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Anonyme
9/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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Le savant quittant ses nuages pour revenir à la réalité est un bon
thème à traiter. On suit l'auteur sur ce chemin quelques fois tortueux pour arriver au très joli vers final : Faut-il savoir le Monde ou simplement l’aimer ? Qui est le but de questionnement du poème. Je ne saisi pas trop le titre de l'écrit. Je connais le cahier plume mais pas plumé. Au final un assez bon poème pour un bon sujet. |
placebo
19/10/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Un thème plaisant. J'ai été moyennement convaincu par la forme. Le rythme est plutôt bon même si "Au cœur de ma science" fait entendre 5 syllabes. Certaines expressions m'ont tenu à l'écart : - "En un cahier" - "L'espoir chromosomique m'avait tant occulté les joies de l'adultère" Le mot final, faut-il savoir le monde ou simplement l'aimer, me semble rendre compte d'un scientifique qui n'est pas sorti de son système de pensée : il continue à tout analyser sans pouvoir ressentir. Et je ressens un manque global d'émotion : de la part de cette narration, ou de ce narrateur (peu d'empathie). Bonne continuation, placebo |
funambule
19/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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Une belle idée somme toute assez classique... et tout pesée bien menée. Le genre de texte où l'on devine la fin avant que de l'avoir lue (et je serais en mal de dire à quel moment "l'intuition" s'est emparée de moi). Tout ça n'empêche pas la force du final d'ailleurs. Je dois dire pour être parfaitement honnête que ces instants de lecture... -comment les définir- ont étés "agréablement ennuyeux". Il y a pourtant de jolies formules et c'est bien écrit. Un remake manichéen de la poule aux œufs d'or ?
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Anonyme
19/10/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Le thème évoqué dans ce poème est intéressant mais ici je déplore l'utilisation massive du "Je" qui donne ainsi plus l'impression que le narrateur tourne un peu trop autour de lui même et que cela l'empêche quelque part de voir plus loin.
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Anonyme
19/10/2013
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien le fond de ce poème. Abandonner l'univers exaltant, obnubilant des livres, qu'ils relatent l'histoire ou bien les sciences, afin d'entrer dans le monde réel " j'ai regagné la terre mais j'en ignorais tout ".
J'apprécie particulièrement les deux derniers quatrains et, bien sûr, cette question posée : " Faut-il savoir le Monde ou simplement l’aimer ? " Par contre " m'avait tant occulté les joies de l'adultère "m'a beaucoup moins séduit. au fait, pourquoi corrompu ? |
Mona79
19/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce savant qui était au-dessus du mal et de ses tentations a finalement laissé tomber son intégrité au profit "des joies de l'adultère" et des plaisirs terrestres.
Qu'en a-t-il retiré ? Pas grand'chose c'est évident, sinon cette ultime conviction : " Je questionne mon âme, aux abords de la piste : Faut-il savoir le Monde ou simplement l’aimer ?" |
senglar
19/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Sqark,
Bien sûr il y a ce superbe dernier vers : "Faut-il savoir le Monde ou simplement l'aimer ?" après tant d'autres beaux vers. L'auteur maîtrise son art au point peut-être parfois de paraître un maître, chose rarement pardonnée par qui se sent élève, d'où le (-). lol :) Senglar-Brabant |
troupi
19/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Tout l’intérêt de ce poème réside dans son dernier vers. Avoir vécu une existence vouée à la science, la recherche et au bout du chemin se demander si tout cela n'est pas autre chose que l'erreur d'une vie. Pas simple comme questionnement mais je ne serais pas surpris qu’il soit partagé par beaucoup de monde. Le sujet est bien traité, deux ou trois maladresses relevées par d'autres com, auraient pu être évitées mais dans l'ensemble j'ai bien aimé.
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Ioledane
24/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Faut-il méconnaître le Monde pour l’aimer ? ou le désaimer pour le connaître ? Tel est le double questionnement qui me vient à la lecture de ce poème et de son interrogation finale.
« L’opéra cosmique » est une jolie trouvaille, et j’ai bien aimé les deux derniers quatrains, porteurs d’images et bien exprimés. J’ai moins aimé les clichés du premier quatrain, la tournure un peu artificielle et/ou trop désuète du vers « Je brûlais leurs défauts pour ne les faire miens » (pourquoi pas « Je brûlais leurs défauts pour qu’ils ne soient pas miens » ?), la tirade sur l’absurdité qui me paraît un peu obscure, la diérèse présente sur « science » alors qu’elle n’était pas appliquée à « conscience », et les « joies de l’adultère » là où il s’agit plus vraisemblablement des joies de l’amour. |