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natile
23/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Beaucoup de répétitions et peu de profondeur pour ce poème qui pourtant aborde un thème fort . Tout est dit mais rien n'est imagé ou laissé en suspens pour le lecteur.
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Vincente
24/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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L'écriture est un brin stéréotypée, mais "l'ambiancement" est bien rendu, on se sent pris dans la déprime du narrateur. Les répétitions alourdissent l'énoncé, mais on peut comprendre qu'elles ont vocation à appuyer l'enfermement psychologique dans lequel se trouve le déprimé, ainsi sa focale obnubilée se trouve réduite, comme engoncée entre ces trois notions répétées : les étoiles (le positif), l'homme (le sentiment) et le sang (la vie).
Sur la progression narrative, elle mène à une issue qui semble contre-chronologique, c'est en effet étonnant que le locuteur ne comprenne qu'à la fin, comme le découvrant, que son amoureuse est disparue. C'est un "événement" fort, comment peut-il ne pas avoir eu conscience avant que cette disparition puisse être la cause de son désespoir ? |
BlaseSaintLuc
24/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Dommage,mon ressenti c'est du déjà vu,des lieux communs,
des répétitions, le message est pauvre, l'idée est courte , comme si la flamme était absente du texte . |
pieralun
26/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour Concours,
La seule évocation d’une situation désespérée par la mort de l’être aimé ne suffit pas à rendre un texte poétique. Pardonnez-moi, mais je pense qu’un tel sujet ne peut pas être décrit avec des mots directs rapportés à la souffrance jusqu’à la haine, la maladie, les larmes de sang….e.t.c. Pour émouvoir le lecteur que je suis, l’évocation doit être implicite, effleurée, suggérée, et non explicite. Parfois même, la juxtaposition de paradoxes sont émouvants: la joie - la tristesse, l’horreur-la beauté. Le vocabulaire que l’on utilise doit également être moins direct. Bref, le sujet est triste, mais le texte trop cousu de fil blanc ne l’est pas. Bonne chance malgré tout pour le concours |
Cyrill
26/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Un poème en trois temps, de l’exposition du désespoir à sa compréhension, en passant par la raison de ce désespoir.
J’avoue que les nombreuses répétitions m’ont rebuté avant que j’y trouve, justement, un certaine cohérence, du moins la recherche d’un effet. Le glissement du sang qui va des larmes à l’habit, ainsi que d’autres « indices » me font imaginer l’homme responsable de la mort de sa femme, homme qui ne sort du déni qu’au dernier tercet. Bien vu aussi l’emploi de « éteinte » qui colle à l’atmosphère de clair-obscur. J'ai trouvé malgré tout les successions des contraires comme ombre et lumière, espoir et désespoir, trop insistantes, regretté l'absence de demi-teintes qui auraient évité le manichéisme. |
Errances
2/4/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour,
Mon commentaire rejoint ceux de Natile et BlaseSaintLuc, Pas de profondeur, des lieux communs, du déjà vu. Aucune image qui perfore la lecture. Le titre quoique sûrement déjà utilisé pouvait augurer du contenu. Il n'en est rien. Dommage. C'est cash. J'en conviens. Secouez vote boite à imagination, sortez de votre zone de confort. Rêvez. Et faites nous rêver. ;) |
Robot
2/4/2023
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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Un texte qui raconte mais n'emporte pas. Il dit sans jamais dépasser le basique des mots. Il est bien dans le thème du concours mais manque de lyrisme pour engendrer une vision poétique.
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Geigei
2/4/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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L'habit d'étoiles devient un habit de sang, comme ses larmes.
La lumière, c'est elle. C'était elle. Le noir est dans le titre, et dans cette partie (sont-ce des vers avec autant d'enjambements?) : "Elle a disparu un soir Dans l’obscurité D’un ciel haineux et noir." Le mot "haineux" semble vouloir éclairer le propos, accompagnant le sang de l'habit... Pour dire, peut-être, que l'homme a tué sa femme... Pas sûr. |
Donaldo75
8/4/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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Je ne suis pas fan de ces poèmes racontés, surtout quand le récit est exprimé dans des formats courts. Ici, les tercets ressemblent à des polaroids sommaires où la poésie peine à se développer. Dans ma lecture - même quand je le relis - ce poème manque de chair, de matière qui permettrait de dépasser ce qui est décrit ou relaté. Je comprends évidemment que dans un concours où le thème est aussi imprécis - c'est mon avis en tout cas - ce ne soit pas évident de composer quelque chose d'original ou d'habité par peur du risque de ne pas répondre au thème tel qu'il est compris par les organisateurs du concours. Je ne sais pas si c'est l'explication à la forme retenue ici. J'extrapole juste.
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