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papipoete
8/10/2021
a aimé ce texte
Vraiment pas
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bonjour StephCalewaert
Un très ( trop ) long poème, dont j'ai abandonné la lecture bien avant la fin ! On peut versifier sur tout sujet, sauf... sur celui que je viens de découvrir ; l'assassinat d'un enfant dont le meurtrier se repaît et semble tout heureux de ce sang qui dégouline de tout côté ! Un poème façon " Tarantino " qui met si mal à l'aise, mais je suis sûr que derrière ce sujet, il doit y avoir une métaphore très spirituelle ? Bien sûr, moi avec mes oiseaux, mes fleurettes et autre ru dans un champ, ne risque pas l'opprobre... On peut versifier sur tout... |
Cyrill
8/10/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
J’ai bien aimé l’idée de faire une analogie entre capitalisme et vampirisme. Cependant, il me semble que vous vous attardez trop, et inutilement, on dirait presque gratuitement, sur le versant du crime ordinaire. Par sur que cette description apporte de la compréhension à ce qui suit. Vous semblez (et c’est confirmé dans l’exergue) vouloir faire cohabiter la tendresse avec un acte barbare, et j’ai du mal à vous suivre. J’ai mieux apprécié la suite où vous renouez avec votre idée de départ, bien qu’elle soit un peu trop longuement exposée à mon goût. Joli, le vers final ! |
Vincente
8/10/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est par l'écriture que je me suis laissé attraper par ce texte vampirisant lecteur et propos ; car celui-là débute rebutant et se poursuit longtemps fuyamment.
Le cadencement fait penser à une succion, longue aspiration assez goulue au début puis par d'autres ensuite plus variables en fonction de l'évocation des suscitations diverses qui traversent l'esprit vampirisant, s'étonnant, se remettant en question, cherchant non une issue à ses intempérances, mais au moins un(e) coupable : la voilà enfin en fin : "L'entropie, [cette] salope" ! Le rythme, l'implication verbale, la volonté de faire texte depuis l'entropique sensation de se sentir acteur et victime, mangeur et mangé… que de turbulences s'invitent dans ce poème ! J'y ai senti une parenté avec un Maldoror qui se serait comme régénéré, d'on ne sait où ? sauf peut-être, mais sûrement du fait de ce que nous indique ce passage : " Et combien furent noyés Décimés par le désir Ou simplement la faim La grande faim du vampire. …/… De leur chiton de nuit Elles submergeaient la grève Emportant en leurs ondes La substance de nos rêves Et puis un jour… un jour, fatalement, Les eaux se retirant Abandonnent aux rochers Les corps inanimés Des vainqueurs triomphants." Le "vampire" se trouve l'individu sujet aux nécessités de sa propre survie, tout comme la société des individus spécifiques la constituant, tente de se justifier. Être "aimant", aspirant à l'autre, qui tenterait au biais d'un amour destructeur, déstructuré, de faire de ses "idées noires" l'extrémité horrible depuis laquelle il se vouera à de salutaires attentions. Le narrateur ne se défaussera pas, en quelque sorte, il assumera son geste assassin, et prononcera sous cette promesse suggérée la contrition vaine d'avouer un "responsable mais pas coupable" sincère… L'évocation est assez alambiquée, mais ne reflète-t-elle pas les enchevêtrements et ambivalences que véhicule l'esprit de "l'être vampire", que nous serions tous un peu chacun dans notre registre et à notre niveau ? |
Provencao
8/10/2021
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"Dommage…
J’aurais aimé revendiquer Ce doux petit forfait." Ici, dans ce passage j'y ai lu une ironie qui se veut où se fait subtile sous un apparent appartenant à un monde des plus étrangers tant à la réflexion qu'au bon sens. Ces années noires, excusez-moi, mais ne comprennent pas de dialectiques, de raisonnements. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Donaldo75
9/10/2021
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Bonjour,
Je suis mitigé quant à ce poème mais quelque chose en moi me dit qu’il vaut le coup d’être lu malgré ses longueurs. L’exergue donne une tonalité que malheureusement je ne retrouve pas dans les vers car ils sont trop délayés par la narration. Pourtant, cette narration contient des passages où la poésie l’emporte sur le discours ou l’accumulation de mots mais je peux comprendre que des lecteurs abandonnent en cours de route parce que les fruits de la lecture mettent du temps à se montrer. Le dernier vers montre une voie qui aurait pu servir de base pour édulcorer ce poème de son trop plein de mots. |