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Vincendix
26/10/2015
a aimé ce texte
Pas
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Délire, délire ! Le titre prévient déjà, heureusement, la surprise est moins grande.
Je ne retiens rien dans ce texte, délire cela veut peut-être dire à ne pas lire, mais c'est trop tard pour moi. |
Cristale
26/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
L'écriture est soignée, des octosyllabes de bon aloi, l'alternance des rimes également, une mise en forme agréable, oui mais voilà, je ne comprends pas grand chose du discours de l'auteur. Normal puisque c'est un délire me direz-vous. J'ai cru lire dans les lignes le regard d'un(e) personne sur elle-même, un constat de vie, une personne qui se vendrait (?) : Ho ! Cette voix blême, lassants Ennuis d’ennuyantes rencontres Lorsqu’elle arrête les passants. ... L'avant-propos dit : Chanson cathartique. J'en déduis que ce poème a une visée morale thérapeutique, un espoir de purification spirituelle. Tout cela est bien obscur. Je noterais "bien" pour la forme et "pas" pour le fond à cause de l'hermétisme. Une moyenne s'impose donc. Merci Spinoza. (Grâce à cette lecture j'ai découvert le kava...) |
ikran
26/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salutations Spinoza,
j'ai trouvé dans votre texte ce que je cherche dans beaucoup d'autres, un langage totalement déconnecté, débranché, du monde réel. J'ai malgré tout tiqué sur certaines expressions qui, malgré une volonté bien présente de donner à voir des images sensibles et grandes, tombent un peu à l'eau, par exemple, "esprit roi", qui quand on y pense, n'est pas si original. En revanche, la troisième strophe a contenté tout ce qu'il y avait de contentable en moi. Rien que pour cela, je quitte ma lecture satisfait comme un ogre repu. Bonne continuation, Ikran |
Lotier
25/11/2022
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Anges et démons s'invitent à la fête, pour une équipée introspective sur ce qui fait identité en soi, une recherche de liberté, d'amoralité que jamais les turbulences de l'égo ne permettent d'atteindre.
Le frémissement poétique se love dans cette désespérance, ce déchirement permanent… et vain. |