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Vincent
25/12/2016
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bonjour,
comme le toi m'est adressé en tant que lecteur je ne suis pas d'accord avec le fond car c'est plus facile à dire qu'à faire pour certains, par exemple moi étant bipolaire ayant été longtemps en dépression lorsqu'on touche le fond on ne peut rien faire seul je préfère ne pas noter |
Donaldo75
25/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Thea,
J'ai lu ce poème comme une sorte d'incantation, douce et légère, une sorte de nuage parfumé pour l'esprit et le corps. Il y a beaucoup d'images naturalistes (par contre, les elfes sonnent un peu décalé) qui renforcent cette impression incantatoire. J'aime bien, Merci pour la lecture, Donaldo |
Ramana
25/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il faut faire confiance au temps qui guérit presque tout. La douleur est précisément ce qui nous porte vers d'autres horizons, lorsque nous sachons l'accepter. Lorsque nous sommes patient, l'univers entier finit toujours par nous apporter sa solution. Et que saurions nous du plaisir sans la douleur ?
"Puise au fond de toi Le souffle de vie Qui gémit en silence" La souffrance est un maître qui nous révèle ce que nous sommes vraiment. Il manque peut-être un mot dans : "Là où (dans) la prairie Niche l'oiseau migrateur" ? J'aime beaucoup ce texte qui me ramène à cette phrase du Livre : "Soi tranquille, et sache que je suis Dieu." |
Anonyme
25/12/2016
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Le texte incite à la philo. rien de poétique malgré l'irruption intempestive d'elfes.
Un exutoire (en prose), oui, pourquoi pas ? |
Anonyme
25/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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" Puise au fond de toi
Le souffle de vie Qui gémit en silence " " Ne courbe plus l’échine Redresse-toi " mais ce n'est pas toujours facile lorsque la noirceur étouffe un être. " L’espoir d’une résurrection " l'essentiel c'est d'y croire et de se battre pour y parvenir. Je n'ai pas trop aimé " les bavardages des elfes " |
aldenor
25/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’aime l’effet de dédoublement du « moi » que produit l’emploi du « toi ».
Le moi de jour exhorte le moi de nuit à réagir dans l’épreuve, lui fait miroiter la nature réparatrice, source des mots salvateurs. C’est un moi de jour qui écrit dans la nuit ! Mais on suppose qu’il veille... La fin est assez mystérieuse : Elle, c’est la prairie ? Contre quelle attente ? Et la rencontre de quoi ? Mais ce n’est pas la peine de l’expliquer. Pourtant je me serais passé du « contre toute attente ». |
Francis
25/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comme un bouton de rose qui rencontre au seuil de l'hiver un rayon de soleil qui l'invite à s'ouvrir, à oublier la disparition de ses amis: lilas, jonquilles, tulipes... Il suffit parfois d'une rencontre pour oublier les bleuets de nos cœurs. Comme le bonheur, l'espérance est là, dans le pré. . Cours y vite !
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