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Anonyme
30/11/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
J'aime la correspondance entre le titre, le thème et l'exergue. "La rue", on est en ville, donc, et tous les termes "négatifs", "maladifs" s'adaptent bien au lieu où l'hiver ne peut dévoiler sa splendeur. le poème est court (un peu trop à mon goût ?), Mon commentaire le sera, je ne vois pas comment épiloguer beaucoup sur ce poème proposé, où thème et traitement sont intéressants, harmonieux l'un par rapport à l'autre. Je ne trouve pas vraiment d'extrait marquant pour moi. Un bon ensemble. Éclaircie |
Alfin
11/12/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Magnifique et fluide, mon commentaire sera très court car il n'y a rien à à changer. C'est précis et court.
J'aime beaucoup :"des ombres dérangeantes" Merci beaucoup pour ce partage Alfin en EL |
papipoete
15/12/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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libre
point de sanglots longs des violons de l'automne, mais des crachats de feuilles mortes que la rue transforme en ombres dérangeantes... NB et sur les bancs publics, et près des bouches de métro, on les voit sombrées dans leur abîme de misère, sous les murmures du vent... je suis peut-être très loin de l'idée du poète, mais ainsi m'apparait la toile que vous tissez de vos mots...si mélancoliques papipoète |
Anonyme
5/1/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, Tankipass
L'originalité du poème tient à ce qu'il est bâti sur une seule et longue phrase, comme si la ville expirait un seul souffle. L'image de cette respiration maladive citadine aurait pu recevoir un développement plus poussé afin de donner davantage de force émotionnelle au poème, à mon avis. J'aime bien les trois derniers vers qui apportent paradoxalement un apaisement.. Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Raoul
5/1/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
C'est un bon début, seulement, me manque un développement. Trop court, mais un vrai regard. Tout est à sa place, irrégulier comme une respiration qui se cherche, le vocabulaire est précis, sonnant, évocateur... Le titre est superbe. À ce propos, peut être que s'il n'avait été que le premier vers, avec les feuilles dissociées, cela ouvrirait le texte, et aurait permis de gagner en... souffle. Bien aimé. Merci pour cette lecture. |
Anonyme
5/1/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
En ce début d'année 2020, j'ai pris comme nouvelle résolution d'essayer d'appréhender un peu mieux la forme libérée des poèmes. Mais ce n'est pas facile, pour moi, le réaliste né. J'aime beaucoup le premier vers de ce texte mais ma compréhension se heurte à une porte close dès le deuxième : avant d'engloutir.... Les ombres dérangeantes qui s'étirent au sol, d'accord, en hiver un bas soleil donne des ombres allongés, c'est vrai mais pourquoi dérangeantes ? Et le reste et la fin du texte m'est totalement incompréhensif. Je pense avoir du travail à réaliser pour maîtriser toutes les arcanes de la poésie libérée. |
jfmoods
5/1/2020
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Dans l'automne mourant (entête : "L'hiver vient...", "des feuilles mortes", "les murmures du vent"), l'univers urbain ("La rue", visée généralisation : "les villes"), grand corps contaminé ("tousse", "ses bronches sifflantes"), est promis au néant ("les poumons se compriment / respirent doucement les lambeaux d'un abîme / qui s'étend / silencieux").
La cité moderne prend l'apparence d'un monstre insatiable ("avant d'engloutir le monde"), d'un être abject, dévorateur de chair fraîche, qui vomit les travailleurs vieillissants ("elle recrache / sale / des ombres dérangeantes"), formes spectrales ("hantent") dont l'existence misérable est vouée au déclassement et à la déliquescence ("s'étirent au sol", "s'étiolent"). Merci pour ce partage ! |
Castelmore
5/1/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Tankipass
Vous nous offrez un regard original sur nos certaines de nos cités ... sur le rythme épuisant d’une seule proposition.. Première visite réussie... et je suis sûr qu’avec le temps qui passe ... ce ne sera pas la dernière... peut-être un peu plus longue, prenez votre t.... ! Bonne continuation. |