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Lebarde
17/7/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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De la grosse rigolade bien éloignée des considérations philosophico-poétiques majoritairement présentées qui fera peut être s’esclaffer les moins coincés des lecteurs mais qui risque aussi d’en offusquer beaucoup d’autres, si elle franchit les barrages de la parution.
Ce texte reprend bien les mots ( éclats de rire, larme ) de la citation de Walt Disney mais peut être pas l’esprit ni la délicatesse. Quant à l’aspect poétique certains trouveront sans doute à redire. Mon côté « Gaulois paillard » m’incite à l’indulgence mais bon …. Ed: heureusement que Bellini nous aide à lire entre les lignes et éclaire notre lanterne. En EL Lebarde |
Cristale
1/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Il m’emmena dans sa chambre,
m’allongea sur son lit et me déshabilla, vite, trop vite..." "Dans la pénombre qui s’était installée, j’entrevis... euh... la taille minuscule de... de... de... « la chose » ..." Heu...c'est peut-être la conséquence de qu'il a vu après le déshabillage ^-^ mais gentleman il n'a rien dit, seul sa petite chose l'a trahi. Un texte comique au dépend de la virilité masculine, c'est pas gentil ça... Allez, un bon point pour la légèreté de l'écriture, dans tous les sens du terme. Cristale en E.L. |
Anonyme
4/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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On se croirait dans un sketch à la Raymond Devos. On aime ou on n’aime pas le genre ! Moi j’aime les jeux de mots laids et la dérision. Mais ce que j’apprécie surtout dans ce poème croustillant à souhait, c’est le passage final : « Je vidai les lieux… d’arroser mon cactus. »
Merci pour la rigolade. |
Gemini
5/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'avoue n'avoir pas cliqué sur le lien.
Pour avoir mis un renvoi, un jour, dans une poésie, je m'étais rendu compte d'une suspicion naturelle dans le lectorat. Et maintenant je la partage. Sans réelle poésie, à mes yeux, la blague est bien amenée, découpée en strophes temporellement, dans le déroulé de l'histoire. Il y a de bons mots : "Une fois n'est pas coutume !”, "excusez-moi du peu", "nom d'une pipe" (avec sa minuscule pour enfoncer le clou ?), "de peur qu'il en vienne aux larmes... je me mis à rire aux éclats" (quelle précaution !). Mais on dirait surtout une scène casée là pour illustrer l'incipit. Je n'ai, par la suite, pas très bien saisi la symbolique de "la nuit noire, très noire" déception ? frustration ?, et celle "d'arroser mon cactus" caractère épineux ? Mais il y a peut-être une explication dans le lien. |
Provencao
17/7/2021
a aimé ce texte
Un peu ↓
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" Bêtement, je l’avoue,
je m’écriai : « Nom d’une pipe, elle est raide celle-là ! » " Il n’est pas le rire jaune du ressentiment qui vibre avec la vie, ni celui, sarcastique, qui jaillit de la figure tendue de l'atmosphère , sûre de la surprise de taille et drapée dans la pénombre de l’inéluctable, il brandit sa chose ....raillant l'humour et la grande légèreté de l'écriture. .... |
Anonyme
17/7/2021
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Bonjour,
Un texte gay sur Oniris ? La surprise est effectivement de taille. Comment comprendre sinon que le lien censé illustrer le rire du narrateur nous renvoie vers un homme ? Je m’attendais plutôt à une bimbo exagérant nettement la taille de la surprise. D’autant qu’en relisant le texte on dirait que l’auteur a pris soin de ne pas révéler le sexe de son narrateur par un accord grammatical qui l’aurait trahi. Gay gai, le thème du concours semble donc avoir été respecté. Je place cette pochade juste derrière celle de Baudelaire, Lesbos, qui elle fut condamnée. Respect pour le CE. Après cette débandade, le cactus du bonhomme avait-il vraiment besoin d’être arrosé pour se calmer ? Il s’appelait Médor ? Bellini |
papipoete
17/7/2021
a aimé ce texte
Bien
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bonjour
" dans la vie, il y a qu'des cactus... " chantait Dutronc ; y'en a partout, même dans un slip, selon ce texte qui, s'il parle " masculin à féminin " pourrait faire hurler la gente " au sexe faible " ( on disait comme ça au temps de Jacques beau mec ! ) NB comme on peut rire de tout, sauf de " l'étoile jaune " proférée dans la bouche d'abrutis, je rigole quand-même en découvrant ces lignes, " nom d'une pipe, elle est raide celle-là ", encore que si " la chose " si petite peut-elle en imposer dans cet état de... tension ? Allez, ne faisons pas la fine bouche ; on ne rit guère aux éclats dans notre vie de chaque jour... pauvre pangolin ! |
Lariviere
18/7/2021
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Je ne suis pas emballé par ce poème. L'humour potache n'a pas fonctionné sur moi et pour ce qui est de la poésie je trouve ce texte assez faible, tant au niveau des images que d'autres effets poétique. Bonne chance pour le concours ! |
hersen
18/7/2021
a aimé ce texte
Pas
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"Arrose-la, elle poussera";
Suivi de cette photo de dentition. Voilà, je n'ai pas ri, ni souri, ni trouvé d'esprit au niveau de ce poème. je dois dire que la taille de la surprise est bien mince, tant cette blague est éculée, osons, et tant elle est traitée de façon assez primaire. je ne sais pas trop quoi dire de plus, sinon, mais l'auteur que vous êtes l'aurez compris, je n'ai pas tellement follement adhéré. |
Donaldo75
18/7/2021
a aimé ce texte
Pas
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Je ne suis pas rentré dans ce poème suffisamment pour dépasser le récit, le côté anecdotique où l’humour graveleux prend trop de place pour en laisser à la poésie. Certes, le mot « rire » décore l’ensemble et permet de relier l’ensemble au thème mais en termes de dimension poétique je reste sur ma faim. Ce texte trouvera probablement son public sur Oniris mais je n’en fais pas réellement partie. Soit il aurait fallu un humour plus décalé de manière à sortir des conventions de ce genre de blague, soit assortir le tout d’un réel florilège poétique pour l’enrichir. Désolé de ne pas m’enthousiasmer outre-mesure.
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