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Anonyme
6/1/2011
a aimé ce texte
Bien
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De l'abandon et de la paranoia. Un texte qui défend bien son point de vue avec parfois de l'élégance et un regard sans indulgence sur soi comme sur l'autre. Les rimes intérieures qui sont technique ancienne, on trouve cela dans la poésie étrangère, sont placées intelligemment. De l'abandon et de l'amour puisque la plainte est amoureuse. Donc, des diptiques, a priori des alexandrins, des rimes intérieures.
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Arielle
7/1/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Pour moi, la rime est beaucoup trop présente.
Je ne parviens pas à me laisser emporter, à goûter la poésie de l'ensemble; même si je reconnais l'habileté de l'auteur qui, bien que lié par une telle contrainte, parvient à garder le sens de son histoire. Un peu comme si un maquillage trop appuyé m'empêchait d'apprécier l'harmonie d'un joli visage. |
LEVENARD
10/1/2011
a aimé ce texte
Un peu
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On ne peut reprocher à l'auteur d'avoir chercher la facilité.
Du coup la fin se ressent comme d'un manque de netteté, de quelques à peu près pour finalement que "ça colle". Il a fallu une médaille (?) L'abandon comme un Un épouvantail qui poursuit ? La gageure n'est pas pour toi entièrement tenue. |
bulle
10/1/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Sur le fond, bien ressenti, je pourrais dire que si les images ne sont pas recherchées, elles ont le mérite d'exister et de s'imposer. Ceci grâce à la forme adoptée.
De la manière dont se présente le texte, j'entends l'utilisation de deux seules rimes, en structure de distiques qui impriment une musique mélancolique et douloureuse ; mais je ne peux m'empêcher de voir là des hexasyllabes complétés en (pseudo-) alexandrins, un peu maladroitement, pour certains. Pour exemple, ce vers-ci, qui tend à s'appliquer au schéma : "Que fais-tu mais tu railles ? De l’ improbable « oui » !" auquel il manque une ponctuation cohérente. Au final, il reste le ressenti de cette langueur, porté par cette musique particulière. |
Anonyme
22/1/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Drôle de voir des vers de 15 pieds (vers 3).
Hors prosodie, je trouve une erreur de sens dès le départ, « Cette angoisse » Laquelle ? Sommes-nous déjà au fait d’une angoisse ? J’ai du mal à visualiser « décrier la bataille » et même la « fiction d’ennemi » surtout avec ennemi au singulier. Enfin, j’ai du mal à croire qu’un gâchis puisse être vil, et qu’on puisse induire un abandon. Ce n’est que mon point de vue. Je trouve aussi le choix des rimes « aille » et « i » peu judicieux. J’aurais mieux vu un « or » ou un « eur » à la place du « i ». C’est une affaire de goût. |