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Marite
17/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belles pensées nocturnes, de la bonne et vraie poésie libre je trouve. Une poésie qui se comprend et se ressent immédiatement. L'auteur nous fait traverser cette nuit avec de belles images :
"Ah ce vent des ombres Qui gifle la terre abusée Cette pluie de cendre qui fait crisser la mer Sur les rochers hagards ... ... ... " J'ai aimé. Merci à l'auteur pour ce bon moment de poésie. |
bulle
19/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai tiqué d'entrée sur le "Ah ce vent" d'entame que je trouve trop abrupt, voire superflu. Peut-être à cause de l'interjection ?
Mais aussitôt après, j'ai plongé dans les lignes et me suis laissée porter par les mots. De belles images, sur un rythme lancinant que je trouve juste et bien posé. Le 4ème passage m'est un plus, fort d'évocation : "La nuit s’essouffle Et mes yeux lourds de peine Inondent le matin d’un ruisseau sibyllin Au bord d’une tendresse Qu’infiltre l’amertume" Un agréable moment pour moi. |
Anonyme
20/10/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah ce vent des ombres ... que je connais bien aussi ...
J'aime les émotions présentes dans ce texte, plein d'âpreté et pourtant non dénué d'espérance. J'apprécie particulièrement certains passages : "Cette pluie de cendre qui fait crisser la mer Sur les rochers hagards" "L’aube s’installe dans la candeur D’un jour sans teintes" "Chercher dans l'aurore les dernières lueurs pour danser", très belle image. J'ai moins aimé les "composts de chagrin", même si j'en vois l'écho positif un peu plus loin avec la "terre vierge". Enfin certaines expressions me paraissent un peu plus convenues, manquant de réelle force poétique : "Ne plus vivre ces tempêtes Capricieuses et stériles" "Et mes yeux lourds de peine Inondent le matin d’un ruisseau sibyllin" "Regards intimes au fond des âmes Pour deviner l’absolu des cœurs avides". Cependant au final ce texte me "parle", alors merci pour cette lecture appréciée. |
melancolique
26/10/2010
a aimé ce texte
Bien
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Salut Thea ;
Un beau poème par lequel je me suis laissée emporter ... 'Ah ce vent des ombres' me gène un peu comme premier vers Pour le reste il y a de belles images : "Quand la certitude veille Sur un rai d’espérance qu’on apprivoise" "Inondent le matin d’un ruisseau sibyllin Au bord d’une tendresse Qu’infiltre l’amertume" J'apprécie alors ce poème , merci pour cette délicieuse lecture |
brabant
26/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Théa,
La nuit, dit le dicton, porte conseil... Encore faut-il avoir vécu mille et deux nuits pour que le conseil porte... "Ne plus vivre.. ... Ne plus aimer Ne plus geindre..." La nuit permet alors de rebâtir : "Vivre En terre vierge Sur des pensées endormies" Ne pas permettre au jour de ramener le chagrin, "l'amertume". L'aube termine la nuit et l'aurore précède le jour. C'est dans l'aube encore noire, à la recherche de sa blancheur, qu'il faut chercher "la candeur" et dans l'aurore qu'il faut installer le "sursaut de vie". Vite, car l'aurore est déjà rose, le jour va se lever. Joli message d'espoir, de renaissance, qui se décide enfin à secouer torpeur et tritesse. |
Anonyme
27/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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La première strophe est magnifique.
Après je perds le fil. Je ne sais pas si c'est une poésie sur l'amour et le désenchantement du cœur ou, plus prosaïquement, des vers sur "le martyr" que fait subir l'humain à la planète. Je suis dans l'expectative. La dernière strophe, d'un point de vue rythmique et sonore, est la moins réussie, surtout avec ce vers : "Sur le rythme endiablé d’une provocation", pas moins de neuf sons différents pour les voyelles et semi-voyelles avec des consonnes dures qui n'apportent rien de convaincant à l'ensemble ; et thématiquement ce "rythme endiablé" évoque un peu trop le "rock'n'roll", et la "provocation" est un mot sans finesse, à la connotation trop directe. |
Lariviere
8/11/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une poésie assez triste, mais réussie. Le ton est désenchanté mais le rythme est apaisé, presque entrecoupé de hoquets, ou une reprise de respiration pour quelqu'un qui débite machinalement, plutôt qui essaye de le faire, on sent dans l'ensemble comme une résignation et la vie n'est plus suspendu à l'espoir mais au "rythme endiablé d'une provocation"...
Pas grand chose à dire sur la forme. Elle me plait. Bien construite. C'est calme. Pas trop d'audace dans le style, mais c'est maitrisé. Ca parle. C'est l'essentiel. Le passage que je préfère : "L’aube s’installe dans la candeur D’un jour sans teintes Regards intimes au fond des âmes Pour deviner l’absolu des cœurs avides" Merci et bonne continuation ! |
PierreLune
30/12/2010
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Bonjour théa ce poème reste dans la veine D'eau Troubles j'ai retenu ce vers : Ne plus geindre des composts de chagrins lequel indique ce trop plein de misère morale .Pour arrêter l'hémorragie "mieux vaut vivre en terre vierge". Et ces trois vers qui remuent énormément mon coeur: Et mes yeux lourds de peine
inondent le matin d'un ruisseau sibylin Au bord d'une tendresse Qu'infiltre l'amertume. Vraiment depuis que je lis les différentes poésies sur le site, les vôtres me bouleversent tant que je ne songe aucunement à les "dissèquer"avec l'intellect. Et celle-ci ne fait pas exeption à la règle. Alors grand merci thea d'abreuver ma sensibilité |