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Ioledane
3/8/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un sonnet qui fait froid dans le dos.
L'image "face entée" me paraît curieuse, les tournures alambiquées voire disgracieuses, comme dans le second quatrain ou le premier tercet. L'ensemble me paraît assez confus. La plume classique est visiblement maîtrisée, et ces vers ne manquent pas d'originalité, mais je n'ai pas vraiment accroché. |
Anonyme
22/8/2015
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Bonjour
Poème classique, oui mais... Je n'aime déjà pas trop ces quatre imparfaits à la rime. Pas plus que la tournure du vers 4 du premier quatrain. Le second quatrain non plus par sa forme vraiment torturée. Et les deux tercets n'emportent pas non plus mon adhésion. Bref, ce poème bien que classique ne me plait pas mais je m'abstiendrai d'appréciation de peur de passer à coté de ce que je n'ai point vu( à cause de l'incipit). |
cervantes
22/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Le mot de confusion me vient à l'esprit.
Confusion du narrateur, confusion du style, confusion des mots. Elle est peut être voulue mais ne permet pas de comprendre et encore moins de m'émouvoir à la lecture de ce sonnet. Des explications plus détaillées que celles de l'incipit qui d'ailleurs ajoute à ma confusion nous aideraient peut-être. |
Anonyme
1/9/2015
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Bonjour
Quel sonnet macabre ! Ta face entée ? Comment oser écrire de telles monstruosités ? Vous me semblez avoir voulu dépeindre le crime. Très franchement, je zappe le petit écran dès que j’aperçois toutes ces séries où l’on met en scène le côté le plus abject de l’homme, par contre voir cela en poésie me sidère. L'incipit me laisait entrevoir la désespérance de jeunes, or le sonnet me jette dans le doute. Ou, alors je n’ai rien compris. Si tel est le cas, nous aurons faux tous les deux. . |
Anonyme
22/8/2015
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Rien ne m'a accroché dans ce sonnet.
Ni le fond macabre, que je discerne mal d'ailleurs, ni ces images tortueuses. Pou ma part, un dernier tercet repoussant. |
TheDreamer
22/8/2015
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Voici un sonnet Peletier dont les rimes sur un verbe à l'imparfait ne me gênent pas. La forme classique est ici correctement travaillée.
L'écriture en est personnelle (comme souvent dans la poésie libre) et qui dit écriture personnelle dit difficulté à en extraire un sens précis que le lecteur puisse appréhender et comprendre. Cette forme absconce vise peut-être à "préserver des regards indiscrets ce que le poème semble vouloir dévoiler. L'auteur en parle, mais, sans véritablement nommer ce qu'il relate. Le sens du participe passé féminin : "entée" provient du verbe "enter" signifiant liée, attachée... |
David
22/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Spinoza,
Landru ne sabrait pas ses victimes il me semble mais le poème me l'a un peu évoqué. L'histoire me semble être celle d'un séducteur mal intentionné qui fait un sort à sa victime, et c'est un thème important en poésie je trouve de séparer la beauté, et tout ce qui peut tourner autour, de la bonté ou tout autre vertu. je n'irais pas jusqu'à dire qu'il y aurait une dimension comique, humoristique dans le poème, mais c'est peut-être "pince-sans-rire" avec la forme toujours imposante des vers classiques, c'est un peu comme cela que j'ai pris le poème en tout cas. J'aime bien le second vers, avec comme une lenteur - un pressentiment ? - dans le "Sans scrupule, sans gêne", l'hémistiche d'un seul mot aussi a de l'ampleur, forcément, je trouve l'effet heureux. Les rimes des quatrains doivent associer des è/é, là aussi, je le prenais avec humour mais ça ne m'a pas tant pesé en lisant, l'usage de verbes à la rime entrainent des enjambements qui diminue le rôle de celle-ci, l'attention ne s'y pose pas comme dans un poème "normal" où la rime ponctue en plus de sonner. Un poème pas sage, c'est un peu le coup du dandy psychopathe pour en revenir à Landru et finir sur un sourire. |
papipoete
22/8/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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bonjour Spinoza; je me souviens avoir lu, à l'aveugle" votre poème qui, dès le début me dérouta ( ta face entée/greffée ); et ces 2 tercets " le coup tombant...le nectar dégoutant de ton reste macabre " m'ont horrifié!
