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Anonyme
14/9/2009
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
je trouve qu'il est difficile de faire dans l'originalité avec un tel thème et je crains que tu n'y sois pas parvenue, à mon sens du moins. Je trouve la majeure partie des vers terriblement convenue, sans grande originalité ni musicalité. Je suis désolé, je n'ai pas du tout été sensible à ce monde que tu décris. Mais c'est sans doute moi... Bonne continuation en tout cas. |
jaimme
14/9/2009
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Je suis d'accord avec Jphil.
Je donc m'employer à relever ce qui m'a intéressé dans ton poème: "Je vous devine aux abords de la tendresse", sauf que l'être aimé, si on le devine, aux abords de la tendresse, c'est quand même loin de la tendresse, non? "Une place si près du cœur Que seuls les rêves peuvent s’approcher", l'image est belle c'est le traitement qui ne me soulève pas Qu'il est difficile de parler de l'amour en général! |
lotus
15/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Encore un plaisir de lire une de tes créations Théa.Certes, ici, rien d'original dans la tournure ou le choix des mots mais ce que je j'apprécie chez toi, c'est cette façon de magnifier l'amour et aussi ce côté fleur bleue qui revient chaque fois.
Avec une infinie simplicité, tu es transportée par ta grandeur de sentiment et ça se sent comme dans ce paragraphe: "Je vous aime au-delà des mots Au-delà des peines Au-delà de l’insupportable désir Qui me conduit dans des lits sans voix" Dans ce que j'ai déjà pu lire de toi, ce n'est pas mon préféré mais je suis sensible à ta plume et aux images que tu transmets. |
brabant
15/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Poème à l'absent, qui ne cesse de hanter ton désir, inaccessible, confidentiellement distancié par le vouvoiement (de toute beauté, bienvenu et fort à propos), désuet et policé:
"vos mots/Je vous devine/Je vous aime/Je vous porte/ Et je vous garde/ Je vous raconterai/Vous êtes/Je vous offre/vos pensées" Marque de respect et de vénération, amour porté vers l'autel, sur l'autel, à l'autel. Et tu vas sans cesse de "vous" à "me" où ton Moi s'offre sans réserve, sans condition. Une suite de présents qui renvoient à l'absence bascule au futur: "Je vous raconterai" qui nie cette absence bâtissant un projet suivi par un présent qui installe l'immanence: "vous êtes", "Je vous offre". Et "vos pensées" de l'avant-dernier vers concluent l'embrassade avec "vos mots" du premier. Formellement c'est très bien construit. Les images maintenant: chaque strophe en porte sa moisson qui renvoie à l'absence: "Les déserts s'entrevoient pensifs Dans l'impossible renversement des choses" "Je vous devine aux abords de la tendresse" "...lits sans voix" Ton poème est tout en fluidité et en exquise et pudique retenues. On devine que tu veux crier, mais tu te l'interdis, ce serait offenser et l'absent, et l'absence, dualité fusionnelle; alors tu préfères rêver encore, faire comme si..., mener ton propre voyage au bras de celui tu aimes, à jamais, jusque dans les paysages chimériques, où l'amour continue de fleurir dans cette absence inéluctable, et où la pensée de cet amour émane de Toi, en ondes concentriques comme un appel, une déclaration réitérée, un chant mélodieux tel une mélopée, dans ce désert qui soupire, aux quatre vents de la rose. Amour exceptionnel et chant d'amour d'exception que le tien! Au-delà des contingences! Par-delà les contingences! |
Anonyme
17/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Dans l’éternité d’une rose des vents" je trouve cela magnifique. A l'image de tous les vers qui le précède celui-ci est sublime. Tout en délicatesse, il offre une image délicieuse de l'amour.
Un beau cadeau que tu nous offres là Thea. Et une belle idée, une belle espérance: les voyages cessent lorsque l'amour vrai survient. L'amour est lui-même Est, Ouest, Sud et Nord. Un beau moment. |
Anonyme
17/9/2009
a aimé ce texte
Pas
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Je pense que l'auteure est fidèle à son thème... et personnellement j'en ai fait le tour.
Cette poésie ne me touche pas... les mots sont convenus, le sentiment déjà lu et mieux, par la même auteure... Désolée théa, mais ça ne marche pas sur moi ce coup-ci... Bonne continuation |
David
18/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Thea,
L'éternité d'un instant qui peuple de déserts où se racontent des jardins d'Eden, "rose des vents" répondrait à "couper le souffle". Pas de chaise dans celui-là, plus de voyages. |