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Pouet
4/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
Un poème percutant, un rythme saccadé, des images qui parlent. "Exclus et migrants Déterrés D’eux-mêmes et de chez eux Seuls sur les places vides Au couteau De leur être dénudé" Ce passage fort résume le poème. Bravo à vous. |
LenineBosquet
17/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé votre poème, un thème abordé avec pudeur, je vois de la retenue derrière des images fortes. Le rythme déconstruit, saccadé me fait penser à la marche des migrants à travers le monde, entre se cacher dans un fossé puis, vite, courir, se cacher encore, souffler, repartir... Y'a du souffle là-dedans. Y'aurait encore beaucoup à dire, votre texte est riche, je ne vois pas de mots en trop ou de strophes à jeter, tout est bon, je prends tout. |
Robot
17/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Chaque strophe est une image, un instantané.
Il y en a de meilleures que d'autres mais globalement c'est une écriture intéressante et pour faire écho à un forum en cours, originale à la fois dans le sujet, dans la composition et dans la rédaction. J'aime ces textes libres quand le propos rejoint la syntaxe sans être abscons. |
Francis
17/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cul-de-sac pour itinéraire de clandestins, déracinés ballottés sur les flots, rejetés aux frontières, mendiants d'un reste d'humanité dans un monde dominé par les peurs, l'égoïsme, l’intolérance, la violence...
Sous les mots ciselés, des images défilent et interpellent. Merci pour ce texte qui me touche beaucoup |
Anonyme
17/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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J’aime beaucoup la découpe de ce poème…des mots isolés qui sonnent un peu comme un petit coup sur l’épaule du lecteur, pour lui faire mieux voir peut-être.
Je me suis amusé à lire le poème à l’envers et je trouve que ça fonctionne aussi, un peu moins bien mais quand même, c’est possible. Alors sur le fond je souscris, car il me semble que ce poème parle des démunis de notre société, ou d’autres, tous les démunis réduits à ramasser des mégots ou pour qui les déchets, nos déchets sont une manne, ceux-là et les autres. Ceux que l'on refoule trop souvent. Après ouvrir la porte peut être compliqué, mais la fermer encore plus. Donc je souscris à tout, et là je vous suis. |
Anonyme
17/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Comme des plans très courts dans un fim, des flashs, cette succession de strophes au rythme saccadé, et des mots qui crépitent, transmet bien les angoisses et situations inhérentes à la fuite permanente de ces " exclus et migrants."
Un superbe texte. |
Anonyme
18/12/2016
a aimé ce texte
Pas
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Le titre m'apparait incohérent par rapport au thème traité. L'expression "pousser au cul" correspond à la volonté de quelqu'un de faire avancer l'autre, pour diverses raisons. Ce n'est pas le cas des migrants, si je ne m'abuse, qui n'ont besoin de personne pour avancer. Les bombes qui pleuvent chez eux s'en chargent.
Je goûte peu l'agencement de vos vers, heurtés, saccadés, qui ne me renvoit pas beaucoup d'esthétisme tel que je l'entends. Nous n'avons pas là un ordre harmonieux des mots mais un empilement disparate, une énumération parfois cacophonique : "Dents blanches des phrases Caresses/Des yeux rougis". Sans doute est-ce le but recherché, pour moi ça ne fonctionne pas. Une lecture à voix haute rend évidente la totale absence de mélodie du poème. Ce n'est pas parce que vous évoquez la misère humaine que vous êtes obligé d'adopter une forme brute. Comme si pour parler des "gueux" le classicisme n'était pas recommandé. Je pense au contraire que cette détresse mériterait une expression plus noble. Mais enfin c'est votre choix... |
Vincendix
18/12/2016
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Ce texte avait sa place dans la catégorie slam plutôt que dans la poésie libre, de préférence accompagné d’un fond musical.
Les paroles sont expressives mais je les trouve un peu trop « lourdes » pour un tel sujet, le traitement de la misère se doit de garder une certaine réserve pour être authentique, à l’image de ceux qui œuvrent dans l’ombre pour apporter, aux déracinés, un réconfort moral et physique. « Gueuler » c’est bien, agir, c’est mieux ! |
papipoete
18/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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bonjour sourdes,
Un poème en forme de " 10 commandements " pour en baver ; quoiqu'il puisse arriver, toi " l'autre " tu devras soit te résigner, soit ne pas y songer, ou te dire que si jamais un bienfait vient à caresser ton échine douloureuse, ce n'est que pour mieux y frotter du bâton ! Par contre, tu peux toujours espérer, mais pour autrui ; pour toi ... NB le découpage et la construction des vers est déconcertante, mais je lis ce poème comme un message en morse, S.O.S |
Anonyme
20/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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percutant, comme les claques qu'on reçoit a chaque vision d'une famille couchée sur un trottoir.
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