Je crois comprendre que " l'autre " atteint d'un mal incurable, trouve la délivrance sous le fer d'un sabre? J'abrégerais peut-être les souffrances de mon aimée ( si elle me le suppliait ), mais pas de la sorte! Comment ne pas songer à Daech qui manient le couteau sur nos semblables, et l'essuient avec un sourire... On peut tout mettre " en poésie "; la nature, la vie, l'amour, la mort, mais pas la barbarie! |
Anonyme
22/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour
quand je vois un soleil couchant ou passer une jolie fille ou que je lis Jean-Pierre Duprey ou que j’écoute Sibelius j’avoue que je n’y comprends pas grand-chose mais ça ne m’empêche pas de trouver ça beau. Quand je lis votre poème je n’y comprends pas grand-chose, mais je ne lui trouve aucune beauté. Bon le classique et moi ça fait deux mais ici je ne m’ennuie même pas, et je me demande si vraiment il y a quelqu’un qui veut dire quelque chose ou si c’est juste un jeu sans véritable “Je”…et sans humour, ni évident cynisme, où alors un boucher explique une recette à préparer seulement les soirs de pleine lune juste avant le Sabbat…si c’est cela il me semble qu’il manque des ingrédients…même pas peur en fait. Je serais curieux d’avoir des explications sur le pourquoi du comment de votre texte. Cordialement. Corbivan |
lala
22/8/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Spinoza,
J'ai lu et relu, vos mots et ceux de vos lecteurs, mais je reste dans l'impasse à mon tour. L'incipit énigmatique m'attirait mais le mystère reste entier. Si vous voulez choquer en banalisant la cruauté des terroristes de notre époque, c'est assez réussi, mais je crains de suivre une fausse piste. Scène d'amour ? Fait divers ? Règlement de comptes ? Personnifications ? Au plaisir de lire vos explications ! Pour le moment, aucun message audible ne porte votre description sordide et confuse, mais vous saurez sans doute nous apporter des clés. |
Arielle
23/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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Lourde et sans grâce la cruauté est sans effet pour moi et se contente d'attirer mon attention sur des maladresses imposées par la rime (pourquoi ce met exquis ou ce reste macabre au singulier si ce n'est pour respecter la catégorie choisie ?)
L'horreur, l'apologie du crime ? La lèvre exercée, les lourds transports, le triste et luisant sabre dégouttant de nectar me laissent plutôt l'image d'une pauvre sexualité tentant de s'exciter sur des fantasmes de domination péniblement traduits. |
Anonyme
23/8/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai tout aimé de ce poème : des tournures de phrases peu communes, voire étranges, aux images nettes et tranchantes, comme ce sabre luisant et hideux. Je me prends à imaginer une sorte de règlement de compte au sabre, dans une petite maisonnée perdue je-ne-sais-où... un peu comme ces duels à l'épée à la "grande époque", où les gens bien éduqués réglaient justement leurs comptes dans les règles de l'art...
Du coup je repense au fameux roman d'Arturo Pérez-Reverte, intitulé "Le Maître d'escrime" (à lire absolument), et surtout à l'exergue - ou incipit, c'est selon - du premier chapitre : "Un assaut entre hommes d'honneur, dirigé par un maître animé des mêmes sentiments, fait partie des divertissements propres au bon goût et à la bonne éducation." Bien à vous, Wall-E |
Anonyme
25/8/2015
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Commentaire modéré
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Anonyme
26/8/2015
a aimé ce texte
Pas
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"Depuis nos lourds transports, de mes esprits l'empire
Trouva dans tes yeux doux un moyen de te dire Le coup tombant, la nuit comme réglant ton sort." L'empire de vos esprits trouva un moyen de dire quoi ? "triste et luisant sabre" bon diou que cela est fabriqué. Bon, c'est une âme apparement sans scrupule et pourtant tourmentée qui nous livre ce texte : trois Pater et soixante quinze Ave... |