|
|
Robot
18/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
La classification phylogénétique des espèces en poésie. La vision est assez originale. LUCA en Français DACU (dernier ancêtre commun universel à ne pas confondre avec le premier élément constitutif de la vie dont on recherche encore la matérialité)
On a assez peu de texte inspiré par la science. Ici l'approche poétique est réelle avec ses images et ses interrogations. Un quatrain d'entrée qui situe le sujet. "La braise des cuissons stellaires Rouge sang et sang bleu astral Ranime les vies cellulaires De son souffle chaud et lustral" L'interrogation "Synthèse inconnue du vivant ! Acte divin ou main cachée? Luca est-il le ci-devant Adam des êtres détachés ?" Ces quatre vers auraient fait eux aussi une bonne conclusion "La vie est un puits de hasard La mort est l’énergie du vide La vie est un temps en miroir De la mort et ses chrysalides" Un texte qui sort des sentiers battus et prouve que même dans le domaine scientifique le plus ardu on peut trouver la poésie sans rebuter le lecteur. |
Anonyme
27/4/2018
|
Si j'avais beaucoup apprécié votre précédent texte, celui-ci (son sujet, bien entendu) n'a pas suscité un intérêt sensible chez moi.
A vous lire une prochaine fois. |
Myndie
27/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Sourdes,
alors voilà : n’ayant jamais eu trop d’atomes crochus avec les réactions physiques en chaîne et l’ennui des cours qui vont avec, je me suis dit : aïe, ça commence mal ! Heureusement, je sais d’expérience qu’à suivre trop impulsivement sa première impression, on risque de passer à côté d’une pépite. Et j’ai bien fait de m’attarder car franchement, j’ai trouvé votre texte passionnant, instructif en diable (avec l’aide de mon ami Google). Passionnant mais, par le jeu des interrogations, jamais professoral ou pontifiant. Je peux donc vous dire tout le bien que je pense de votre poème, original, spirituel et dont les images incongrues et belles sont le sel poétique. Il y a comme une gradation de l’émerveillement à mesure que se déploie la « céleste sarabande » de vos mots et que se répand « le souffle épique ou diabolique » de votre écriture. Pour terminer, je suis d’accord avec Robot : les quatre derniers vers me semblent parfaits pour conclure le poème et l’inversion des deux dernières strophes ne troublerait aucunement l’agencement du texte. Simple avis… Merci pour ce beau partage. |
Anonyme
27/4/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Très intéressante démarche que de mesurer ses mots au grand-père génétique du cosmos
pas facile non plus.Il y a des choses que j'ai aimé, d'autres non. Ce que je n'ai pas aimé: -versifier un tel sujet !!!! On ne mesure pas le cosmos avec un décamètre quand même. -l'emploi de certains mots, fuligineux (laissez ce mot aux agrégés), lampyre (ver luisant est éminemment plus poétique tout en étant moins pompeux) - la fin est trop plate pour un tel sujet comme quand l'inspiration s’essouffle Ce que j'ai aimé: - l'atmosphère générale dans cette cuisine-laboratoire où les molécules rigolent bien de notre ignorance -des images très succulentes: braise de cuisson stellaire, émulsion d'épices célestes, foetus cosmique (super celle là) céleste sarabande... Bref: très positif mais il manque une je sais pas quoi. |
Anonyme
6/5/2018
|
Je n'arrive pas malgré plusieurs lectures, à accrocher aux propos de votre poème.
Le sujet me paraît froid et distant, n'évoquant en moi aucun ressenti. Je reconnais ne pas être vraiment sensible à ce genre de texte en poésie. Ils me tiennent à distance, donc je me garderai de l'évaluer. La forme permet une lecture aisée. |