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Brume
17/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
C'est véritablement un appel à la vie. Vos vers sont baignés de lumière, un souffle spirituel accompagne cette errance à la quête de soi. Fuir la violence pour trouver la paix. Les éléments naturels, (le soleil, la nuit, la dune, forêt...) du Moi, de l'esprit, ouvrent le chemin de vie, une traversée qui ne peut se faire sans obstacles et sans tourments (éclairs, tempête, orages) pour enfin atteindre la paix intérieure. Votre poème est plein de force et d'une grande profondeur. Merci pour le partage de cette belle aventure humaine. |
papipoete
27/12/2017
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bonjour suchni9
Je vous avoue franchement que la taille de votre texte me dissuade d'aller très loin dans votre cheminement ! Mon plus gros défaut qui me fut reproché, était de faire long ; aussi ai-je dû apprendre à réduire, la mort dans l'âme ! Aussi, face à vos 86 vers, je renonce à vous lire, sans vouloir vous offenser ! |
Anonyme
27/12/2017
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai trouvé intéressantes les trois premières strophes.
Ensuite, hélas je me suis perdu dans ce dédale au langage ampoulé et me suis ennuyé. " Descend venir me bercer Dans un doux frisson d’abeille " je n'ai vraiment pas saisi le sens de cette image. |
Anonyme
28/12/2017
a aimé ce texte
Pas
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Long, franchement bien trop long ...
Je suis allé jusqu'au bout mais vous n'avez pas réussi à me captiver, je ne trouve rien de très pertinent à votre discours trop empesé. " J’ai respiré le Soleil (Au risque d’être brûlé) " Comme c'est bien trop excessif et cela tout le long de ce texte, la lecture devient peu à peu ennuyeuse, rébarbative. J'ai eu du mal avec ces phrases : " C’est à vous que je m’adresse Vous l’indomptable jeunesse Vous la convulsion d’espoir " "L'indomptable jeunesse, vous la convulsion d'espoir", comme vous si allez ... surprenant tout de même .... " Il faut plonger dans l’ivresse De ce monde qui s’affaisse Autant que dure le soir " Là, encore, vous avez le sens de la formule ... mais je suis loin d'être convaincu ... |