|
|
Provencao
25/10/2020
a aimé ce texte
Bien
|
Libre....votre poésie, mais " Seules les étoiles savent
les étoiles ont raison et leur lumière pâle sonne notre oraison il n'y a plus rien à croire plus rien à espérer mais ne tapons pas trop du pied sur le plancher" Et ce libre choisi, se métamorphose en votre poésie, en votre pensée en lignes de désespoir, où il n'y a plus rien à croire. Demain serait il donc ce mot qui ne chante plus ... "Demain comme aujourd'hui " l'espérance naurait-elle pas de consistance ? N'est elle pas faite de tout et de riens? 'L'espoir vain "comporte en vos vers sa fin en elle-même . Plusieurs lectures pour votre poésie où Oui j'ai vu..... Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
25/10/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
bonjour Tankipass
je ne crois plus en rien ; je n'espère plus rien ; mais il ne faut pas le dire trop fort, car demain ne viendrait peut-être même pas ! parlons tout bas... NB je comprends ( très difficilement ) que le bonheur est derrière, et que le futur risque de s'arrêter bientôt, voire très bientôt ! certes, nous n'avons guère d'espoir que notre planète tourne encore bien rond ( je pense au soleil d'hier-soir, si rond ! normal, li ne craint pas grand chose ! ), mais d'un champ de ruine, qui put croire par exemple que l'Allemagne se releva ? En France, le Havre ou Caen ? Votre poème est pour moi, un peu trop " tiré par les cheveux ", même si l'on devine que ça ne va pas terrible pour les terriens... |
Vincente
25/10/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
|
J'ai bien aimé l'exergue qui place d'emblée le ton…, sans plus, très invitant ainsi, entre autres à ne pas prendre la chose poétique trop au sérieux.
J'ai bien aimé les rebonds entre les "crus" à boire et ceux à penser. Le poème se joue avec un amusement certain du goûteux, voire du débordant ("l'Amérique en fût"), de l'un, et du réflectif, voire du réflexif, de l'autre. Mais il n'y a pas là qu'un jeu, car l'on peut voir une trame qui se dévoile en filet-filigrane au dessus du vide existentiel. J'ai beaucoup apprécié que le développement nous amène à cette constatation : "l'espoir-amour est un festin-destin qui nous oblige à pondre un lendemain", juste maxime où se raccourcissent les tenants et aboutissants d'une vie. Mais pourtant la dernière strophe viendra cyniquement rappeler que "l'espoir est vain" "demain (sera) comme aujourd'hui". Dans la vanité de ce dernier soubresaut réflexif, l'auteur retombe sur ses pattes mais entraîne son lecteur dans la vacuité de sa réflexion. Dans ses allers et retours un brin fantasque du regard du sensitif au sensible, du conceptuel à l'émotionnel, le poème nous vagabonde dans ses atermoiements incrédules, l'expression est assez joviale bien qu'un brin désabusée, j'ai aimé l'angle d'attaque de la "terrible" problématique vitale. Une petite remarque. Il me semblerait préférable dans ces deux vers d'employer un conditionnel et de les décliner ainsi : "Au cas où ceux d'en dessous se mettraient à y croire au cas où ils seraient fous qu'ils redemanderaient à boire…" |
Donaldo75
25/10/2020
a aimé ce texte
Bien
|
Bonsoir Tankipass,
J'ai bien aimé cette poésie libre; elle est rythmée comme une chanson dirait une de mes connaissances - j'avoue, je lui pique cette image sur ce coup mais il ne m'en voudra pas - et se laisse lire comme une rivière emporte les flots. En tant que lecteur - dans mon cas en tous cas - le plaisir de lecture vient de ce flot justement qui ne s'embarrasse pas de scories stylistiques à deux centimes ou d'artifices inutiles. La poésie titille mes neurones et leur imprime sa cadence. Bravo ! Donaldo |