|
|
Anonyme
30/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Commenté en EL
De cette cascade de beauté rien ne m'enchante tant que la beauté elle-même. Je lis ceci comme une chronique poétique née au fil des mois, des années peut-être et tout m'emporte. Il y a bien un point ou deux de formulations qui auraient gagné à plus de légèreté mais c'est sans importance au regard de l'ensemble qui nous est proposé ici. Est-ce de la poésie ? Oui n'est-ce pas et de belle eau alors ... |
papipoete
12/8/2017
|
bonjour Terri_Peirton,
Ici bas, se dressent des cathédrales gothiques, romanes ; en Espagne la Sagrada Familia ; la chapelle de Ronchamp du Corbusier non loin de là et celles que voit l'auteur dans cette fresque poétique ! Je suis hors du champ où le guide nous entraîne, mais je vois des jaillissements que Dali aurait porté du pinceau sur une immense toile ! Cela m'impressionne et même si je reste cloué à ma chaise dans la nef, j'admire toutes ces couleurs ! |
Vincent
12/8/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
bonjour,et bienvenue
c'est la première fois depuis que je lis des poèmes sur ce site que j'en lis un aussi beau il coule comme l'eau d'une magnifique rivière avec ses couleurs ses lumières sa musique son tempo je vous remercie de m'avoir fait vivre ce moment de lecture j"ai adoré |
Anonyme
12/8/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↓
|
Bonjour Terri_Peirton,
Je viens aussi manifester mon enthousiasme, j'avais lu ce poème anonymement en espace lecture et ma première remarque a été : "un poème avec un titre pareil ne peut qu'être intéressant" Impression confirmée à l lecture : l'aspect visuel "plusse" qu'agréable fait oublier l'inconfort de la lecture d'un Bon Poème sur un site Internet . Ensuite, que dire pour partager mon bonheur de lecture ? Pour moi c'est un travail abouti et méritant d'être au catalogue. Cathédrales au pluriel et défilent devant nos yeux dans une poétique très présente tant d'axes du temps donc de la vie. Même si nous sommes plus ou moins perméable à nos lectures et découvertes selon le temps, l'humeur, la pression atmosphérique. J'avoue que votre poème m'a vraiment transportée en pays Poésie. Merci et très grand bravo. |
Marite
12/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Le titre m'a attirée bien que je n'ai pas perçu le lien avec les vers qui suivent. Déroutant, pour moi, par la forme sous laquelle il est présenté, ce long poème recèle tant de "choses" qu'en fait, c'est le genre de texte que j'aimerais avoir sous la main car il me semble que, chaque jour, j'y trouverais quelques mots qui pourraient satisfaire à la fois mon coeur et mon esprit. Merci pour cette découverte poétique.
|
Damy
13/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Je ne connaissais pas le leylandis et ce mot m'a immédiatement évoqué les landes de Leyla, Leyla étant ma fille, métisse berbère et landaise dont le milieu est le sable des déserts et des dunes et pourtant dont la première vertu n’est pas la patience (ni l’amour des cathédrales) mais le lierre est un des ornements de Dionysos (Denis étant mon prénom !) et dans la mythologie celte, sa consommation permet d'ouvrir les portes de l'au-delà. Ce poème m'est dédié, en tout cas je me sens si près du cyprès que je m l'approprie ! "Le vent du Sud" en rajoute.
Les autres strophes ne me laissent pas insensible, c'est si bien écrit ! Mais, pour la plupart d'entre elles, assez hermétiques pour moi, il me faudra y revenir dessus pour bien m'imprégner des profondeurs de l'humus (cité 2 fois, il a son importance, dans la fécondité, peut-être ? Il est sous le leylandis, en tout cas). "Les exécrables humeurs", c’est au soleil que je les dispere. Les sentiments développés, mêlés d'espoir et de désespoir, ne me semblent pas d'une originalité première, c'est l'écriture qui fait la différence: la bonne poésie, son âme: "Donne-moi ton mal, Je dresserai autour Un mur de pardon, Et dans l’eau d’un puits Nous jetterons La peau de ton démon." Je reviendrai lire à temps accordé. Poétiquement vôtre, Damy |
Robot
13/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Vous ne trouverez certainement pas chez moi un pair qui partagerait votre recherche en écriture car je serais bien incapable de tel ouvrage.
Votre poème tient pour moi d'un renouvellement d'une légende des siècles dans une écriture classique de notre époque. Je dis légende des siècles, car cette poésie intemporelle nous porte naturellement, mais sans nous forcer, à la réflexion sur le sens à donner à l'existant: ce pourquoi permanent qui taraude l'homo sapiens depuis qu'il a acquis la possibilité de réfléchir sur lui même. Vous aurez compris que j'ai eu beaucoup de satisfaction à lire plusieurs fois ce texte pour m'imprégner de ce qu'il contient de profond. |
Anonyme
27/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonsoir poète, c'est tellement beau ,, pur ravissement.
Touchée au cœur. Et puis .. "Le grand silence" .. Merci. |