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jaimme
17/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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"au gué, au gué"!
Merci Brassens. Merci thaumaturge53. Moi aussi je l'adore! Pour la forme, je laisse à plus compétent. Et même pour la musicalité. Mais j'ai beaucoup aimé les images "calumet titanesque", "pétun de l'enfer". Héphaïstos! Et bien d'autres. J'ai aimé passer du temps avec ce poème. M'asseoir et écouter à nouveau Brassens! "au gué, au gué"! Merci! |
Chene
17/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Thaumaturge, bonjour
J'ai bien aimé cette ubiquité et le clin d'oeil au grand Georges. Côté forme et musicalité du sonnet, juste une remarque : l'usage un peu trop fréquent des participes présents alourdit la perception des sonorités des vers. Merci pour cette belle lecture Chene |
Lapsus
17/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette association de la pipe et du chat comme les armes d'un même combat contre la mort qui vient est à la fois plaisante et bien menée.
Des mots rares, inusités, viennent souligner le caractère intemporel de cette lutte. La référence à Baudelaire est également heureuse. Le chat a toujours eu un lien privilégié avec les représentations de l'Enfer qu'elles soient mythologiques ou médiévales. Une seule remarque sur la diversité sonore du sonnet : la rime en "ame" du tercet est très proche de la rime en "arme" des quatrains. Mais c'est une remarque toute personnelle. |
Anonyme
18/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour thaumaturge ! J'ai bien aimé ce texte qui nous ramène à l'inimitable Georges Brassens qui n'aurait pas renié ce sonnet...
Pour la forme, je remarque le chevauchement du premier tercet sur le second, ce qu'on m'a souvent reproché à une époque pas si lointaine, mais qui en fait ne gêne pas la lecture ; à l'avant-dernier vers, on trouve le hiatus Et en car, si je ne me trompe, en classique le t de et ne compte pas... A vérifier toutefois et mille excuses si je suis dans l'erreur. Tout ceci n'enlève rien à la qualité de ce poème... Amicalement. Alex |
calouet
18/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème envoûtant, puissant, qui colle bien au thème. J'ai beaucoup aimé, le rythme est splendide, certaines tournures coulent comme de l'eau... Même la ponctuation est bien...
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Anonyme
20/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour!
Alors, comme je ne suis pas maitresse es-classique sonnet tout ça... je passe surtout livrer un ressenti. Le premier quatrain est sympa, et j'aime tout particulièrement le dernier vers. Le premier vers est un peu plat, comme entrée en matière. Le second me plait dans les contradictions entre brûles et tendrement.après je décroche à l'hémistiche, j'aime pas la suite que je trouve un peu "bateau" (pardon^^ pas pu m'empêcher) Le troisième ne me parle pas. C'est pas ta faute, je visualise pas bien. Et j'ai besoin d'images qui claquent... "Lorsqu'à nous vient gémir le plus petit effort..."=> là je dis Oui!!! Très beau vers, l'hémistiche passe en glissant j'aime beaucoup... y a une espèce de lyrisme très minimaliste et un rien sensuel que j'apprécie. Deuxième quatrain moins bien bossé je trouve, rimes faciles (larmes/armes bouhouhou) confort et fort me semble un peu faiblard aussi mais bon... Premier vers je le trouve un rien planplan romantico-classique... et j'avoue que ça me perturbe toujours un peu. question de goûts... Second vers plus poétique à mon sens mais oh! combien éculé jusqu'à la cale... (scuzi j'ai l'humour marin ce soir) Troisième vers : "alors que je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal..." ... plouf pour le déjà lu, et mieux écrit... désolée... Dernier vers sympa sauf confort... pas top. Premier tercet pas trop mal dans les deux premiers vers. J'aime moins le dernier que je trouve un peu spécial. Pas inintéressant spécial. Dernier tercet sympa aussi, pas fulgurant de puissance mais agréable. Merci. Bonne continuation. |
Anonyme
31/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est un poème fort bien écrit, je l'ai lu et relu, je suis désolée mais il ne m'a à aucun moment créé d'émotions, je ne lui trouve pas assez de sensibilité, il a manqué de ce petit quelque chose qui m'aurait fait vibrer.
La forme est élégante, plaisante à la lecture, je dirai un poème savamment ciselé. |