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Anonyme
10/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J’aime beaucoup le fond de ce poème qui parle de la poésie dans ce qu’elle peut et doit, mais je ne suis pas sûr du tout d’en être convaincu, par manque de foi sans doute.
De belles pistes mais beaucoup de solitude promise (comme il se doit) dans cette évocation du chemin du poète (maudit ?). Cela fait pendant à quelque chose que parfois je pressens quand je pense que la poésie se doit de dire le réel que l’on perçoit, de telle façon qu’on se rende compte que "L’improbable beauté n’est pas ce que tu vois," ce qui peut conduire tout autant à l’humilité qu’à l’émerveillement, en tout cas au respect devant ce qui est, et que nous ne comprenons pas, mais devons ménager d’autant plus, et dont nous vivons. Je n'ai pas le sentiment d’être très clair et constructif là…mais bon. Rien à dire sur la forme de ce manifeste énergique. À vous relire. |
Anonyme
10/2/2016
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Une analyse personnelle sur les questionnements et les états d'âme du poète face à sa passion pour l'écriture.
Etant plus versé sur la musique que la poésie, je me considère comme pas tout à fait apte à donner un avis sur ce texte. |
Pouet
10/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai aimé l'écriture, la forme et la plupart du fond. Je ne suis pas convaincu par le sens de la quatrième strophe. Alors sans parler forcément de la poésie "engagée" d'un Desnos ou d'un Hikmet par exemple, si on peut trouver de "l'utilité" à la poésie ou à la littérature en général c'est bien de montrer le monde sous un autre jour, de faire rêver, penser, critiquer, aimer, détester... Cela n'est-il pas "utile" à l'humain?
Mais bon chacun peut avoir son avis sur la question. Je trouve ici un poème bien écrit, qui pousse à réfléchir. Bravo. |
GilbertGossyen
13/2/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Ce texte est magnifique.
J'y vois du Baudelaire et ses "Correspondances" J'y vois du Valery: "Le cimetière marin" J'aime ces vers: "L’ignoble t’appartient, prends-le ! Et surtout jure De n'être pas utile car l'utile corrompt, Car l'utile enlaidit, son ombre est une croix, Son salaire, un mensonge, et son soutien, les cons — L’improbable beauté n'est pas ce que tu vois," Ils me font penser à Léo Ferré: "Détourne toi du conforme et de l'inconforme" J'aime ces vers: "Ce que tu penses voir il te le faudra battre À mort, forcer ton trait pour qu’il accouche un cri, Qu’il torde une statue dans l'absurde et l'albâtre !" Ils me font penser à Aragon "Celui qui chante se torture". Et les derniers vers me font penser à Gavroche, Eponine et Marius. L'ensemble est original et profond, avec un vrai message. Merci |
Vincendix
13/2/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je suis plutôt circonspect en lisant ce texte, certains passages sont forts, d’autres moyens et certains dénotent, si bien que l’ensemble, à mon avis, n’est pas transcendant.
Et puis j’estime que pour la catégorie néo-classique, il y a trop d’entorse à la prosodie. |
StayinOliv
11/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé votre poème, les mots et les vers m'ont transporté d'une force rare. Vous avez vraiment quelque chose à dire et vous le dites à merveille et avec ferveur !
C’est une veine toujours jeune et toujours neuve C’est un monstre envoûtant : c'est une péninsule Inversée. C’est la force inhumaine et sans preuve Qui se fout bien de nous mais qui partout circule, J'ai adoré ce passage, même si je dois l'avouer je n'ai pas tout compris. Par contre le seul et gros point noir de votre texte et ce " bah " dans le tout dernier vers. Quel dommage, il vient un peu gâcher l'ensemble, car on reste sur ce "mot" moche qui n'a rien à faire là ! |