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Robot
21/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai beaucoup aimé ce poème naturaliste avec ses images inédites et une écriture fluide aisée à parcourir. Dommage par contre que la ponctuation soit aléatoire.
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Anonyme
19/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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bonjour,
un grand poème loin des hommes, une vision magnifique d'une nature pleine de vie. Harmonieux, des images sublimes, une couleur, un parfum, une fête des sens. et "Une plume se plante sur un rouleau de foin. Tout est prêt pour le grand poème de la nuit." ce final comme une signature du monde sur son oeuvre est tout simplement exceptionnel. |
Anonyme
19/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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une grande sérénité se dégage de ce tableau de la nature, à la venue du soir, avec de belles images
" Les lumières pourprées affaiblies du soir S’épuisent dans les poussières des moissons Se réchauffent sur les chaumes des blés Fauchés en pleine maturité sous un soleil complice. " " Tout est prêt pour le grand poème de la nuit ". Superbe chute |
Anonyme
19/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un poème magistral avec ces descriptions de visages grandioses. Le final aussi est splendide : "Tout est prêt pour le grand poème de la nuit." Bravo, Wall-E |
jfmoods
19/11/2016
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Bien installé dans son fauteuil, le spectateur attend le lever de rideau. Un certain nombre de procédés sont à la manoeuvre pour théâtraliser le moment...
- de nombreuses personnifications - quelques allégories ("Le temps s'attarde", "Le temps qui s'est abandonné", "L'ennui s'invite", Le temps s'émeut, / Reprend sa voix... / Maintient le flot"", "s'abîment les affres de l'ennui") - des hyperboles ("Tout se fige", "Tout s'arrête", "Tout est prêt") - des métaphores ("Les yeux de l'esprit", "une porte de l'immensité","la claire nuit du néant") - la présence des quatre éléments (le feu : "un soleil complice", "Étoile montante", "le soleil vacille", l'eau : "gaves fuyants", "À l’unisson de l’eau qui coule à leurs pieds", l'air : "Les champs tondus n’ondoient plus sous le vent", "vol pesant et noir", "sur l’intarissable puits bleu du ciel", "L’oeil-ballon suspendu et sa nacelle de l’infini", "la brise au repos", "sous ses ailes", "une plume", la terre : "les poussières des moissons", "les chaumes des blés", "une crête de montagne", "le sommet des montagnes", "un rouleau de foin") - la prégnance des sens (vue : "lumières pourprées", "la scène d'un nouveau paysage halluciné", "chair lumineuse", "un geai des chênes bleuit" l'air", ouïe : "Cèdent au silence leurs cris menaçants", "cette musique liquide", "les buissons bourdonnant de ronces", "Le murmure des sons", "une parade rythmée de cris perçants", odorat : "nectar musqué des églantiers", "la ronde des odeurs", odorat et goût : "Les senteurs sucrées des mûres", toucher et odorat : "corps baigné d’alcool floral"). Merci pour ce partage ! |
plumette
19/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ne le prenez pas mal, Sourdes, mais ce titre en latin, que je ne suis pas capable de traduire, a failli me faire passer à côté de ce très beau poème.
il arrive que les mots soient pour le lecteur comme des peintures! Et dans votre texte, très riche hommage à la nature, j'ai contemplé par exemple ce petit nuage accroché à la crête de la montagne: "Un nuage envoûte une crête de montagne Gargouille paisible d’un contrefort céleste Se penche sur l’intarissable puits bleu du ciel" Une image parmi d'autres... J'ai souri à l'allitération des "...huiles essentielles pour insectes insatiables" J'ai beaucoup aimé le lever de lune et les arbres à contre jour, je me suis demandée si une présentation plus aérée ne pourrait pas être une aide à la lecture? Bonne continuation Plumette |
Anonyme
21/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir sourdes... "Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu", traduction de votre citation latine dans son intégralité, s'applique assez justement au texte qui suit.
Poème un peu long compte tenu de l'absence de ponctuation mais j'y ai trouvé quelques jolis vers, pour exemple : Un nuage envoûte une crête de montagne Gargouille paisible d’un contrefort céleste... Un geai des chênes bleuit l’air sous ses ailes. Je préfère une métrique respectée, quand bien même elle serait plurielle, et l'absence de ponctuation me perturbe en cours de lecture mais ce n'est qu'un avis tout à fait personnel. Bonne continuation... |
MissNeko
20/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Votre poème est magnifique ! Le vocabulaire utilisé est riche, les vers sont très intéressants.
mais quel pavé à lire ! Il aurait gagné en clarté si vous aviez fait des strophes et ajouté davantage de ponctuation. Votre texte a tous les ingrédients d' un poeme réussi mais il pêche par la forme ( mais ce n est que mon humble avis) A vous relire |
Anonyme
20/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Que de belles images !
A chaque vers, on a envie de faire une pause pour se les représenter. Justement parce que je pense que le lecteur a besoin d'une pause pour savourer tranquillement images et idées, j'aurais aimé que le poème soit plus aéré, qu'il présente des paragraphes. Mais cela n'entrave pas la sensation d'avoir lu un très beau texte. Merci ! |
Anonyme
21/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Pas grand chose à dire sous cette hymne vespérale si ce n'est que j'en aime assez la vibration, les évocations et la sensibilité. Le contemplatif que je suis se retrouve dans cette attention accordée aux spectacles (grandioses comme infimes) multiples de la Nature. Mes seules réserves véritables concerneraient le premier vers, où une épithète est de trop : soit "pourprées", soit "affaiblies", et la précision de couleur du vol pesant des corbeaux : quand on évoque ces oiseaux si familiers, irrésistiblement l'esprit du lecteur perçoit leur couleur : l'adjectif me paraît donc superflu et alourdit à nouveau un vers. A. |