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Anonyme
19/4/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est absolument divin.
Ce poème est une parole de coeur. Un coeur qui pleure mais avec tant de grâce qu'il a gonflé le mien. Je ne saurais dire quels vers m'ont le plus touchés car beaucoup sont très beaux. Quand je lis un poème de cette envergure, je mets la journée à m'en remettre... Mille merci. |
Mona79
3/6/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Oui, c'est un très beau poème.
Quelques maladresses pourtant auraient pu être évitées : "les parfums de l'Orient". vous auriez pu supprimer le "de" qui vous fait un vers boiteux si vous faites la diérèse à Orient comme on la fait normalement à haute voix. Ce n'est qu'un petit détail mais qui rompt quelque peu l'harmonie du rythme qui est, par ailleurs, excellent. Il y a des vers absolument superbes : "Moi qui demandais tout et qui ne voulais rien/Mais j'ai bu l'ambroisie, j'ai fait l'amour aux pleurs/Je chante pour chanter, c'est ma revanche au temps." Il faudrait citer tout le poème pour dire l'émerveillement. Merci à vous. |
Anonyme
17/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je reviens sur ce texte qui m'avait enchanté en GL. Le bonheur de le relire est toujours présent, intact, emporté par une vague irrésistible. Merci pour cette lecture.
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brabant
17/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Sqark,
Réellement désolé Sqark, le charme de ce poème au long cours, diaphane et délicat, par ailleurs plutôt bien écrit, n'a pas vraiment opéré sur moi, sans doute parce qu'il est trop ténu (dans son sens mélioratif) pour le béotien que je suis quand il s'agit de sentiment(s) où je soupçonne toujours de la sentimentalité. Ce texte délicieusement désenchanté m'est apparu comme une sorte d'art poétique de l'absurde, un existentialisme finalement assez difficile à saisir où l'on sait la futilité de tout acte, de toute création, mais où l'on n'a finalement le choix que de chanter. On devine que la Muse est là et que c'est le poète, en quête, qui est froid et dérisoire. J'ai aimé l'humour dont il fait preuve dans l'avant-dernière strophe, notamment quand il dit : "Alors je m'en irai dormir chez les Martiens" :) Il lui manque à mon avis de ne pas enfoncer ses doigts dans ses muses de chair : "Entre mes mains gelées posées contre tes reins", sa plume y gagnerait le battement du sang tant recherché. Alors l'univers serait moins nébuleux (ça n'est toujours pas péjoratif :) ), et il saurait pourquoi il chante, et sans doute ne lui faudrait-il plus chercher "Londres à Berlin"... Enfin ça n'est que mon avis :) A vous lire, Poète... :))) ))) |
Anonyme
17/5/2013
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Sqark, tu sais que ton écriture est prodigieuse, alors écris !
Si j'en crois ce vers magnifique « Moi qui demandais tout mais qui ne voulais rien ! », tu ne souhaites pas vraiment que je te rejoigne à Londres pour la semaine ? Allez, à lundi ! |
Miguel
17/5/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Quelques-uns de ces vers ne manquent pas d'allure c'est vrai, et il y a quelques belles images, mais aussi à mon sens des passages obscurs, cela part un peu dans tous les sens et donne dans la confusion; et comme le poème n'en finit pas on en vient à se lasser. Si le grotesque phonétique de "trop été" venait un peu plus tard il réveillerai l'intérêt mais il vient trop tôt et après on n'a plus guère d'occasion de se réjouir. De là à dire que le poème est mauvais, non: il est assez révélateur du talent de son auteur; mais plus court et plus concis ce n'eût pas été plus mal.
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Miguel
20/5/2013
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Pour ce qui est des remarques de prosodie formulées ici ou là, il me semble que ce texte présenté comme un poème néoclassique peut s'affranchir de quelques rigueurs concernant les synérèses/diérèses, par exemple. Je ne lui ferais pas de reproche là-dessus.
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Buldo
27/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour,
Très beaux quatrains ! J'avais trouvé le texte trop long la première fois, je ne l'ai pas vu passé la deuxième, et je le savoure encore mieux à la troisième fois. Pourtant, à la quatrième, quelque chose me rebute, c'est quand même un peu long... Les images sont jolies, l'univers a grandi, et les martiens tout petits sont vraiment bienvenus ! J'adore particulièrement "(...)/De vivre la vie ronde alors qu'elle est carrée." Et c'est une "belle revanche au temps", dites donc ! Merci du partage ! |