Bonjour TITEFEE. Jolies images du feu de la ST JEAN. L'effervescence autour du feu de bois, le bon vin et les premiers émois. De belles images.

Ton texte me replonge dans cette chanson mémorable:"mon amant de Saint Jean".Merci Titefée de nous "peindre" un si joli tableau...

Coucou, Titefée !

Cette poésie est charmante, mais bien plus encore, rafraîchissante. Nous voyons le berger quittant la métairie de son pas syncopé... Nous humons le vin "aux senteurs de genièvre". Et nous adorons "l'herbe des hauteurs, à l'odeur si fleurée". Est-ce grâce à "la discrète lueur, qui savait pimenter" ? Nous succombons au charme de cette scène villageoise, une nuit de la Saint-Jean... Pour le lecteur, le temps s'arrête... Il convient cependant, in fine, d'imaginer - imaginer seulement ! - une belle de nuit qui s'ouvre sans gémir. Bien sûr, une belle de nuit ne s'ouvre, précisément, que la nuit... C'est très beau tout cela, bien imagé, odorant à souhait. J'en redemande !

Merci titefee pour ce poème !

La rencontre entre la jeune femme et le berger m'a paru bien racontée, avec poésie, sensualité, pudeur aussi.

belle lecture beaucoup de plaisir à suivre ce tableau champêtre aux saveurs exquises et aux parfums de bonheur...

Oh, j'aime beaucoup, c'est ravissant ...

Quelques tournures maladroites 'Où, un lierre grimpant, l’espace avait empli.' 'Les gestes interdits, car était opportune
La discrète lueur, qui savait pimenter.' par exemple

Mais il y a quelque chose, une ambiance, une légèreté douce-amère, on s'y croirait ... J'aurais voulu que ça continue encore longtemps u_u

Cela dit, la fin est bien :)

Bravo !

Je ne suis pas assez expérimenté en poésie, surtout classique, pour mettre une note.
Je voudrais simplement dire que ce poème aux effluves médiévaux a buté sur le mot "magnétique" aux relents d'anachronisme. Car c'est cette musique du moyen-âge qui me plaisait.
Merci Titefee.

Charmant sujet plutôt bien traité et plein de fraîcheur ... Toutefois certaines tournures me dérangent un peu ("en surveillant l'émoi (...) envahir son esprit" ; "où, un lierre grimpant, l'espace avait empli" ; ou encore "car était opportune la discrète lueur, qui savait pimenter"). Quelques hiatus également.
J'aime en revanche "Epier le départ de brume enveloppé".

Bonjour TITEFEE,

Aude est benoîte de son amour d'été, une jolie histoire entre deux eaux, du rêve de cette fille contre son mur de lierres, et de la réalité d'un moment de passion partagée... avinée. Dionysos n'est pas réputé pour sa tendresse du lendemain.

Bonsoir titefee! comme promis, je commente!
Ce n'est pas le genre d'atmosphère poétique qui me plaît le plus, mais l'émotion est passée... Beau travail!
J'aime bien le rythme du 4eme vers qui nous fait ressentir ce "pas syncopé", notamment par la juxtaposition du f et du s dans "vif, syncopé". En revanche, il y a un peu redondance dans ce vers, non?
"marche" fait écho à "pas"...
Le rythme du vers 7 me dérange un peu, à cause du "e" prononcé de "Elle se..." Cela dénote par rapport au rythme impeccable des autres vers... Le vers 8 me reste opaque... Sans doute la tournure qui, comme l'a souligné Lohengrin, est un peu maladroite...
Les vers 9 et 10 sont bien dans l'atmosphère de ce poème, mais me paraissent un poil communs; j'aime beaucoup les sonorités de ces deux vers, notamment les "r" et l'écho que "baiser" fait à "effleurée". Les deux vers suivants me paraissent en revanche assez lourds... "Sentant" fait répétition à "senteurs" : c'est sans doute voulu mais... Ca dérange. Le "si" du vers 10 me dérange également...
J'aime beaucoup tout le 5eme quatrain, avec les sonorités très douces du premier vers : "complice" et "absence" se marient à merveille! J'aime aussi le rejet de "gestes interdits", qui entretient plus longtemps le mystère... Le dernier vers de ce 5eme quatrain me parait, en revanche, un peu trop brutal dans sa syntaxe.
Je me passerai de commentaire pour le dernier quatrain, que je trouve vraiment superbe! Je finis sur une très bonne impression!!
Merci.