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Vincent
12/7/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'irai chanter pour vous qui ne m'avez pas lu.
A ce chant sans oreille il faut des cheveux longs, Des limes pour les crocs ; sous l'azur dévolu L'usure dévoilée jouera d'autres mesures. et Nous formerons du neuf pour le monde tremblant ; Notre graine inconnue ira coloniser Les champs vierges et chauds célébrant les printemps Qui ne vivent qu'à nous pour nous mieux iriser. votre texte est fort c'est un chant qui soulève c'est un hymne à la poésie aux arts à la vie c'est une chanson qui nous guide bien plus qu'une recette vos vers nous enthousiasment en tous cas moi ils m'ont fait décoller j'ai adoré toutes vos images merci à vous |
Anonyme
7/8/2015
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Bonjour sqark... Le titre ayant attiré mon attention, j'ai pris connaissance de votre "recette", laquelle, si j'ai bien compris, a pour objet de relancer sous des formes nouvelles la poésie que nous ont laissée les siècles passés...
Pourquoi pas ? Je m'attendais donc à du « neuf » dans ce domaine car... Il faut trouver la forme ad hoc pour le nouveau, Détruire chaque vers que la Grèce enfanta. Or, à ma grande surprise c’est une « alexandrinade » que vous nous proposez, un texte rythmé, et approximativement métré et rimé... C'est vrai que l'on peut considérer que le présent texte n'est que le véhicule annonçant le grand chambardement mais je pense qu'un poème en prose ou en libre aurait eu plus d'impact pour illustrer cette croisade qui est la vôtre... Je vous souhaite, très sincèrement, une bonne continuation dans vos projets de réforme poétique... A vous lire, dans ce domaine ou dans un autre... Cordialement, Alexandre |
Anonyme
7/8/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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A mon sens, cette "recette" (surprenant, quand on parle de poésie!) ne traversera pas les siècles ainsi que l'ont fait les " vers que la Grèce enfanta ".
" Nos cœurs dépoussiérés sortiront de l'hiver." Eh bien moi je vais quand même rester couvert de poussière avec tout ce qui a été écrit de beau et sensé depuis la Grèce Antique. |
Robot
8/8/2015
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Ce poème proche du style classique versifié en alexandrin y compris avec ses e élidés et ses diérèses veut nous proposer d'écrire autrement.
Et c'est là que j'ai envie de dire "faites la démonstration !" Car si la composition, l'expression et la rédaction sont intéressantes, la manière n'est pas en adéquation avec le fond. Ici, je ne sais pas si "la chose est moins forte que le mot", mais ce qui est sûr c'est que les mots disent une chose qu'ils ne font pas. Je m'abstiens de mettre une appréciation, l'objet étant trop éloigné de l'intention. Et j'ai trop hésité à savoir s'il s'agissait de second degré. |
Anonyme
8/8/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Il y a un côté déclamatoire et un ton qui - le mot est faible- frôle la prétention.
Vous ne cherchez pas à plaire. Un choix. Mais au-delà de l'arrogance - je vous accorde totalement la liberté de l'être-, en se penchant sur le contenu, les images utilisées, je trouve que vous manquez ici de rigueur. Le choix de la catégorie, déjà signalé. Mais les adjectifs . azur dévolu > ? pour assonance avec usure dévoilée ? la chose sera moins "forte" que le mot : quelle "chose" sinon l'emploi des mots de "chaque vers" ? du neuf pour le monde "tremblant", graine "inconnue", vie "vierge et immaculée"...etc. Bref : un texte éparpillé sans rigueur et dédaigneux. Gros péché de jeunesse oserais-je dire. il faut bien que quelqu'un vous le fasse savoir. Désolé. |