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Anonyme
30/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est plutôt bien écrit, mais je trouve qu'il y a trop de strophes, à la longue c'est pesant.
Peut-être regrouper un peu plus? Des éléments intéressants et une chute de qualité. Un bon texte. |
lucilius
5/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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Sur le plan purement historique, je crains bien que vous vous soyez fourvoyé, Mata Hari ayant été fusillée le 15 octobre 2017, bien avant l'armistice. Votre texte ne répond donc pas aux règles du concours qui limite les actions retracées à quelques jours (voire quelques semaines) de l'armistice du 11 novembre 1918.
Mon appréciation s'appuie donc principalement sur le respect de ces règles. Au surplus, la répétition du vers "mourir n'est rien, il faut vaincre" se rapporte peu au réel sujet du concours. |
Bidis
8/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Je ne savais pas que Mata Hari signifiait "Oeil du jour" en indonésien. J'aime toujours apprendre quelque chose de nouveau au travers d'une nouvelle ou d'un poème. Mais à celui-ci, que je suis donc très contente d'avoir lu, je ferais deux reproches.
Le premier est que le titre ne correspond pas à l'exergue ni même au thème qui, lui, est respecté dans le texte lui-même. Le second est que, personnellement, j'attends d'un poème, une harmonie, un rythme, quelques rimes quand même et que que je ne retrouve rien de tout cela dans celui-ci. Dommage... |
pieralun
24/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Écrire des vers nécessite d’y mettre des consonances harmonieuses, un rythme qui fait émerger la musique, et comme l’ecrivait verlaine, ‘de la nuance avant toute chose et rien de plus cher que la chanson grise où l’imprecis au précis ce joint’ Il ne faut pas être trop factuel, la poésie n’est pas la prose. |
papipoete
24/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour
Je suis mal placé pour donner la critique suivante, à savoir que votre texte ressemble davantage à un récit journalistique, avec les faits d'arme contés jour après jour dans ces tranchées, où l'on vit, l'on souffre, l'on picole contre la peur, et l'on meurt malgré les " encouragements " du Tigre en personne ! Néanmoins, les 2 vers ultimes sont lourds de signification ! |
Corto
24/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un description poétique d'une situation dramatique.
Avoir mis les soldats au centre du récit me parait une très bonne idée et cette répétition de "Mourir n’est rien, il faut vaincre" exacerbe encore l'horreur de la période. Passer de "C’est la débandade" à "Foin de la débandade" conforte la progression dans le récit. Le passage sur Mata Hari m'a paru déplacé et peu utile. Bravo pour le dernier vers "Il faut maintenant gagner la paix", ce que malheureusement les contemporains de cette époque n'ont pas su faire. Bonne continuation |
LenineBosquet
24/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je ne suis pas séduit par ce texte. Je ne vois pas le lien entre Mata Hari et le propos du poème. L'armistice, un "bel hommage aux Poilus" ?? Pareil, je ne vois pas. "Mourir n'est rien, il faut vaincre", non, vraiment, je n'adhère pas, et je ne crois pas que c'était l'opinion du soldat, mais je peux me tromper. |
Anonyme
24/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Tout d'abord je ne vois pas précisément la relation existente entre la signature de l'armistice et Mata Hari ; de surcroît en faire le titre de cet écrit.
Certes la condition terrible des poilus est bien soulignée ; mais j'ai trouvé un peu absente la poésie dans ce texte qui me fait plus penser à un article de presse. Il me semble que la chute méritait les guillemets, puisqu'elle reprend la phrase de Clémenceau... |
plumette
24/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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après une première lecture, j'ai eu du mal à cerner ce que voulait faire passer ce texte auquel je ne trouve pas de poésie.
j'ai retenu la visite de Clémenceau in extrémis qui redonne un peu de motivation aux troupes et puis la mort de Mata Hari dont je me suis demandée quel rapport elle avait avec ce texte. il y a sûrement des références qui m'échappent. je reste en dehors désolée Plumette |
Anonyme
25/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Contrairement à beaucoup je trouve excellent ce style "cadencé", même si les poilus étaient souvent immobilisés et je trouve que s'il y a des éléments "journalistiques" ils sont bienvenus à propos d'une guerre dont on attendait des "nouvelles".
De plus ce poème me semble tout à fait ancré dans le réel et j'aime plutôt cette absence de fluidité poétique chère à Verlaine (à l'indécis "se" joint :) Du point de vue du sujet il me semble correspondre au thème de ce concours en ce sens que même si l'armistice renvoie à un arrêt des armes, une immobilité, il en est venu à devenir un hommage par ses anniversaires répétés. Je préfère ne pas parler de la belle courtisane et personnellement je n'aurais pas cité Clémenceau, car les soldats partis la fleur au fusil se moquaient bien à la fin de la paix. Home, sweet home.. |
solo974
7/3/2019
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