale et belle, aux images frappantes.
De l'audace aussi, dans certaines trouvailles verbales qui font mouche et qui retiennent l'attention. C'est un superbe travail sur l'expression, très abouti. |