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Anonyme
28/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Avertissement d'usage : j'ai un ton, qui n'est aucunement dirigé vers l'auteur, c'est juste mon ton. J'ai de jolis cheveux pour compenser. Ceci étant posé. J'ai globalement assez bien apprécié ma lecture, à quelques exceptions près, je la trouve bien fichue. 1 - "ne serait-ce qu’une once de tes yeux" mesurer les yeux en onces c'est étrange... alors je peux imaginer une licence ou une image décalée, mais c'est totalement apoétique, ça me fait penser à une file d'attente chez le boucher pour avoir du hachis. 2 - "pouvait encore se fondre dans l’espace où je me tenais encore" la répétition de "encore" est-elle volontaire ? Auquel cas c'est maladroit et redondant. Sinon, c'est ballot... :-) Quoi qu'il en soit, ces deux petites chipotes mises à part, j'ai trouvé que les images étaient belles et vivantes, peut-être un peu trop évidentes parfois, mais toujours agréables. Le vers renvoyant au titre est très joli. Merci pour ce partage. Ananas, en EL |
Anonyme
4/10/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Stephane,
Globalement cette poésie se lit bien mais elle est trop surchargée d’abstractions ou de métaphores comme les « flancs dénudés des vitrines » ou « l’once de tes yeux » qui me nuisent à la saisie du sens global. C’est dommage également d’avoir mis des « xérique » et « biome », ça fait trop trucs piochés dans un lexique de mots compliqués à caser en société, et j'avoue qu'avoir à prendre un dictionnaire, ça gâche un peu ma lecture. En conclusion, il y a de belles images/sensations à l’oreille, mais c’est un poème qui gagnerait à être libéré de ses expressions ampoulées comme les « galetas empâtés de bistre » pour donner toute sa puissance. Merci pour la lecture gratuite et le temps passé dessus. Anna |
Provencao
4/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Stéphane ,
"La sève des nuages emplissait les rues dans un feulement de voix tandis que je frôlais le contour des galetas empâtés de bistre" J'ai bien aimé ce passage où vous avez, à mon sens, fort bien mis en exergue cette faculté, ce potentiel, en cette sève des nuages qui devient presque ll'objet d'admiration. Ce que j' admire dans ce potentiel, ce n'est pas l'effet escompté ou visible, mais simplement cette faculté de produire un effet , qui n'est nullement visible.... Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
4/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonsoir Stephane
Le ciel pouvait bien tomber sur ma tête, je m'en fichais ! La pluie à verse ne me mouillait même pas, tant mes larmes m'avaient raviné. Je n'espérais plus rien, du moment que j'étais désormais comme un orphelin, sans toi qui ne reviendrait pas... NB " ma version " qui vous fera peut-être sourire, d'être si loin de votre inspiration ! C'est écrit fort poétiquement, mais je trouve l'emploi des mots savants, mal venus alors que cette dernière strophe, put se contenter des mots venus du coeur. |
Donaldo75
4/10/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Stéphane,
Bon, je n’ai pas toujours tout compris dans ce poème mais j’en apprécie la forme – c’est du vrai libre dans ma perception du découpage et l’utilisation des images pour développer le propos – et je lui trouve une grande richesse lexicale. Certes, parfois, c’est « too much » dans ce sens des mots à l’instar du tercet de fin qui sent quand même pas mal la surcharge et la recherche du vocable pour le vocable. Mais tout ceci revêt quand même une forme de sens, un peu comme ces tableaux abstraits qui ne disent pas leur nom en employant des figures pour habiller l’ensemble. Merci pour le partage. |
Lotier
5/10/2022
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J'ai trouvé ce texte un peu logorrhéique, sans que cela soit pathologique, mais quand même. Je crois que dans le domaine des longues phrases, je préférerais lire Proust ou Péguy.
Bon, cela peut s'apparenter à une figure de style voulue et assumée… ce qui peut mettre le lecteur dans un état rapide d'asphyxie, c'est une conséquence qu'on peut rechercher aussi. Je me suis quand même, dans ce dédale, accroché aux verbes qui l'émaillent, histoire d'arriver au bout. Quant à la perle, noyée, qui plus est, je n'ai pas compris (c'est une manie que j'ai de chercher du sens…). Peut-être une référence au K de Buzzati ? |
Stephane
5/10/2022
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Les remerciements, c'est ici... où là : http://www.oniris.be/forum/une-perle-s-est-noyee-juste-ici-t30631s0.html#forumpost437324
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Atom
7/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un poème assez énigmatique mais non dénué de charme.
Une errance, une amertume, un soupçon de spiritualité... Une histoire avec une femme, très probablement. Mais alors pourquoi cette dernière strophe avec ces deux mots si... tue-l'amour ? |