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stellamaris
31/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un flot d'émotion pure, à travers des images variées et une langue toute en simplicité... Tout ce que j'aime dans la poésie libre. Je me suis laissé emporter...
Merci. Avec toute mon amitié. |
Anonyme
12/11/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Au-delà de votre douleur bien compréhensible, je trouve ce poème un peu mièvre dans l'étalage et la surabondance des sentiments. Mises à part quelques rares fulgurances ("le gecko badinant l’ipomée aux berges du Mahuri") on ne retrouve plus l'originalité de votre dernière production. Certes, le sujet n'est pas le même.
Au niveau de la forme, la longue succession de vers courts engendre un rythme haché, saccadé, qui à mon sens colle mal à l'ampleur de votre peine. |
Labrisse
12/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je vous prie de trouver mon petit mot en MP.
Amitiés Labrisse |
brabant
12/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Titato,
Eh bien, j'en connais/en voilà une qui doit regretter de ne pas être née, là-bas dans cet Avant où sont tous ceux et toutes celles qui ne sont pas encore né/e/s (qui ne fait pas peur car il est plein de promesses) ou bien dans cet Après où sont tous ceux et toutes celles qui sont mort/e/s (celui-là est plus incertain. A-t-on le bonheur d'y rendre des comptes ?). Celle-là a commis le fait/l'action de ne pas naître et de mourir, miraculeux Titato ! Je regrette avec vous tout ce qu'elle a manqué. C'est que ça doit être quelque chose "le gecko badinant l'ipomée aux berges du Mahuri"... Gweurk... reurk... reueueuuurk... ô le chant du gecko ! lol ;-) et un "concile de crevettes"... et le breton bretonnant Arthur créolant là-bas dans les îles sous le vent... et une "tarentelle féline", c'est pas la danse du canard ça ! "C'est la danse des canards Qui en sortant de la mare Se secouent le bas des reins Et font coin-coin" Mais non je vous charrie... :) Vous voilà bien triste, Titato, il vous reste son frère, c'est sans doute pourquoi vous auriez voulu en faire à tout prix une fille... Ben oui c'est un petit reproche... tout petit hein ! lol Et si elle avait voulu, espiègle, être un garçon manqué (elle a déjà une soeur, alors elle aurait pu se le permettre sans vouloir vous faire trop de peine) ? Petit oiseau bleu dans le rose du ciel tropical... Lol :))))) |
rosebud
12/11/2012
a aimé ce texte
Un peu
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je vais essayer de détacher le poème de la douleur profonde que je ne me permettrais pas de commenter.
Malheureusement, beaucoup de mots ou d'expressions employés me semblent désaccordés avec une peine qui ne peut pas trouver ses mots pour s'exprimer. Et particulièrement : "le gecko badinant l’ipomée aux berges du Mahuri" Mais aussi: "cyclopéen de fastes", "je t'aurais légendé", "je larme", "fredonner comptine", "tarentelle féline", "s'envoler farandole", "en le creux de ma paume", "amarantine", "araçaris". Tout cela me semble, pour tout dire, inapproprié. Je trouve l'ensemble un peu trop "fait" et pas assez lâché. |
Arduinna
12/11/2012
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C'est... tellement émouvant.
C'est paradoxal, parce qu'à partir d'une tristesse évidente, l'auteur parvient à faire quelque chose de rieur, de tendre, de coloré, de... tellement vivant en fait ! Cette énumération légère de tous ces petits moments de tout et de rien, ces moments sucrés-salés qu'on peut partager avec nos petits, ce désir profond de leur faire découvrir le monde et de voir le plaisir dégouliner sur leurs mentons, c'est tellement bien rendu. De la pure poésie encore une fois, mille merci pour ce texte d'une tendresse infinie, où la joie et le chagrin s'entrelacent. |
Miguel
20/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte énumère tant de merveilles de la vie qu'on en est frustré pour celle qui ne les connaîtra pas. Ces évocations imaginaires ont l'acuité du souvenir, de sorte qu'on est en deuil de celle qui n'est pas née.
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Lagomys
21/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Titato
À l'évocation d'une telle tragédie, on s'apprête à entendre un cri de colère, on s'attend à l'humaine révolte, on se prépare aux accents pathétiques. Au lieu de cela, vous nous offrez une tendre comptine toute en pudeur et en retenue. Vous rendez tangible l'inexistant, vous matérialisez l'incorporel. Je vois le petit être dans vos bras, dans la ronde des frères et sœurs, à la découverte du monde… Ce n'est pas : "s'il avait été là…" C'est : "il est là" (je le perçois comme ça). La délicatesse et la pureté de vos images m'ont touché d'une façon sereine et apaisante. J'ai particulièrement aimé : " ma voix de fausset tombée dans le lilas"; "nos rituels de chats"; "je larme, tu ne le sauras pas"; "l’aquarelle de l’abeille descendue d’une étoile pour jouer du violon au parmi des jonquilles" ; "Peut-être aurais-je pu… t’applaudir au tambour, et puis taper des mains de ta joie dans le bain"; "Peut-être… aurais-je pu déjeuner de tes premières paroles"; "le creux de ma paume - ta joue l’aurait polie bienheureux coquillage –". J'ai aimé aussi : "le concile des crevettes", et les superbes quatre derniers vers. Merci de m'avoir fait partager toute la délicatesse de votre cœur, Lagomys |
fugace
26/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est toute la tendresse préparée pour un espoir pas arrivé.
La délicatesse de chaque scène interdit la porte à la tristesse. Ne reste que le regret de cette "belle au bois dormant"...absente; mais à laquelle on raconte avec des mots d'enfants de vraies histoires d'enfants. Titato, votre princesse pas née ne pourra être oubliée, vous lui avez une vie large et importante: celle qui reste dans les mémoires. Merci pour ce beau poème, pour votre juste et belle sensibilité. |