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papipoete
17/9/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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néo-classique
ce poème n'attirant pas les lecteurs, alors qu'il est là depuis quelque temps... je viens y mettre mes mots. une petite-fille, petit-fils qui regrette son papi, et se tournant vers le ciel, se rappelle ses regards qu'il portait sur son premier jardin, celui des fleurs et l'autre... la mer NB je trouve quelque confusion dans ces lignes, que la ponctuation hache parfois comme " ce qui prit fin... " est-ce un enjambement avec " dans l'ouverture aigüe... " ? un bel hommage pourtant à quelqu'un qui savait regarder, écouter la nature dodécasyllabes habillent votre texte de néo-classique ( hiatus tolérés ) papipoète |
Boutet
22/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un très bel hommage pour ce qui semble être un grand-père. Simplicité de l'expression, sincérité que l'on sent poindre. J'aime bien l'idée de la Manche en second jardin et le dernier vers également très beau.
Dommage qu'il y est cet affreux Ou un ourlet de mer. Il n'est nul besoin de faire plus long pour faire parler son coeur. |
Provencao
22/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour solinga,
Belle sincérité, vérité et transparence en ces vers, des mots écrits avec des ressentis forts. Cette vie de Papy Jean dont vous vous appropriez cette dernières aube qui s'offre et s'efforce de lui donner du sens. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Eskisse
22/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Solinga,
J'aime ce qui est épure et c'est le cas ici. Un rythme solennel (à travers la scansion créée par les enjambements ) vient épouser le lent recueillement. Une simplicité apparente tant elle cache une attention portée au choix des mots. Beaucoup de pudeur aussi : l'amour affleure dans les images. |
GiL
23/9/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime beaucoup
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De très belles images, sensibles, originales dans ce poème de deux quatrains épurés qui évoque la mémoire d’un grand-père amoureux de la mer. L’émotion y est perceptible.
Je suis en revanche assez réservé sur la versification : néoclassique n’est certes pas classique, mais pour autant on ne peut pas s’affranchir complètement du rythme (les vers 4 et 6) et de l’euphonie (le regrettable hiatus du vers 2). Cela dit, j’ai eu plaisir à lire ce joli poème, merci solinga. PS : j’ai été conquis par votre premier poème néoclassique, paru en janvier, que je viens de découvrir. |