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Anonyme
27/12/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Très bien pour les idées développées. Combien de fois nous sentons-nous incompris? Combien de fois le poète sent-il son oeuvre mal jugée et pas reconnue à sa valeur que lui croit juste?
Je trouve très juste et bien vue les idées de ce texte. Ensuite, vous avez dû travailler pour former des alexandrins. Je fais quand même quelques critiques pour la forme: -Au vers 5, parlez-vous du poète ou du romancier? (je chipote, je sais, puisqu'en fait vous décrivez les écrivains en général) -"plein de " au vers 5 doit être suivi de noms communs au PLURIEL. Donc on doit dire: "plein de troubles". Problème ensuite pour finir l'hémistiche! -"où se comptent les morts" ne me parait pas justifié, sauf pour les besoins de la rime. -"les quatre coins du monde" sont une aberration si on considère que la terre est ronde (mais j'en conviens: c'est une expression consacrée!) -Attention à la ponctuation: le point qui succède à "colère" devrait être remplacé par une virgule. Sinon, je trouve des formules expressives comme "quand être reconnu n'est que cendres dans l'urne". Attendre sa mort pour connaître la gloire, quelle frustration! Bonne continuation, Titefee! |
David
27/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour TITEFEE,
Un peu d'humour en débutant avec cette écriture qui rend sourd, "Le poète" ne sert à rien, c'est bien connu. Et même plus il se déssert lui-même. Je crois que c'est quand même une éloge du "métier". |
Anonyme
4/1/2009
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Pourquoi participer le long de concours arpentés de dangers ? Pourquoi s'estimer vis-à-vis d'un autre ? La poésie, avant de n'être un objet d'orgueil et d'ostentation, doit être un parchemin tacheté de l'encre de nos pleurs et de nos sourires perlés d'étoiles scintillantes. La poésie n'a de sens que pour la personnalité qui s'irise en volutes ioniques somptueuses, dans une poétique à la recherche de la perfection, qui s'échappe, car notre perfection, elle-même, s'encoure avec le temps, dans une superbe course dont nous ne devons retirer que des sourires, afin de ne pas déprimer, de sorte que le tout devient un jeu, le plus fou, le plus suave, le plus doux, le plus exigeant.
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masdau
21/1/2009
a aimé ce texte
Bien
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Pourquoi un point après "sourd" (vers 2)? n'est ce pas le souffle de la nuit qu'il n'entend pas?. De toute façon, je pense, qu'en matière de poésie, le point est à bannir. C'est aux lecteurs de le mettre ou non.
Ici, on assiste à la description du poète éthéré, vautré dans le nombrilisme et le rêve intérieur. C'est réaliste, mais la question demeure: le poète est-il un être hors du monde matériel? |
Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Uniquement car tu décris un "ami" rongé par l'écriture qu'il en a perdu son humanité... Un "pauvre" malade qui se croit unique en plus. Ton texte ressemble à une ancienne babiole que j'ai écrit pour des "amis".
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